UNE INTERVIEW AVEC RICHARD McCULLOCH

 

 

En octobre 1998, Richard McCulloch, auteur de Ideal and Destiny (1982), Destiny of Angels (1986), Nordish Quest (1989) et The Racial Compact (1994), a été interviewé sur internet par trois correspondants européens.

 

Cher Mr. McCulloch,

Voici nos questions. Vous êtes libre de faire autant de digressions que vous le souhaitez, ou de ne pas répondre à toute question qui vous déplaît. Si vous avez une information additionnelle que nous n'avons pas spécifiquement demandée, vous pouvez la donner aussi.

 

1. QUELQUES QUESTIONS PERSONNELLES
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1.1) Pouvez-vous nous dire quelque chose sur vous-même, et d'où vient cet intérêt de toute votre vie pour la race nordique ? Quelle place la conscience raciale a-t-elle pris dans votre vie au cours des années ? En d'autres mots, comment avez-vous développé votre mode de pensée et votre capacité à exprimer ce mode de pensée dans le grand style qui est le vôtre ?

1.1 Réponse : J'aimerais le savoir, mais peut-être ce degré de conscience nous est-il refusé.
Je peux dire que c'est une partie irréductible de ce que je suis, au cur même de mon être et de mon identité, aussi loin que je puisse me le rappeler. J'ai passé beaucoup de temps à penser à ces questions, et avec le temps mes pensées ont été affinées et ma capacité à les exprimer s'est améliorée.

1.2) Nous sommes, et d'autres lecteurs peuvent l'être, curieux de connaître votre propre origine ethnique. Évidemment, vous êtes nordique, mais à quelles branches de la race nordique se rattache votre ascendance ?

1.2 Réponse : Comme beaucoup d'Américains nordiques, mon ascendance dérive de plusieurs des peuples de l'Europe du Nord-Ouest. Les familles de mes deux grands-pères étaient de vieille lignée américaine. Mes ancêtres McCulloch étaient ce que nous appelons des Écossais-Irlandais ou Scots d'Ulster, ayant émigré de la région d'Edimbourg vers l'Ulster en Irlande du Nord dans les années 1600, et ayant émigré après 1717 de là vers la Virginie occidentale, finissant en 1792 dans la Pennsylvanie occidentale, où ils se marièrent avec beaucoup de vieilles lignées américaines de diverses origines nordiques (les Boyd, Craig, Earhart, etc.). Mes ancêtres hollandais, suédois et huguenots (van der Goes, van Nes, van der Vliet, van Arsdalen, Claesen, Anderson, Latourette, etc...) s'établirent en Nouvelle Hollande (New York) dans les années 1630, se déplaçant en communautés vers le New Jersey dans les années 1670 et l'Illinois en 1836. Les familles de mes deux grands-mères arrivèrent plus récemment ­ la famille de ma grand-mère allemande émigra de Berlin à Detroit au début des années 1890 peu avant sa naissance, et la famille de ma grand-mère norvégienne émigra d'une petite ville près de Trøndheim en 1911 quand elle avait 8 ans, s'installant dans la péninsule supérieure du Michigan.

1.3) Quelles études avez-vous fait ? Quelle est la relation de ces études avec votre philosophie raciale ?

1.3 Réponse : Ma matière principale à l'université était l'histoire, avec l'anthropologie comme second domaine d'étude. Cela reflétait mes intérêts depuis mon jeune âge. Mes matières d'université étaient souvent presque une revue des sujets que j'avais déjà étudiés. Ces deux domaines d'étude renforcèrent ma conscience raciale et m'ouvrirent une perspective plus large. Mes parents achetèrent la série du World Book Encyclopedia en 1959, à l'époque de mon 10ème anniversaire, et je me rappelle avoir lu la section sur la race peu après. J'ai regardé de nombreux documentaires télévisés qui informaient sur l'histoire récente. Je me rappelle avoir lu An Outline of History de H.G. Wells en 1961-62 quand j'avais 12 ou 13 ans, et avoir été frappé par un passage dans lequel l'auteur disait que l'humanité, après des milliers de générations de différenciation, était apparemment en train de se diriger vers la fusion, et d'avoir réalisé les conséquences de cette évolution. De mes lectures en anthropologie j'avais appris que si deux peuples distincts habitaient le même territoire, on supposait que l'un des deux peuples ou les deux était arrivé relativement récemment et qu'ils n'avaient pas vécu ensemble pendant longtemps, car des populations qui avaient vécu ensemble pendant longtemps étaient invariablement fusionnées par mélange en une seule population où les distinctions entre les peuples d'origine étaient graduellement éliminées. Evidemment, la conscience de ce principe anthropologique rendit les conséquences de la multiracialisation très claires pour moi, et je commençai à exprimer mes inquiétudes sur cette question à mes amis et aux membres de ma famille alors que j'étais encore adolescent. Mais je n'étais pas très efficace. En effet, au cours de mes années d'université je me sentais plutôt isolé, ne connaissant personne d'autre qui partageait mes idées raciales (les seules organisations « racistes » que je connaissais étaient celles du genre KKK [Ku-Klux-Klan] et néo-nazis, dont les programmes raciaux étaient suprémacistes plutôt que préservationnistes), jusqu'à un certain jour de 1973, alors que j'étais un étudiant diplômé, où j'ai découvert La majorité dépossédée de Wilmot Robertson dans une librairie du centre, et où j'ai découvert qu'il y avait d'autres gens auquels je pouvais me rattacher, qui traitaient la question de la race d'une manière moralement et intellectuellement respectable. L'exemple de Robertson m'encouragea à commencer à écrire sur la race.

1.4) A quoi vous intéressez-vous ? Nous savons par exemple que vous êtes intéressé par l'exploration du système solaire ­ et au-delà. Nous avons l'impression que vous avez une passion pour les livres et les films de science-fiction.

1.4 Réponse : Je pense que mon intérêt précoce pour l'histoire allait de concert avec mon intérêt précoce pour la science-fiction, puisque la bonne et crédible science-fiction semblait presque comme une continuation ou une projection imaginative du passé et du présent dans le futur, un prolongement de l'histoire. Certaines de mes premières lectures d'histoire et de science-fiction étaient celles de bandes dessinées (j'aimerais encore les avoir). A l'âge adulte ma lecture de science-fiction diminua, mais cela fut partiellement compensé par une quantité bien plus grande de films de science-fiction. Depuis ma perspective de préservationniste racial nordique, j'ai une critique particulière à faire concernant ce genre. En décrivant la race nordique comme existant toujours (apparemment en pleine forme et non diminuée) après plusieurs siècles de multiracialisme, il tend à renforcer l'idée fausse habituelle (en fait, l'erreur fatale) que la race nordique peut continuer à exister, même sans diminution, dans des conditions multiraciales. Les diverses séries de Star Trek ainsi que de Babylon 5 (qui me rappelle la trilogie du « Seigneur des Anneaux » de Tolkien par son histoire épique) en sont des exemples. Une exception est Terre impériale d'Arthur C. Clarke, que je lus vers 1970, qui se déroule plusieurs siècles dans le futur quand les divers types raciaux blancs n'existeront plus à cause du mélange racial. Naturellement, Clarke mentionne ce fait presque fortuitement et ne le traite pas comme étant quelque chose d'important. Ce fut, cependant, significatif pour moi. Je ne terminai pas le livre. Une autre critique concernant la série Star Trek est son usage du nom « Ferengi » pour désigner la plus repoussante, la plus honteuse et la plus ignoble de ses races étrangères. « Ferengi » est naturellement le nom islamique pour désigner les Francs, nom qu'ils avaient l'habitude d'utiliser pour tous les Européens occidentaux. Je suppose que les gens responsables de la réalisation de Star Trek le savaient, et cela peut être pris comme une insulte anti-nordique qui révèle leur manque de respect pour la race nordique.

Le thème apocalyptique qui est commun à beaucoup de films de science-fiction ­ depuis les invasions et infiltrations étrangères jusqu'aux « prises de contrôle » (le remplacement d'êtres humains, en particulier de personnes importantes, par des imposteurs étrangers) et aux météores ­ est étrangement analogue à la situation menaçant à présent la race nordique. Notre race est menacée de destruction. La continuation de son existence est en jeu, tout comme l'existence de l'humanité ou de la Terre est en jeu dans ces films. Une analogie particulièrement adéquate est celle du « Borg Collective » dans Star Trek. Nous aussi sommes menacés d'assimilation dans le collectif (la masse non-nordique de l'humanité), et entendons dire que notre assimilation est inévitable et la résistance futile. Naturellement, quand les humains dans ces films prennent conscience du danger ils font tout ce qui est en leur pouvoir pour le combattre (le capitaine Picard répond au Borg par un « non ! » retentissant), tout comme nous espérons que notre race le fera également lorsqu'elle en prendra conscience. Rechercher et faire bon accueil à la destruction ferait entrer le scénario dans la catégorie des « flims noirs ». Pour l'instant notre position ressemble plus à celle des humains dans les films d'infiltration étrangère ou de « prise de contrôle », alors que seuls quelques-uns d'entre nous sont conscients de ce qui est en train de se produire, et tentent désespérément d'en informer nos congénères incrédules.

