CEUX QUE LES DIEUX VEULENT DETRUIRE

Richard McCulloch

 

 

« Quand tombe sur l'homme la colère des dieux, il bannit d'abord de son esprit la compréhension. » -- Lycurgue

« Quand la puissance divine veut du mal à un homme, elle s'attaque d'abord à son esprit. »
-- Sophocle

« Ceux que les dieux veulent détruire, il les prive d'abord de leur bon sens. »
-- Euripide

« Celui que Dieu veut détruire, d'abord il le rend fou. »
-- Sénèque

« Pour ceux que Dieu a conçu la perte, Il décide de leur sort, et d'abord il détruit leur esprit. » -- John Dryden

« Ceux que les dieux veulent détruire, d'abord il les rend fous. »
-- Henry Wadsworth Longfellow

« Nous devons être fous, littéralement fous, en tant que nation, de permettre l'afflux annuel de quelque 50. 000 assistés, qui sont pour la plus grande part la base d'une future croissance de la population d'origine immigrée. C'est comme regarder une nation s'acharner à préparer ses propres funérailles. » -- Enoch Powell (1912-1998), membre conservateur du Parlement britannique, lors d'un discours en 1968 sur les dangers de l'immigration non-blanche, discours qui lui coûta effectivement toute chance d'accéder à un poste supérieur.

 

 

Les faits sont souvent plus étranges que la fiction. Nous sommes souvent amusés par des uvres apocalyptiques de fiction dans lesquelles l'humanité, ou une partie importante de celle-ci, est menacée de destruction. Nous sommes les témoins des efforts pleins de suspense des protagonistes pour la sauver. Dans le monde réel, nous sommes aussi des témoins ­ mais d'un drame de la vie réelle, qui est bien plus qu'une imitation artistique de la vie. Le drame se déroulant devant nous est l'affaiblissement et l'extinction progressive de la race nordique par un processus de mélange et de remplacement racial. Son existence a déjà subi une perte et un affaiblissement majeurs. Pourtant la moralité dominante actuelle interdit aux Européens nordiques de s'engager dans un effort pour la sauver, ou de sympathiser avec un tel effort, ou même de s'inquiéter de sa situation critique. Ils ne sont pas autorisés à s'opposer à la destruction en cours de leur race, mais sont supposés la soutenir.

Dans la fiction, une tragédie est un affrontement moralement significatif se terminant par la destruction ou la chute de quelque chose ou de quelqu'un de grande valeur ou de grande importance. Les auteurs dramatiques de la Grèce ancienne ont inventé la forme, en soulignant le rôle de la moralité dans le conflit. Ils ont aussi été à l'origine des mises en garde classiques citées ci-dessus, selon lesquelles la folie précède et cause la destruction. Mais l'essence de la folie consiste en ce que ceux qui en sont affligés ne peuvent pas la voir, et considèrent comme fous ceux qui la voient. Les puissances divines, régnantes ou dominantes qui les ont rendus fous, qui les ont tournés contre leurs propres intérêts vitaux, contre eux-mêmes, pour causer leur propre destruction ­ par l'intermédiaire d'une idéologie, d'une religion, d'une moralité ou d'un système de croyances et de valeurs autodestructeur ­ les empêchent d'être conscients de leur folie et du sort qu'elle leur prépare.

La race nordique a été tournée contre elle-même. Elle a accepté une idéologie ou une moralité dominante, un système d'idées, de croyances et de valeurs, qui nie et viole ses droits et ses intérêts vitaux, encourage sa diminution et sa destruction, l'empêche d'agir pour se sauver, et condamne comme immoraux ceux qui le font. Le résultat, préparant la scène pour une tragédie classique, est que la race nordique a été effectivement rendue folle pour ce qui est des questions raciales. Cet étrange phénomène est la cause primordiale du processus d'extinction qui détruit actuellement la race nordique. Sans cela, les autres causes seraient inefficaces et bientôt éliminées. Il permet et appuie leur opération, et empêche toute action défensive contre elles.

L'idéologie dominante, ou la puissance au pouvoir, qui est acceptée par la race nordique au prix potentiellement fatal de sa bonne santé raciale, est le nihilisme racial. La plupart des gens n'ont pas de véritable choix concernant cette question. Ils sont conditionnés ou endoctrinés. Leurs esprits sont modelés, pliés et formés pour s'adapter et se conformer à l'idéologie, à la moralité, aux croyances ou aux valeurs dominantes du nihilisme racial, presque depuis leur naissance, sans se voir proposer loyalement des alternatives. Il est difficile de s'opposer à l'influence institutionnelle des médias d'information et de divertissement, du système éducatif, du gouvernement et des églises, à l'influence personnelle des autorités intellectuelles, politiques et religieuses et des personnalités dirigeantes, et à l'influence vigilante de l'environnement social. Ceux qui y parviennent tendent à posséder un degré inhabituel d'indépendance et de confiance en soi intellectuelle, psychologique et morale, leur permettant de penser par eux-mêmes, de se former leur propre opinion et jugement, et d'être les seuls, si nécessaire, à rester fidèles à leurs principes et à leurs convictions.