 

2. QUELQUES CLARIFICATIONS SOUHAITEES
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2.1) Dans Ideal and Destiny [IAD], vous donnez une classification quaternaire de la race ; il y a 4 types : foncé, moyen, clair et ultra-nordique. Dans The Nordish Quest [TNQ] et sur votre site web vous donnez un système beaucoup plus élaboré, qui décrit la race nordique comme un centre avec des cercles concentriques autour de lui, et divers sous-types à l'intérieur de ces cercles. Pouvons nous supposer que la classification de IAD doit être considérée comme une échelle allant des types nordiques les plus externes aux plus internes, ou devons-nous la considérer comme dépassée / annulée par la nouvelle classification ?

2.1 Réponse : Considérez le schéma de classification sombre-à-ultra-nordique comme annulé par le nouveau schéma. Les frontières raciales entre Nordiques (Nord-Européens) et Non-Nordiques sont les mêmes dans les deux classifications. Le changement est strictement interne à l'intérieur du groupe nordique, classifiant ses divers éléments composants d'une manière plus précise. Je suis désolé de dire que jusqu'en 1985, malgré toute mes recherches dans les principales bibliothèques universitaires, je n'avais jamais trouvé un livre sur la race allant vraiment au-delà de la vieille classification de Ripley des Européens en Nordiques, Alpins et Méditerranéens. Habituellement la seule addition était celle du type Est-Baltique. Même le livre Race de John Baker, par ailleurs excellent, qui sortit en 1974, est déficient à cet égard. En 1985 j'ai obtenu un exemplaire de l'ouvrage de Carleton Coon en 1939, The Races of Europe, qui fut écrit comme une étude universitaire sur le sujet, et bien que j'aie des points de désaccord avec lui, c'est de loin le travail le plus définitif que je connaisse sur le sujet, et il représente une somme d'érudition qui a été négligée et presque oubliée au cours du dernier demi-siècle. Le schéma de The Nordish Quest et de mon site web peut être considéré comme une version légèrement modifiée et mise à jour de son système de classification, synthétisé avec celui de Baker et d'autres.

2.2) Pouvez-vous nous donner d'autres sources ou conseils de lecture sur les classifications raciales du genre humain et de la race nordique, et de la composition raciale des nations européennes ?

2.2 Réponse : Malheureusement, l'étude des races de l'humanité a été en défaveur au cours du dernier demi-siècle, et toute tentative sérieuse de les étudier d'une manière objective aura probablement pour résultat que le spécialiste sera dénoncé comme un raciste, probablement l'épithète la plus redoutée dans le monde occidental moderne (mais pas en dehors de l'Occident) et certainement la plus redoutée dans les milieux universitaires « politiquement corrects ». J'ai entendu dire que le meilleur travail dans ce domaine depuis la dernière génération a été effectué en Hongrie, mais je n'en sais rien de précis. A part mon propre travail, le meilleur matériel que je connaisse est celui de Baker et de Coon mentionnés dans la réponse précédente. Je suis désolé de dire que je trouve une grande partie du travail de Luigi Cavalli-Sforza et de son groupe comme trompeuse dans son interprétation des données génétiques, que notre culture actuelle empêche efficacement de contester par des interprétations alternatives.

2.3) Dans IAD [Ideal and Destiny], vous écrivez que minimiser l'interférence de l'Etat avec la société serait la meilleure manière de préserver et d'améliorer la race, et que l'interférence de l'Etat ­ c'est-à-dire de l'Etat capitaliste ou socialiste ­ est un système politico-économique qui a bien plus de chances de ralentir ou d'inverser l'évolution divergente des races humaines. Cependant, dans DOA [Destiny of Angels] vous mentionnez qu'il y a parfois une divergence entre la « richesse naturelle interne » et la « richesse matérielle externe », qui peut mener à l'union entre le riche matériellement et le riche naturellement ­ et, par un processus de mélange, à la perte de la beauté héréditaire. Mais cette vente de la beauté raciale ­ car c'est ce que vous décrivez essentiellement ­ est en fait un processus libéral-capitaliste. Une forme modérée d'intervention de l'Etat ne doit-elle pas être désirée pour limiter ces processus, et s'assurer que les riches en richesse naturelle mais pauvres en richesse matérielle puissent prospérer, et que les pauvres en richesse naturelle doivent être encouragés à ne pas procréer ?

2.3 Réponse : La section ci-dessus de Destiny of Angels se réfère à des mariages interraciaux plutôt qu'à des mariages à l'intérieur de la race nordique, et particulièrement aux mariages entre des hommes de divers types raciaux caucasiens non-nordiques et des femmes nordiques qui sont attirées par leur richesse matérielle et leur position sociale. Dans une société monoraciale ce problème n'existerait pas.

Pour maintenir une tendance évolutionnaire généralement positive il est bien sûr nécessaire que les individus de qualité supérieure se reproduisent à un taux plus élevé que ceux de qualité inférieure, mais je préfère l'eugénisme positif à l'eugénisme négatif, les mesures pour encourager les individus de qualité supérieure à avoir plus d'enfants plutôt que les mesures visant à décourager la reproduction des individus de qualité inférieure. Actuellement, au vu du taux de reproduction de notre race, au-dessous du niveau de remplacement pour le dernier quart de siècle, ce dont nous avons besoin est un mouvement pro-nataliste pour encourager et promouvoir une augmentation générale de la reproduction dans toutes les classes. Notre problème n'est pas tellement que les éléments de qualité inférieure ont trop d'enfants, car leur taux est également bas, mais que notre race en général a trop peu d'enfants, particulièrement ceux de qualité supérieure. Le gouvernement devrait jouer un certain rôle en favorisant un environnement pro-nataliste (et en surveillant et en publiant les tendances démographiques), de même que devraient le faire toutes les autres institutions culturelles et sociales, en particulier l'éducation pour augmenter la conscience de l'importance des décisions reproductives, mais pour réussir la reproduction de la race je ne fais pas vraiment antant confiance à sa sagesse qu'à celle des millions de différents couples. Cette dernière est peut-être loin d'être parfaite, mais je ne peux m'empêcher de croire que la première serait bien pire.

 

3. PHILOSOPHIE RACIALISTE CONTRE NIHILISME RACIAL
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Nous allons maintenant vous confronter avec certaines des questions que les gens posent à des racistes. Ce ne sont pas nos questions ; nous voudrions juste savoir comment vous leur répondriez car elles représentent certains des malentendus ordinaires concernant le racisme et l'ignorance qui est imposée aux gens par l'idéologie altruiste-égalitariste dominante.

3.1) « Pourquoi la race d'une personne doit-elle avoir de l'importance ? N'est-il pas beaucoup plus important que quelqu'un se comporte bien et soit bien intentionné ? Les mauvaises personnes sont de toutes les couleurs, et aussi les bonnes personnes. »

3.1 Réponse : C'est une objection nihiliste raciale ordinaire contre le préservationnisme racial, mais celle-ci est facile car j'y ai déjà répondu. Le caractère et la race sont deux choses différentes, comme je l'ai écrit dans les notes en bas de page de « Nombreuses demeures » :

« Quand Martin Luther King a remarqué dans son célèbre discours 'J'ai fait
un rêve' qu'une personne devait être jugée non par la couleur de sa peau
(une expression minimaliste pour les milliers de différences génétiques
impliquées par la race) mais par la teneur de son caractère, il a exprimé
une platitude souvent utilisée par les nihilistes raciaux pour s'opposer aux
droits, à l'indépendance et à la préservation raciaux (et particulièrement
nordiques). Il a également impliqué un conflit entre la race et le caractère,
comme si l'un excluait ou était nécessairement contradictoire avec l'autre,
une implication réminiscente du conflit supposé entre la réalité physique et
une réalité spirituelle 'plus élevée' ou supérieure qui devrait avoir la priorité,
où la race appartiendrait au royaume physique et le caractère au royaume
spirituel. Mais ils sont chacun une partie de ce que nous sommes, chacune
jugée ou déterminée par ses propres limites et normes appropriées. Affirmer
que les jugements ou les déterminations raciaux ne devraient pas être faits
est la position du nihilisme racial, qui nie les droits raciaux, les valeurs
raciales, et l'amour de la race qui promeut la préservation raciale.

« Il n'y a aucun conflit entre la race et le caractère, et il est malhonnête de
prétendre le contraire, et immoral d'utiliser le caractère comme argument
pour justifier la violation du droit racial à la continuation de la vie,
de l'existence et de la préservation, comme cela l'est d'utiliser des
prétentions d'une réalité spirituelle soi-disant 'plus élevée' (et peut-être
imaginaire) pour promouvoir des actions qui détruisent la réalité physique
et matérielle dans laquelle nous existons. En fait, l'une des mesures
primordiales de moralité et de caractère devrait être le respect des droits
des autres, et cela inclut le respect des droits des autres races, et en
particulier de leur droit à la vie. Le bon caractère et la bonne moralité
devraient être en accord avec la Règle d'Or du vivre et laisser vivre, et
donc contradictoires avec la négation ou la violation des droits des autres
races à la continuation de la vie, de la préservation et de l'indépendance. »

Dans notre campagne pour assurer la préservation et l'indépendance de notre race, et en effet de ces mêmes droits pour toutes les races, nous sommes les protagonistes et nos adversaires, incluant ceux qui font de telles affirmations et objections (déguisées en questions) comme ci-dessus, sont les antagonistes. Beaucoup de ces affirmations et objections sont absurdes, logiquement inconséquentes et même incohérentes, défiant les principes de base de la logique et de la raison, et il est donc très difficile d'y répondre. Si la personne faisant ces affirmations antagonistes est non-nordique, alors on peut supposer qu'elle promeut agressivement ce qu'elle voit comme ses propres intérêts raciaux contraires aux droits et intérêts les plus vitaux de la race nordique. Si la personne est nordique, un peut supposer qu'elle est hostile aux intérêts les plus fondamentaux de sa propre race, en accord avec l'éthique et les valeurs du nihilisme racial. On leur a enseigné que c'est une position moralement supérieure et que tout le reste est un mal intolérable. En plus de la citation ci-dessus, je répondrais à de telles affirmations essentiellement comme suit :

« Dire qu'une chose compte revient à dire qu'elle est importante et a de la valeur. Dire qu'une chose ne compte pas revient à dire qu'elle est sans importance ou sans valeur. Dire qu'une chose est la seule chose qui compte revient à dire que tout le reste est sans importance ou sans valeur. J'agis selon la supposition que tout ce qui existe ­ chaque partie de la Création ­ compte, qu'elle a de l'importance et de la valeur, et qu'il est à la fois inapproprié et nihiliste de présumer autrement. Cette importance et cette valeur peuvent être considérées comme objectives, basées sur leur position et leur rôle dans la Création, ou subjectives, basées sur
les sentiments de ceux qui les aiment, norme selon laquelle une chose qui compte ou qui est importante pour quelqu'un, qui est aimée ou valorisée par quelqu'un, est considérée comme valable et importante. La continuation de l'existence de la race nordique peut ne pas vous importer [s'adressant à l'antagoniste, opposant à la préservation nordique], mais elle importe pour moi. Vous pouvez ne pas valoriser, ne pas prendre soin, ne pas aimer la race nordique, mais ce n'est pas mon cas. Vous pouvez considérer que son existence n'importe pas, n'est pas importante, mais moi, si. Je sais que l'idéologie du multiracialisme dit qu'il est moralement erroné d'aimer ou de valoriser sa race (particulièrement si on est nordique), d'en prendre soin, de la considérer comme importante, ou de désirer la continuation de son existence, de son bien-être et de son indépendance, mais je considère cette idéologie ­ que vous soutenez apparemment ­ comme immorale et destructrice, et dans le contexte actuel destructrice de ma race en particulier. Je pense qu'il devrait y avoir une présomption morale en faveur de la préservation et contre la destruction, et donc en faveur des conditions qui préservent et contre les conditions qui détruisent. Selon cette présomption, c'est le multiracialisme qui est immoral et ma philosophie de préservationnisme racial qui est morale. »

Je voudrais que chaque personne ayant une position importante ou influente se voie demander si elle aime, valorise et prend soin de la race nordique, si elle considère que son existence compte ou est importante, si elle favorise sa préservation et si elle soutient ses droits et intérêts les plus vitaux et les plus légitimes, la continuation de son existence et de son indépendance. Ce sont des questions qu'on ne leur a jamais posées, et auxquelles elles n'ont jamais eu à répondre. Elles préféreraient ne pas avoir à le faire, pour ne pas alerter prématurément la population nordique avant qu'il ne soit trop tard pour l'évolution destructrice qu'elles sont en position d'inverser. A la différence de l'interpellateur antagoniste ci-dessus, elles sont beaucoup plus discrètes, et beaucoup moins honnêtes. Par conséquent, la question ci-dessus a peu de chances d'être publiquement posée par un membre important de la structure de pouvoir. Pas encore. Nous la rencontrons fréquemment à un niveau beaucoup plus basique, avec peu ou pas d'audience. Je pense que l'ampleur de votre réponse doit dépendre de l'audience. L'interpellateur antagoniste n'est probablement pas digne de cet effort (vous devez évaluer cela sur une base individuelle), mais vous pouvez avoir une audience qui inclut des personnes qui sont dignes de cet effort. Votre réponse doit alors être faite dans leur intérêt.

3.2) « Pourquoi vous inquiétez-vous si les gens aux yeux de couleur, les gens blonds vont disparaître ? Cela se produira après que vous soyez mort de toute façon. Pourquoi s'en préoccuper ? Les choses changent ; c'est la manière dont les choses vont normalement ».

3.2 Réponse : La référence aux personnes aux yeux de couleur et blondes est une manière évasive à de se rapporter à la race nordique, de minimiser ou de trivialiser ses nombreux traits et caractéristiques uniques en limitant arbitrairement la référence à seulement un ou deux traits (à moins que cela ne réponde simplement à votre propre usage de ces traits comme raison ou justification à la préservation nordique, et si vous employez un tel argument vous devez clairement indiquer que vous parlez de la préservation d'une race, pas seulement de certains de ses traits). Les gens qui utilisent un tel langage devraient être obligés de clarifier à quoi ils se réfèrent, et donc de reconnaître qu'ils se réfèrent à la race nordique, pas seulement de certains traits liés à elle. Ainsi ils disent réellement que personne ne devrait s'inquiéter si la race nordique disparaît ­ c'est-à-dire s'éteint par le remplacement et le mélange ­, que son existence n'est pas digne de continuation. Où finit le raisonnement nihiliste derrière cette question ? Pourquoi doit-on s'inquiéter de la préservation ou de la conservation, de la continuation de l'existence d'une chose qui existe, qui est une partie de la nature et de l'univers, d'une forêt tropicale, d'une classe d'animaux, d'une race de l'humanité, ou de la planète Terre elle-même ? La réponse, en définitive, est que nous la valorisons et que nous la considérons comme importante pour une certaine raison, et que si c'est une partie importante de nos vies personnelles la réponse probable est que nous l'aimons. N'ayez pas peur ou honte de dire que vous aimez votre race et que c'est la source de votre motivation. En fait, cela devrait être votre argument principal. Votre amour pour votre race doit être affirmé toutes les fois que le sujet de sa préservation est discuté. Vous pouvez dire à de telles personnes que vous êtes désolé qu'elles ne pensent pas que la race nordique est digne de continuer son existence, désolé qu'elles ne se préoccupent pas de sa survie, mais que vous le faites parce que vous l'aimez et que vous considérez qu'elle est digne d'être sauvée.

Concernant la question de la préservation raciale, la question ci-dessus est une forme d'expression non-compromettante, et même lâche, de ceux qui ne veulent pas affirmer leur propre position. Ils doivent être confrontés avec la nécessité d'affirmer leur position, de ce qu'ils préfèraient ou désireraient si on leur donnait le choix entre la préservation ou la destruction nordique. Ils doivent être obligés de répondre à cette question. S'ils disent que, s'ils avaient à faire le choix, ils préféreraient la continuation de l'existence nordique, c'est une chose ; s'ils disent qu'ils choisiraient la non-existence nordique, c'est une tout autre chose. Vous pouvez alors renverser les rôles et leur demander la raison, en soulignant la présomption morale générale en faveur de la préservation contre la destruction. Pourquoi favorisent-ils l'extinction nordique ? Quel est leur motif ? Quelle justification possible peut-il y avoir à désirer la disparition ou la non-existence d'une race humaine ?

En disant à quelqu'un que la race nordique se dirige vers l'extinction, j'ai souvent entendu le commentaire « Nous ne vivrons pas pour le voir » ou « Nous serons morts à ce moment ». C'est souvent un signe de résignation fataliste, de gens qui ne voient aucune issue, aucune alternative viable, et qui ont été convaincus qu'ils ne peuvent rien faire pour changer notre sort et qui l'acceptent donc comme inévitable, s'adaptant pour vivre avec cette connaissance en l'acceptant, et se disant que ce qui sera perdu a peu de valeur et n'est pas une cause de chagrin ou d'inquiétude. Ils ne veulent pas vraiment que cela se produise, mais tant qu'ils ne verront pas une alternative crédible ils ressentiront probablement tout appel à la résistance comme futile et dérangeant. S'ils disent qu'ils veulent que la race nordique soit préservée, alors exposez votre alternative ­ une alternative moralement et intellectuellement acceptable, et même préférable, à l'évolution actuelle. S'ils disent qu'ils veulent que la race nordique soit détruite (habituellement ils ne sont pas aussi honnêtes, et éludent la question), alors il y a vraiment très peu d'intérêt à continuer la conversation, et certainement presque aucun espoir de convertir cette personne au préservationnisme nordique. Il peut être intéressant de leur demander s'ils s'inquiéteraient si certaines autres races devaient disparaître, s'il existe une race qu'ils voudraient préserver. S'ils répondent non, alors vous avez un pur nihiliste racial. S'ils préserveraient d'autres races mais pas la race nordique, alors vous avez démasqué une souche de nihilisme racial spécifiquement anti-nordique, et si vous avez une audience, vous ne pouvez probablement pas mieux faire que de le mettre à nu, l'exposer pour ce qu'il est et décrire votre alternative. Dites que la planète est assez grande pour que toutes les races de l'humanité puissent y vivre, comme elles l'ont fait pendant les 40.000 dernières années ­ et plus. Aucune race ne doit disparaître. Ce changement dont ils disent qu'il est normal (et par implication, inévitable) ­ la disparition de la race nordique ­ n'est pas nécessaire, et certainement pas normal. Il n'y a rien de normal à cela. En fait cela est complètement anormal. Pour les races, la normalité des 40.000 dernières années est d'habiter chacune leur propre partie de la planète, et d'être assurées de continuer leur existence dans leurs propres foyers. C'est la violation anormale récente de cette normalité, où d'autres races entrent dans les secteurs nordiques de la planète, les foyers nordiques, qui menace maintenant la race nordique de destruction. Si cette violation de la normalité est corrigée, et que chaque race est à nouveau en sécurité dans ses propres secteurs de la planète, toutes les races de l'humanité pourront continuer à exister et à se partager la Terre pour les innombrables millénaires à venir, et aucune n'aura besoin de disparaître.

Ma première rencontre avec le nihilisme racial explicite s'est produite pendant ma première année d'Ecole Supérieure (1967) dans ma classe d'études sociales des Institutions Américaines. Le professeur, Mr. Schelter, a commencé à prêcher le mélange racial comme solution au problème des races. J'ai levé la main et j'ai objecté que le mélange causerait l'extinction de la race blanche (j'employais le terme « blanc » à cette époque). Il répondit : « Et alors ? Qu'est-ce que la race blanche a de si spécial ? ». J'ai été pris par surprise par cette réponse nihiliste et je n'étais pas préparé à y répondre. Jusque-là j'avais naïvement supposé qu'aucune personne responsable ou respectable ne préconiserait sciemment la destruction de ma race, ou de toute autre race. Je supposais que les gens qui soutenaient les conditions et les pratiques qui causent la destruction raciale agissaient ainsi parce qu'elles étaient inconscientes des conséquences, pas parce qu'elles désiraient réellement la destruction de la race nordique. Je pense toujours que c'est vrai de la grande majorité des gens de notre race qui soutiennent le multiracialisme. Certainement les conséquences réelles ne sont pas reconnues par les principaux leaders de l'establishment multiracialiste, mais sont éludées ou niées. Si la structure de pouvoir se comporte de cette manière, on peut supposer qu'ils ont peur de perdre au moins le consensus du soutien public à leur politique si les gens étaient massivement conscients de leurs conséquences racialement destructrices. Les leaders de l'establishment ne font donc pas publiquement ce genre de remarques nihilistes comme la personne qui a posé cette question. Du moins pas encore. Et cela est en soi-même un motif d'espoir.

3.3) « Pourquoi faites-vous l'éloge de cette prétendue beauté nordique ? Il y a beaucoup de Blancs laids, et il y a de beaux Non-Blancs aussi, donc votre argument esthétique n'est pas valable. »

3.3 Réponse : L'éloge de la beauté nordique est, bien sûr, approprié seulement pour ceux qui l'apprécient. En tant que raison ou justification pour la préservation nordique, il est efficace seulement avec ceux qui considèrent la beauté nordique comme valable et importante et digne d'être préservée. Il est inefficace avec ceux qui considèrent la beauté nordique comme étant sans valeur ou sans importance. En fin de compte, nous préserverons seulement ce que nous aimons, et si la race nordique est préservée elle le sera par ceux qui l'aiment, y compris ceux qui aiment sa beauté. En général, vous ne devez pas avoir à justifier la préservation nordique sur la base de sa beauté (« l'argument esthétique ») ou de son intelligence, car le droit d'une race à exister doit être un principe absolu de la moralité et ne pas dépendre de ses qualités, néanmoins sa beauté ­ basée sur des exemples appropriés (des célébrités habituellement bien connues, bien que votre utilisation d'elles comme exemples ne doit pas impliquer qu'elles soutiennent la préservation de leur race, ou tout autre de ses intérêts, car beaucoup, sinon la plupart, des célébrités établies dans le milieu culturel actuel vous décevront probablement à cet égard) ­ doit certainement être mentionnée à chaque occasion comme une raison pour laquelle elle doit être valorisée et aimée, et doit faire clairement comprendre à n'importe quelle personne sensible pourquoi sa beauté n'est pas interchangeable ou remplaçable par la beauté de toute autre race.

Quand Mr. Schelter m'a demandé ce qu'il y avait de si spécial dans la race blanche qui méritait d'exister (voyez la réponse à la question précédente) il jouait le jeu de la justification, le défi philosophique antique pour justifier son existence, ou l'existence de son peuple, sur le fondement qu'on est supérieur ou spécial, et donc digne exister, par quelque mesure externe. Mais la seule mesure qui compte est interne, elle vient de l'intérieur de nous. C'est nous qui rendons une chose valable, significative, importante ou spéciale en la considérant ainsi.
Toute valeur et signification est déterminée et conférée par nous (on nous dit maintenant que l'existence de la race nordique n'a aucune signification, valeur ou importance, et qu'il est erroné, immoral et « raciste » de penser autrement.). Je pense souvent au jeu de la justification comme au « piège de Schelter », la croyance fausse dans laquelle beaucoup tombent, selon laquelle la préservation de la race nordique doit être justifiée par l'affirmation qu'elle est supérieure aux autres races, ou inversement par la prétention que d'autres races sont inférieures, et que sans une telle supériorité elle ne mérite pas d'exister. Ce piège logique suppose que la supériorité est requise pour être digne d'existence. En définitive, le droit de notre race à exister ne dépend pas d'une quelconque supériorité sur toute autre race, que ce soit en beauté, en intelligence, en moralité ou en créativité, mais du fait même de son existence et de la présomption morale en faveur de la préservation de ce qui existe, et du fait qu'il y a des millions de gens qui l'aiment et la valorisent et désirent la continuation de son existence, dont les valeurs et les souhaits doivent être traités avec pleine considération et respect. Ce sont eux qui donnent de la valeur et de la signification à son existence et c'est par leur volonté qu'elle a le droit d'exister.

Si la personne niant les droits fondamentaux de la race nordique à la préservation et à l'indépendance est membre d'une race non-nordique, qui est offensée que vous considériez les traits qu'il ne possède pas comme valables et importants, irritée que vous aimiez et teniez pour chères des choses qui sont en-dehors de lui et dont il ne fait pas partie, et offensée que vous ne vouliez pas que votre race s'unisse à la sienne, se mélange avec elle et devienne ce qu'elle est, mais que vouliez qu'elle reste séparée et distincte de la sienne, vous devez lui dire que vous respectez le droit de sa race à l'existence et à l'indépendence dans ses propres foyers, que vous ne seriez pas offensé par son amour pour sa race et par son existence, et que vous attendez raisonnablement la même considération de sa part. De même, vous devez l'informer que la reconnaissance mutuelle du droit de chaque race à exister est la base essentielle pour la confiance et la bonne volonté dans les relations entre les races, que sans une telle reconnaissance il vaut mieux ne pas avoir de relations du tout, et que s'il ne respecte pas les droits et intérêts les plus vitaux et légitimes de votre race c'est vous qui avez un juste motif d'être offensé, pas lui.

3.4) « N'est-ce pas un fait qu'au Moyen Age le monde arabe était plus puissant, plus avancé et plus scientifique que le monde occidental ? Cela ne rend-il pas invalide votre supposition que la race nordique est une 'race de créateurs' ? »

3.4 Réponse : Cette question n'a pas vraiment de rapport avec le problème de la préservation raciale, et si elle est posée c'est probablement parce que le questionneur suppose, à tort ou à raison, que vous justifiez votre appel à la préservation nordique par l'affirmation qu'elle est une « race de créateurs ». Vous ne devez jamais laisser vos expressions d'éloge de votre race, de ses vertus, de sa beauté et de ses réalisations, même légitimes et bien-fondées, être prises comme justification pour sa préservation, ce qui impliquerait que vous pensez que le droit d'une race à exister dépend de telles considérations.

Cela dit, et pour répondre à la question, qui n'a pas de rapport avec le problème de la préservation raciale, Lawrence Brown, dans son livre de 1963 La puissance de l'Occident, y répond très bien. La science empirique fut une création unique du monde occidental, commençant au Moyen Age avec ces penseurs comme Roger Bacon qui posèrent ses fondations métaphysiques. La physique arabe était ce que Brown appelle « la physique de la magie », de la recherche alchimiste de la Pierre Philosophale ou d'autres pouvoirs magiques, et son influence sur l'Occident dans ce domaine fut néfaste. Quant à la puissance, au début des Croisades c'était certainement l'Occident qui menait l'offensive stratégique, exerçant le rôle dominant, et le monde arabe qui était sur la défensive, qui lui réussit finalement puisque l'Occident reconcentra ses énergies sur ses luttes internes. Quand on regarde la science et le savoir-faire et la technologie qui caractérisent le monde moderne, ce sont essentiellement des créations de l'Occident, adoptées par les autres peuples de l'humanité. Même avec la diffusion de la connaissance occidentale parmi les peuples très capables de l'Asie du Nord-Est, en particulier le Japon, la création première de la nouvelle technologie survient toujours en Occident, les autres peuples s'engageant dans la création secondaire, le développement ou le raffinement de la technologie que l'Occident a commencée. Si le rôle proportionné de la race nordique pendant l'Antiquité est plus difficile à déterminer, depuis le Moyen Age la race nordique a certainement été l'élément racial dominant dans le développement de l'Occident.

3.5) « Même s'il y avait des différences dans le développement, l'intelligence, etc., en quoi compteraient-elles ? Ce mélange de races, cette union mondiale ne fait-elle pas partie de notre destinée ? Cela rendrait le monde meilleur. »

3.5 Réponse : La destinée ? La destinée n'est pas préordonnée ou déterminée par une force externe quelconque. Elle est déterminée par nous, par notre choix, dont nous sommes responsables. Cette question est un autre exemple de la tentative de décrire la destruction de
la race nordique comme inévitable, comme une chose au-delà de notre contrôle, causée par quelque puissance externe, et échappant donc à la responsabilité de nos propres actions et choix, qui sont les vraies forces déterminantes du futur. Un monde meilleur ? Pourquoi une seule race mélangée serait-elle meilleure pour le monde que les nombreuses races distinctes qui existent aujourd'hui et qui ont existé dans ce monde depuis des dizaines de milliers d'années ? Plus spécifiquement, pourquoi le monde serait-il meilleur sans l'existence de la race nordique ? La planète n'est-elle pas assez grande pour tous ses enfants, une maison avec de nombreuses demeures ? Elle l'a été pendant des dizaines de milliers d'années. Pourquoi devrions-nous changer cela ? Et ne vous y trompez pas, si cela change ce sont les humains et leurs actions qui la changent. C'est une question d'action humaine, de choix et de décision humains, pas de destinée ou de quelque chose d'autre en dehors de nous. Nous pouvons choisir entre la continuation de l'existence des différentes races ou leur fusion en une seule race mélangée. Dans la pratique réelle plutôt que dans la théorie, pour le futur prévisible c'est en réalité un choix entre entre la continuation de l'existence de la race nordique dans ses foyers et son remplacement par une population afro-asiatico-européenne hybridée, dans laquelle l'élément européen sera génétiquement submergé (et donc effectivement éteint ou détruit), alors que les races non-européennes continueront à exister dans leurs propres foyers.

3.6) « Vous et vos partisans avez perdu tant de batailles pendant les 50 dernières années que la guerre doit être pratiquement perdue. Vos ennemis, les partisans du multiracialisme, jouissent d'une domination presque totale. Le mélange racial et le processus d'assimilation est allé si loin qu'une inversion de ce développement causerait bien plus de souffrance et d'inconfort que ce que les peuples nordiques, qui ont atteint un grand confort dernièrement, pourraient supporter. Donc pourquoi vous donnez-vous tant de peine ? Qu'est-ce qui vous fait croire que vous pouvez changer le monde, et aussi d'une manière si drastique ? »

3.6 Réponse : Drastique ? L'extinction de la race nordique serait un changement du monde bien plus drastique que la restauration des conditions normales de séparation raciale. Qu'est-ce qui fait penser aux partisans de l'extinction nordique qu'ils peuvent faire cela, ou qu'ils doivent le faire ? Cela semble être une autre version de l'affirmation de l'inévitabilité, que toute résistance est futile. Bien sûr, si les gens peuvent être amenés à croire que cela est vrai, alors il y a des chances que cela devienne la vérité, car ils perdront la volonté de résister.

Quant à savoir si la guerre est pratiquement perdue, en fait nous n'avons pas encore commencé à combattre. Il n'y a eu jusqu'ici aucune opposition nordique significative au multiracialisme et aux forces de destruction raciale qu'il a mis en mouvement. C'est pourquoi, jusqu'ici, la plupart des Nordiques sont encore ignorants de ce qui est en jeu, ne réalisent ou ne comprennent pas encore ce qui est en cours, sont encore inconscients des conséquences des politiques multiraciales. Parfois quand vous mentionnez ces conséquences vous entendez les réponses et les questions nihilistes raciales listées ici, mais beaucoup plus souvent vous voyez et vous entendez des expressions d'incrédulité et d'incompréhension. Même des gens intelligents et réfléchis, même des experts supposés du problème racial, ne peuvent pas comprendre le fait que la préservation raciale requiert l'isolation reproductive par rapport aux autres races, ce qui requiert la séparation raciale. Ils ne comprennent pas ce que tout anthropologue compétent doit savoir (et que nos questionneurs antagonistes savent) ­ que des races partageant le même territoire finiront par se fondre en une seule race. Aucun éminent spécialiste, leader politique, journaliste ou figure médiatique n'admettra ni ne reconnaîtra ce fait en public. Pas encore. Ni dans le passé. Quand les gouvernements des pays nordiques ont commencé leurs politiques de multiracialisation, ils n'ont pas déclaré publiquement que la conséquence ultime serait la destruction et le remplacement des peuples nordiques dans leurs foyers. Si les leaders de l'establishment politique, économique et culturel qui ont promu ces politiques étaient conscients de leurs conséquences, que tout anthropologue compétent aurait pu leur annoncer s'ils n'avaient pas l'intelligence nécessaire pour les voir par eux-mêmes, ils ne les ont certainement pas reconnues en public. Au contraire, il y a eu une longue liste de dissimulations, de désinformations, d'esquives et d'occultations sur cette question, une pratique qui a été si efficace qu'ils n'ont jamais été publiquement défiés ou interrogés là-dessus, donc ils n'ont même pas eu besoin de les nier.

La bataille pour la préservation de la race nordique n'a pas encore commencé, et elle ne commencera pas vraiment avant que les peuples nordiques ne soient pleinement avertis et informés de ce qui s'est passé, de ce qui est en cours et de ce qui arrivera avec l'évolution actuelle, pas avant qu'ils ne soient complètement conscients de leur situation, incluant le fait que cela n'est pas inévitable, et qu'il existe des alternatives possibles différentes de celles qui leur sont proposées par l'establishment multiracialiste. Sans la conscience de toutes les alternatives et de leurs conséquences, sans toute l'information et la connaissance appropriée, ils ne peuvent pas prendre une décision ou un choix informé, et jusqu'ici ils n'ont pas été informés mais ont été maintenus dans un état d'ignorance. Si le questionneur pense que la bataille pour la préservation nordique est déjà perdue, alors défiez-le d'affirmer cette conviction publiquement, de le déclarer dans un forum public (si l'animateur le laisse faire) ou de le mettre par écrit et de le signer de son nom. S'il le fait, cela ne pourra que nous aider à triompher de l'incrédulité et de l'incompréhension que nous rencontrons très souvent dans nos efforts pour rendre notre peuple plus conscient. Bien sûr, s'il n'est pas une personne importante (comme c'est typique pour ceux qui reconnaissent et soutiennent publiquement les conséquences du multiracialisme) ses mots auront peu d'influence. Le fait que les gens éminents et importants qui promeuvent le multiracialisme ne disent ou ne reconnaissent pas publiquement ce que fait ce questionneur est notre meilleure assurance que nous n'avons pas encore perdu, que notre race peut encore être sauvée de la destruction qu'ils ont planifiée pour elle si les peuples nordiques deviennent conscients de la situation et des alternatives possibles, et qu'ils [les leaders multiracialistes] savent cela, et qu'ils le craignent, et c'est la raison de leurs silences, esquives et dénégations.

De quel genre de souffrance et d'inconfort parle l'interrogateur ? De souffrance et d'inconfort physiques à cause des mouvements de populations pour restaurer les conditions normales et naturelles de séparation raciale et d'isolation reproductive requises pour la préservation raciale ? Des dizaines de millions de personnes parcourent de grandes distances autour de cette planète chaque année sans souffrance ou inconfort physiques. En fait, beaucoup le font pour le plaisir. Nous les appelons les touristes. La technologie moderne du transport a réduit l'inconfort du voyage ou du déplacement au point où c'est presque seulement une question d'état d'esprit. De souffrance et d'inconfort émotionnels ? Nous devons bien sûr faire tout ce qui est raisonnable pour minimiser cela. Mais cela sonne comme une affirmation qu'il est déjà trop tard pour sauver la race nordique, que le processus de multiracialisation est déjà allé trop loin, et que nous devons donc abandonner et accepter sa destruction et son remplacement. C'est peut-être un peu un souhait de la part des multiracialistes, et plus qu'un peu hypocrite, qu'après avoir minimisé les effets du multiracialisme pendant tant d'années en le décrivant comme un inoffensif exercice humanitaire, ils doivent à présent exagérer ses effets pour pouvoir prétendre que la destruction de la race nordique doit maintenant être acceptée comme irréversible. Bien sûr, le processus n'est pas encore allé trop loin et peut encore être inversé. La race nordique existe encore sous une forme essentiellement entière et non-diminuée. Mais le temps n'est pas de notre coté. Chaque année la situation s'aggrave et l'ampleur des dégâts et des pertes raciales augmente. Donc les remarques du questionneur doivent être prises comme une raison de ne pas différer nos efforts ou de ne pas y renoncer, ou avant peu ses paroles deviendront vraies.

 

4. LA REALISATION DE LA PHILOSOPHIE RACIALISTE [c'est-à-dire préservationniste raciale] ­ VERS UN TERRITOIRE PAN-NORDIQUE
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Ces questions concernent la manière dont votre philosophie peut être réalisée.

4.1) Pensez-vous que les Etats ethniques soient une option réaliste ? En combien de temps ? Quelles sont les conditions pour lancer le processus de construction de ces Etats ?

4.1 Réponse : Si par Etats ethniques vous entendez la séparation des races dans leurs propres pays ou Etats-nations indépendants, vous vous référez à la condition requise pour la préservation et l'indépendance raciales. S'ils ne sont pas une option réaliste, alors la préservation et l'indépendance raciales n'est pas une option réaliste. Abraham Lincoln disait que la difficulté de la tâche ne compte pas, que là où il y a une volonté il y a une route. C'est certainement réaliste. Autant que la capacité physique soit concernée, c'est très réaliste. Les races peuvent être séparées au moins aussi facilement qu'elles ont été mises ensembles. C'est seulement une question de volonté humaine. Si nous voulons et désirons des Etats ethniques, si c'est notre volonté, alors nous les aurons. La condition pour lancer le processus de leur construction est de faire savoir aux gens qu'ils sont possibles, qu'ils représentent une alternative, et qu'ils sont nécessaires pour la préservation raciale, créant ainsi à l'intérieur de notre race une volonté générale, un consensus pour un but, pour les réaliser.

4.2) Pensez-vous que les immigrants non-nordiques dans les anciens foyers raciaux nordiques (c'est-à-dire en Europe) puissant être persuadés de partir pacifiquement ? Quelles sont les conditions pour lancer ce processus ? Quelle aide, bien sûr d'un point de vue pragmatique, devons-nous leur offrir ? Quelles sont les chances pour que cela provoque des conflits violents (comme en Bosnie) ?

4.2 Réponse : Je pense que la réponse des Non-Nordiques au préservationnisme nordique dans les pays nordiques dépendra en partie de leur reconnaissance de sa correction morale, et en partie de l'ampleur de l'appui dont le mouvement préservationniste jouira à l'intérieur de la race nordique elle-même. Plus l'appui au préservationnisme sera fort à l'intérieur de la race nordique, plus le degré de reconnaissance et d'acceptation qu'il pourra recevoir du fait des Non-Nordiques sera grand. S'il parvient à obtenir un soutien majoritaire à l'intérieur de la race nordique, sa légitimité en tant qu'expression de la volonté nordique serait indéniable et la crédibilité morale du multiracialisme et le consensus supposé qui le soutient seraient détruits.
Nos espoirs de résolution pacifique de ce problème dépendront du respect des droits et intérêts légitimes des autres races, de leur traitement honorable, de leur fournir une situation dans laquelle leurs droits et intérêts vitaux ne seront pas menacés, et en leur montrant que la séparation préservationniste est soutenue par la volonté résolue de la race nordique, qui n'en déviera pas. De même que nous éduquons les membres de notre propre race concernant les raisons de la séparation, qu'elle est impérative pour la préservation raciale, nous espérons aussi éduquer de nombreux membres des autres races. S'ils peuvent être amenés à comprendre que nos motifs ou nos raisons pour rechercher la séparation ne sont pas de leur causer du tort, mais d'assurer la continuation de notre existence, nos droits et intérêts les plus vitaux et légitimes, et que cela est moralement juste et approprié, et que nous avons de la bonne volonté envers eux, que nous ne leur voulons pas de mal mais du bien, et que nous respectons leurs droits et intérêts légitimes, certainement certains d'entre eux, et j'espère beaucoup, ferons ce qui est juste et nous apporterons leur appui. Nous devons faire tout ce qui est raisonnable pour maximiser l'appui et minimiser l'opposition, en réduisant les raisons ou les justifications à la résistance, pas seulement à l'intérieur de notre propre race, mais parmi les autres races aussi. Certainement, plus nous aurons d'appui de la part des autres races dans cette entreprise, plus elle sera facile, et plus les relations entre les races seront meilleures plus tard.

4.3) Au début de DOA [Destiny of Angels], vous dites que la dissuasion sans une capacité réelle de soutenir une agression hostile venant de l'extérieur n'est pas suffisante pour assurer les intérêts de la Race. Que se passera-t-il si la Règle d'Or Raciale n'est pas acceptée par toutes les autres races, ou si elle est acceptée seulement par les Nordiques ? Si une ou plusieurs races n'acceptent pas l'interruption de l'appui matériel du Nord et commencent à réarmer et à exprimer de l'hostilité envers le Nord et donc à acquérir la capacité de surmonter les mesures défensives du Nord, comment le Nord répondrait-il à une telle menace, ou à une telle menace potentielle ?

4.3 Réponse : Bien sûr il vaudrait mieux que les principes des relations raciales exprimées dans la Charte Raciale et la Règle d'Or Raciale soient mis en uvre multilatéralement plutôt qu'unilatéralement, mais nous devons être prêts à les mettre en uvre unilatéralement pour la protection de nos propres intérêts si nécessaire. La reconnaissance du droit de chaque race à exister est la base nécessaire pour la confiance et la bonne volonté dans les relations entre les races. Toute race ayant refusé de reconnaître ce droit, et d'agir en accord avec lui, ne doit pas être autorisée à empêcher ou à interférer avec la réalisation de notre objectif de préservation et d'indépendance raciales. Si la race nordique peut réaliser son indépendance en étant unie et avec sa force intacte, elle devrait être capable de se défendre contre des menaces extérieures.

4.4) Existe-t-il des organisations aujourd'hui qui sont proches de votre philosophie ? Quelles organisations sont les plus proches ? Avez-vous pu exercer une influence pour changer et élargir le champ mental de certaines organisations ou autres forces politiques ?

4.5 Réponse : Je ne connais aucune organisation existante qui approche de ma philosophie.
Je présume qu'une telle organisation reste à créer. La plupart des organisations racialistes existantes, et ceux qui en sont membres, ont un état d'esprit existant qui est difficile à changer. Le problème est que cet état d'esprit est souvent une partie de notre problème, car c'est un état d'esprit qui ne plaît pas à la grande majorité de notre race, mais qui aliène et repousse plutôt la plupart des gens de qualité, ainsi que les masses de gens plus ordinaires, que nous devons séduire si nous voulons gagner le large appui populaire dont nous avons besoin pour sauver notre race. Souvent leurs buts et leurs méthodes sont tels qu'ils ne les reconnaissent pas ouvertement car ils s'aliéneraient instantanément tout le monde sauf les partisans les plus fanatiques. Cela détermine leur vision stratégique, les amenant à accepter comme sagesse conventionnelle la supposition que pour notre race les conditions devront s'aggraver beaucoup avant qu'ils aient des chances d'obtenir un large appui, car les gens devraient être terriblement désespérés ou enragés pour accepter leur programme. Cela les rend dépendants des événements extérieurs, ou de quelque chose en-dehors d'eux-mêmes et au-delà de leur contrôle, ou de quelque chose qui rendra un grand nombre de membres de notre race terriblement désespérés, ou de quelque chose qui n'arrivera probablement jamais ou qui arrivera seulement lorsqu'il sera trop tard, quand la situation de la race nordique se sera détériorée au point qu'elle ne sera plus capable de se sauver elle-même. Cela tend à engendrer une position passive plutôt qu'active, puisqu'ils supposent qu'ils ne peuvent pas faire grand-chose sauf espérer que des événements externes changent la situation. Ils n'envisagent pas
de changer leur programme, l'alternative qu'ils proposent, pour en faire une alternative que les gens pourraient accepter maintenant, dans les conditions actuelles, comme préférable à l'évolution multiracialiste actuelle. Pour user d'une métaphore, le patient devra être vraiment très malade avant qu'il accepte le médicament qu'ils proposent comme remède. S'ils proposaient un médicament qui ait bon goût, ils ne rencontreraient pas une telle résistance de la part du patient et pourraient le sauver avant qu'il ne meure.

4.5) L'organisation qui, selon certains, est la plus développée et la plus résolue aujourd'hui est la National Alliance. Que pensez-vous d'eux ? Que pensez-vous du Dr. William Pierce et de sa vision stratégique ? Le chapitre « Vrai et faux racisme » de TRC [The Racial Compact] ne peut certainement pas être utilisé pour décrire la vison de l'Alliance concernant les relations raciales.

4.5 Réponse : Je ne peux pas parler à la place du Dr. Pierce, donc je ne lui attribuerai pas des idées que je n'ai pas vues exprimées explicitement dans ses écrits. Concernant sa vision stratégique, il est l'un de ceux qui ont exprimé la position racialiste conventionnelle (comme noté dans ma réponse à la question précédente) selon laquelle les conditions devront beaucoup empirer avant que son mouvement puisse espérer recueillir un large appui. Si son remède est similaire à l'évolution qu'il décrit dans sa nouvelle Les Carnets de Turner, les conditions devraient devenir très mauvaises en effet, peut-être même aussi mauvaises qu'il l'imagine dans sa nouvelle, avant que beaucoup de gens décident de le soutenir. Pour ma part j'espère certainement que la situation de notre race n'arrivera jamais à des conditions aussi désespérées, où de telles mesures extrêmes et désespérées seraient prises par des hommes et des femmes aussi désespérés.

4.6) Quelles sont les principales faiblesses de ces organisations et de ces forces opposées à la structure de pouvoir multiculturaliste actuellement dominante ?

4.6 Réponse: Je pense que mes réponses aux deux questions précédentes fournissent une partie de la réponse à cette question aussi, mais je vais développer. Une faiblesse ou un défaut habituel que je trouve dans beaucoup d'organisations est qu'ils ne reconnaissent pas adéquatement le problème primordial ­ que la question n'est rien moins que la survie raciale, que la continuation de l'existence de notre race est en jeu ­ et cela les conduit à grandement minimiser la gravité de notre problème et des mesures nécessaires pour le résoudre. Ces organisations esquivent ou nient la réalité de ce problème ­ ce en quoi ils font essentiellement écho à la structure de pouvoir multiracialiste elle-même ­ soit ils le minimisent comme ayant peu de chances d'être une préoccupation sérieuse dans l'avenir prévisible. Ils concentrent donc leur attention sur les problèmes moins graves ou secondaires du multiracialisme, qui peuvent être théoriquement résolus par des moyens autres que la séparation. Evidemment, comme ils ne reconnaissent pas le problème primordial menaçant la race nordique à cause du multiracialisme, mais qu'ils l'ignorent effectivement, ils ne proposent pas d'alternative qui lui apporterait une solution. Dans la mesure où le préservationnisme racial est concerné, ils ne parlent pas du problème et n'ont pas de message à proposer. Ils sont encore dans l'obscurité, encore inconscients, encore ignorants, au sujet de ce qui est en train d'arriver à leur race. Ils ne peuvent pas voir que la question n'est rien moins que la continuation de l'existence de leur race. En cela ils sont comme la majorité de leur race en totalité, et cela les aiderait à s'éveiller à la véritable situation s'ils étaient présentés à certains des gens qui posent le genre de questions nihilistes auxquelles j'ai répondu ci-dessus dans la section 3.

Une partie de ce type d'organisations est celle qui prétend soutenir la préservation raciale, et qui dit même qu'elles prônent la séparation, mais qui propose comme solution une alternative qui est inadéquate, où les races soit ne sont pas séparées géographiquement dans leurs propres pays et gouvernements, mais seulement par des arrangements sociaux volontaires, soit où seule une fraction survivaliste de la race est séparée dans un petit foyer national alors que la grande majorité de la race est condamnée à périr des conséquences du multiracialisme. De telles propositions peuvent peut-être s'expliquer par un effort de se conformer aux sensibilités libertaires individuelles, mais elles sont inadéquates pour réaliser la préservation et l'indépendance raciales, et représentent une autre tentative d'esquiver la véritable ampleur du problème.

Un autre type d'organisation, dont la structure de pouvoir multiracialiste prétend typiquement qu'elles représentent la seule forme de pensée raciale, auxquelles tous les penseurs racialistes sont censés adhérer inconditionnellement, est celui du genre suprématiste ou même génocidaire. Ce type d'organisation ne reconnaît pas ou ne respecte pas les droits ou les intérêts des autres races. Il peut reconnaître la gravité de la situation, mais ne reconnaît pas le fait que la préservation raciale ne requiert pas des mesures qui causent du tort aux autres races, et qu'elle ne peut donc certainement pas être utilisée pour justifier de telles actions. Les mesures qu'ils recommandent sont typiquement violentes et dures, et pas nécessairement pour des objectifs préservationnistes, et donc apparemment motivées par d'autres buts et servant ces autres buts. Ils s'identifient souvent avec le « nazisme » (le national-socialisme), un mouvement politique nationaliste qui violait les droits des autres nations et races, et dont les actions n'étaient en aucune manière liées aux buts légitimes de la préservation raciale. De telles organisations sont aujourd'hui communément appelées « groupes de haine », et ce terme a souvent une certaine validité lorsqu'il leur est appliqué. Les multiracialistes prétendent que toute la pensée racialiste, même défendant la préservation raciale et les droits des races, appartient en fait à cette catégorie, car ils refusent de reconnaître l'existence possible de formes alternatives de racialisme qui soient moralement et intellectuellement crédibles et capables d'attirer un large soutien populaire. Malheureusement, ils ont très bien réussi dans cet exercice, et sont en fait aidés par les activités de ces organisations racialistes et de leurs membres, qui sont largement perçus comme étant les seuls représentants de la pensée et de l'action racialistes, mais qui ne font en fait que rendre un mauvais service à leur race, et un grand service aux multiracialistes, en aliénant la grande majorité de leur race des valeurs pro-raciales. La plupart des gens n'en connaissent rien de plus, ainsi les multiracialistes peuvent prétendre que ces groupes représentent la seule alternative à leur politique, et identifient toute résistance ou opposition, ou tout désaccord avec leur politique, avec un appui à la politique de ces groupes. Ainsi la plus petite expression d'opposition au programme multiracialiste peut conduire l'orateur à être associé avec le nazime et ses crimes. Avec un tel blackout d'informations, où les gens ne connaissent aucune alternative au multiracialisme et à ses conséquences autre que les groupes quasi-nazis, il est habituel pour ceux qui sont les plus déterminés à s'opposer au multiracialisme de rejoindre ces groupes. Nous devons proposer une autre alternative, un autre choix, une ligne d'action constructive pour ceux qui veulent sauver la race nordique.

Je résumerai en disant que les organisations activistes raciales que je connais soit n'ont pas adopté une philosophie préservationniste compréhensible qui expose une alternative préservationniste adéquate soit n'en ont pas adopté une qui soit en accord avec les sensibilistés et les valeurs morales de la majorité de notre race, ce qui est requis pour attirer le large soutien populaire nécessaire si nous voulons avoir une chance réaliste de sauver notre race des effets destructeurs du multiracialisme.

4.7) Existe-t-il des pays ou des organisations non-nordiques / non-blanches dont vous pouvez espérer qu'ils feraient bon accueil à la philosophie de la Charte Raciale ? Par exemple, le Japon, ou la « Nation de l'Islam » ? [le mouvement des Musulmans Noirs américains, NDT]

4.7 Réponse : La plupart des peuples non-européens du monde suivent déjà des politiques qui sont dans leur intérêt racial, bien qu'ils ne puissent pas exprimer ces politiques dans une philosophie racialiste formelle. Je suspecte que beaucoup de Japonais seraient largement d'accord avec les principes de la Charte Raciale. La Nation de l'Islam parle de séparation raciale et d'indépendance mais je ne sais pas jusqu'où irait leur appui à cette idée si on leur donnait réellement le choix. Ce choix séparerait les véritables Nationalistes Noirs de ceux qui ne font que gesticuler.

 

5. LA PROMOTION DE VOTRE PHILOSOPHIE
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5.1) Dans vos livres vous exprimez votre vision philosophique, mais pouvez-vous nous parler de votre vision stratégique ? Comment gagnerons-nous les curs et les esprits des peuples nordiques, comment le message doit-il être transmis et comment pouvons-nous trouver et toucher les gens qu'il faut ?

5.1 Réponse : Nous devons toucher les gens avec notre message par tous les moyens auquels nous pouvons penser et qui sont disponibles. J'ai commencé avec des livres et des articles de magazines, tous de tirages très limités. Maintenant l'internet est disponible donc je suis en-ligne, et j'espère que cela se révélera être un grand média de communication pour notre cause. Avec suffisamment de gens pour faire le travail, des pamphlets et des tracts sont aussi des instruments utiles. Nous devons utiliser tous les moyens à notre disposition. Mais d'abord nous devons avoir le message juste, ou tous nos efforts seront futiles et inefficaces.

Nos efforts doivent être en fin de compte dirigés vers l'action politique. Les campagnes électorales sont de grands instruments éducatifs. Notre mission est de convaincre les nôtres de voter pour le salut, la continuation de l'existence, la préservation et l'indépendance de leur race. Ceci étant dit, cela semble être une évidence, stupidement simple, néanmoins dans notre type de situation actuelle proche du « film noir » c'est terriblement difficile, tellement que beaucoup disent que c'est déjà trop tard. Pour accomplir cette mission, nous devons d'abord établir notre crédibilité et notre intégrité morales et intellectuelles dans les esprits des électeurs. Nous devons les rendre concients à la fois des conséquences racialement destructrices du multiracialisme, l'évolution actuelle, et de l'alternative préservationniste que nous proposons, que nous devons décrire de manière aussi détaillée qu'il est raisonnablement possible. Cela définira notre position, ce que nous devons faire par nous-mêmes sinon nous pouvons être sûrs que nos adversaires ­ des maîtres de la désinformation ­ seront heureux de le faire à notre place, tout en notre défaveur. Notre position pourra déplaire à beaucoup de gens, en particulier au début quand ils n'auront pas encore pensé aux alternatives, mais cela nous sera beaucoup plus favorable que la position que l'adversaire tentera de nous attribuer. Nous devons promouvoir la Charte des Droits Raciaux, établissant clairement que notre mouvement respecte et soutient les droits et intérêts légitimes de toutes les autres races et ne leur veut aucun mal, que nous ne sommes opposés aux droits légitimes d'aucune race, que nous désirons le même considération de la part des autres races pour nos droits légitimes, que nous n'acceptons pas dans notre mouvement ceux qui pensent autrement, et que quiconque se comporte autrement sera exclu. Nous devons dire clairement que nous condamnons les actes de violence illégale et de terrorisme, et que de tels actes ne promeuvent pas la cause préservationniste.

Nous devons prendre le contrôle du débat en faisant de notre thème la question-clé dont doivent parler et à laquelle doivent répondre tous les politiciens et tous les personnages publics, les obligeant à donner leur position sur la question de la préservation et de l'indépendance raciales nordiques, sans permettre aucune esquive ou négation, sans leur permettre d'éviter la question plus longtemps. Ces nihilistes raciaux anti-nordiques de moindre importance qui nous ont opposé leurs appels explicites pour l'extinction de notre race se révéleront alors être une source d'embarras pour leurs co-nihilistes plus importants, car leur langage imprudent reviendra les hanter et saper leurs efforts pour nier les conséquences de l'évolution qu'ils nous ont imposée. Finalement, lorsqu'un degré suffisant de conscience situationnelle sera atteint dans le public, la position de la structure de pouvoir multiracialiste sera moralement et intellectuellement discréditée, et son consensus de soutien général se dissoudra. Cela, du moins, est ce que je voudrais voir arriver. Il y a un proverbe qui dit que si vous bâtissez une église, les gens viendront pour la remplir. Nous devons bâtir un mouvement sur une bonne fondation, sur le message juste, une philosophie compréhensible des relations raciales, et ensuite espérer que les gens justes, les gens honnêtes, viendront pour le remplir.

5.2) Combien d'exemplaires de vos livres ont-ils été imprimés et vendus ?

5.2 Réponse : Pas assez ! Les livres sont très chers, particulièrement pour quelqu'un comme moi qui a des ressources limitées. Ils sont aussi difficiles à distribuer, particulièrement si vous ne pouvez pas vous permettre de faire de la publicité. Bien que je sois un bibliophile passionné, et que rien ne puisse remplacer l'expérience physique tangible d'un livre, l'internet est beaucoup moins cher, et si nous l'utilisons bien, nous pouvons espérer qu'il nous permettra de briser les barrières de distribution rencontrées par les livres.

5.3) Quel genre de réponses, et combien de réponses avez-vous reçues pour vos livres ?

5.3 Réponse : Une différence entre l'internet et les livres ­ les réponses que j'ai reçues des lecteurs de mes livres sont presque toujours très positives, alors que les réponses sur mon site web sont divisées de manière à peu près égale entre pour et contre. Certaines des réponses contre sont très intéressantes et significatives en révélant les processus d'opposition, d'autres sont des « brûlots » qui sont souvent si hostiles qu'ils ne peuvent pas exprimer leurs arguments d'une manière rationnelle ou polie. Certaines réponses sont « à coté de la plaque » et très excentriques, mais cela s'applique aussi à certains des lecteurs des livres.

5.4) Jusqu'ici, aucun d'entre nous n'a entendu dire que votre travail ait été particulièrement représenté par des organisations préservationnistes raciales ­ il pourrait et devrait être beaucoup plus connu ! Comment se passe la dissémination de vos écrits et de votre philosophie et quelle couche de population semble être la plus réceptive ?

5.4 Réponse : Les graines sont maintenant semées, et certaines portent des fruits, mais c'est un processus douloureusement lent avec des ressources très limitées. Généralement, les couches les plus réceptives sont celles des gens très intelligents et conscients qui partagent un trait essentiel ­ la continuation de l'existence et le bien-être de leur race sont importants pour eux. Ce sont ceux qui aiment leur race et s'inquiètent de son avenir, et c'est ce à quoi on pouvait s'attendre. Mais jusqu'ici, seule une infime fraction de cette couche même a une certaine conscience de ma philosophie.

5.5) Quelle sorte d'aide accueilleriez-vous le plus chaudement ? Quelle chose pourrait-elle causer d'après vous une percée majeure de cette philosophie dans des secteurs importants ?

5.5 Réponse : Toutes les sortes d'aide seront les bienvenues, toutes les contributions acceptées avec plaisir. Nous avons besoin de toutes les ressources possibles, sans oublier que ce sont les gens que nous recherchons vraiment, et que toutes les autres ressources sont simplement un moyen pour toucher et j'espère convaincre plus de gens. Cela se ramène entièrement à une question de gens, de gens soutenant la continuation de l'existence de leur race, avec leurs contributions, leur temps, leurs efforts et leurs votes. Chaque personne que nous amenons à soutenir notre cause est une percée. Une percée majeure impliquerait de gagner le soutien d'une personne majeure, une personne de rang important qui attirerait du public et créerait une légitimité. Pour moi personnellement l'aide suprême serait d'acquérir les moyens de dévouer tout mon temps à la cause préservationniste au lieu de passer la majeure partie de mon temps à travailler pour vivre. Nous n'aurons pas vraiment un mouvement tant qu'il ne pourra pas se permettre de s'offrir un groupe d'activistes et de porte-paroles dévoués à plein temps.

5.6) La Charte des Droits Raciaux que vous avez conçue semble pouvoir être promue très bien dans notre société contemporaine (puisque la manière dont elle est présentée ­ une déclaration de droits humains ­ est une chose à laquelle les forces égalitaristes altruistes, anti-nordiques à l'intérieur de la civilisation occidentale ne sont pas accoutumées à faire face, bien que nous pouvons être sûrs qu'à un moment donné ils lanceront une contre-offensive). Mais quelle stratégie serait d'après vous la meilleure pour la promouvoir ? Pourrait-elle être envoyée à certaines institutions, et/ou organisations, et/ou individus (et bien sûr à quelles institutions/organisations/individus) ?

5.6 Réponse : Elle a été conçue pour être indépendante et pour être aisément comprise par la plupart des gens, en faisant appel à leur sens le plus basique de ce qui est juste et bon. Elle peut être épinglée sur une porte comme les thèses de Luther, collée sur un mur, donnée à des passants, lue dans un meeting, envoyée par mail à presque tout le monde, ou affichée sur un site web. Il serait intéressant de voir comment les multiracialistes pourraient tenter de s'y opposer, mais cela ne m'effraye pas. Je suis bien plus inquiet à l'idée qu'ils l'ignorent, que la culture l'ignore, et que pas assez de gens en prendront connaissance pour créer une masse critique suffisante pour avoir un effet. C'est leur meilleur moyen de la contrer.

 

 

6. LE FUTUR PROCHE
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6.1) A part vos articles additionnels sur votre site web, travaillez-vous aujourd'hui sur quelque chose de particulier ? Un nouveau livre peut-être ? Y en a-t-il un de prévu ?

6.1 Réponse : Un livre est un projet majeur à la fois en terme de temps et d'autres ressources, et le plus critique de tout, d'idées. Je n'ai pas de livre en préparation en ce moment, mais je suis en train de développer quelques idées pour de nouveaux articles, que je mettrai sur mon site web.

 

Richard McCulloch
30 octobre 1998

 

NOTE DU TRADUCTEUR

Richard McCulloch est américain. Il s'est consacré à la défense de la race nordique, violant ainsi un tabou encore plus grand que l'invasion de l'Europe par l'immigration. Il distingue entre la race nordique « pure » (présente notamment dans certaines parties de la Scandinavie) qu'il désigne en anglais par le nom de « Nordic Race » et la race nordique « globale », pour laquelle il a créé le nom et le concept de « Nordish Race ». Il est malaisé de transposer ces concepts en français, mais grosso modo « Nordic » correspondrait à « nordique » et « Nordish » pourrait se traduire par « Nordide ». Pour des raisons de commodité, nous avons utilisé le mot « nordique » dans tous les cas dans la traduction française.

R. McCulloch a toujours veillé à ne pas être agressif envers les autres races, recherchant au contraire le dialogue, et un consensus démocratique qui permettrait d'assurer la survie de la race nordique. Il est cependant violemment attaqué par des tendances d'extrême-droite radicale qui lui reprochent de diviser la race blanche « globale » (« White Race ») et de rejeter les Blancs d'origine latine ou méditerranéenne (paradoxalement, les groupes d'extrême-droite les plus radicaux, notamment américains, sont très souvent opposés au « nordicisme » et se focalisent plutôt sur le concept de « Blanc »).

Nous proposons de résoudre cette querelle par le concept des cercles concentriques. Dans cette optique, la race nordique forme alors le noyau de l'ensemble europoïde, celui-ci formant à son tour le cur de l'ensemble « blanc » (qui comprend aussi une bonne partie des Iraniens, des Arabes, des Turcs, des Juifs, etc.), qui à son tour n'est pas hermétiquement séparé de l'ensemble asiatique, etc. Cette vision a l'avantage non seulement de réconcilier les deux approches identitaires « blanches », mais aussi de ne pas s'enfermer dans une conception fermée et paranoïaque de la race (avec des séparations radicales et artificielles), favorisant au contraire une vision ouverte et dynamique. Les métissages, types intermédiaires, unions, circulations, etc., ne sont pas forcément mauvais en soi (par ex., le mélange entre Européens et Asiatiques donne souvent de bons résultats, tant génétiquement qu'esthétiquement, alors que le mélange entre Européens et Africains est un désastre pour les premiers), car les races n'ont pas été « créées » une fois pour toutes, mais sont en constante évolution. Les races sont vivantes, elles peuvent disparaître, et de nouvelles peuvent naître. Mais il n'en reste pas moins que la défense de leur existence (et notamment des plus belles et des plus vulnérables au mélange génétique) est légitime, et ne doit céder à aucun chantage à la « tolérance » et à la « fraternité humaine » (même une religion aussi pacifique que le bouddhisme enseigne que la défense de sa propre existence est une chose légitime). Les Europoïdes ont le droit d'exister, et ils ont le droit à un territoire.

Richard McCulloch est l'auteur de divers articles, et des livres suivants :

- Ideal and Destiny (1982)
- Destiny of Angels (1986)
- The Nordish Quest (1989)
- The Racial Compact (1994)

Son site internet est : www.racialcompact.com

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