Quelles que soient les caractéristiques naturelles et particulières de leurs gènes, la plupart des Européens nordiques ont été totalement conditionnés par leur environnement ­ la culture dominante du nihilisme racial, la culture anti-nordique ­ à être opposés aux droits et aux intérêts vitaux de leur race, à les considérer comme immoraux pour la raison qu'ils sont en conflit avec les droits et les intérêts secondaires d'autres races, et à considérer ceux qui les soutiennent comme immoraux. Ce conditionnement est si efficace chez certains qu'il va jusqu'à provoquer une réponse presque pavlovienne, une réaction irréfléchie de « réflexe du genou », d'indignation aveugle contre les intérêts nordiques vitaux et contre ceux qui les défendent.

Ce conditionnement commence lorsque les sujets sont jeunes, et même à un âge préscolaire. Les jeunes de n'importe quelle espèce sont les proies les plus faciles, étant relativement confiants et sans défense. Les jeunes sont vulnérables à l'endoctrinement racial. La conscience raciale, la perception et la sensibilité croissent avec l'âge. Cela est vrai de toutes les formes de connaissance, d'expérience et de sagesse. Mais la connaissance peut être supprimée et déformée tout autant qu'éduquée et encouragée. La culture actuelle, et son système éducatif, n'encouragent pas la conscience que le nihilisme racial puisse causer la non-existence de la race nordique, par mélange généralisé. Cette information, ce point de connaissance simple mais très important, n'est pas fournie par la culture dominante. Il n'est pas considéré comme un sujet de préoccupation convenable. L'objet de l'éducation nihiliste-raciale est d'instiller le soutien au nihilisme racial, et cela est gêné par la reconnaissance de ses effets destructeurs. L'objectif de l'endoctrinement nihiliste-racial est de détourner la loyauté, les curs et les esprits des Européens nordiques de leur allégeance naturelle envers leur propre race et ses intérêts vitaux, et de les retourner, ou de les pervertir, contre eux-mêmes. Comme les Turcs l'ont démontré avec leur corps des Janissaires, de telles tentatives pour voler les âmes sont plus efficaces lorsqu'elles sont entreprises à un âge très jeune.

A cause de la répression et de la connaissance des effets destructeurs du nihilisme racial, une grande partie de l'appui dont il jouit aujourd'hui n'est pas le produit d'une pensée bien informée. La décision par des Européens nordiques de soutenir le nihilisme racial vient généralement d'une mauvaise information. Cette décision est aussi affectée par des facteurs comme l'intelligence, la sensibilité, la conscience et la perception raciales, qui varient selon les gens, fortes chez certains et faibles (ou même inexistantes) chez d'autres. Le but du conditionnement nihiliste racial est d'affaiblir ou de réprimer ces facteurs, pour désensibiliser racialement les sujets et les rendre racialement inconscients, sans perception, inintelligents, insensibles ou insensés.

Comme Platon nous l'a enseigné dans sa fameuse allégorie de la caverne, tous les gens ne sont pas doués de la même vision, de la même capacité à voir, à comprendre et à évaluer.
Ce qui est clair et évident pour certains ne peut être ni vu ni compris par d'autres. Les gens trouvent souvent difficile de croire ce qu'ils ne peuvent pas comprendre, et souvent ne font pas confiance ou craignent ce qu'ils ne comprennent pas. Ils ne peuvent pas apprécier la valeur de quelque chose dont ils n'ont pas conscience, ni aimer quelque chose dont ils ne sont pas conscients. L'amour racial, ou l'amour de sa race, n'est pas possédé par tous en quantité égale. Avoir le sens de se préoccuper, de prendre soin, d'apprécier et d'avoir de l'affection pour sa race, et avoir le désir de la préserver et de la protéger, est plus fort chez certains que chez d'autres. Ceux qui en manquent ne peuvent souvent pas le comprendre. Comme cela est bien trop habituel chez les bien trop-humains, ils assimilent souvent les valeurs, les idéaux,
les émotions et les comportements qu'ils ne peuvent pas comprendre, et dont ils sont privés, à une source négative, ignoble ou inférieure par les motivations ­ comme la haine ou la maladie mentale ­ plutôt qu'à une source positive, noble ou supérieure ­ comme l'amour ou la santé mentale et le bien-être. Faire autrement serait admettre leur propre incapacité.

Ceux qui ne peuvent pas voir les effets du nihilisme racial ­ la destruction de la race nordique par le remplacement et le mélange généralisé ­ ont beaucoup moins de raisons de s'opposer à lui que ceux qui le peuvent. Ceux qui ne se préoccupent pas de la race nordique, qui ne l'aiment pas ou ne l'apprécient pas, ceux qui ne se préoccupent pas de sa survie ou de sa mort, ont beaucoup moins de raisons de s'opposer au nihilisme racial que ceux qui le font.
Ceux qui ne sont pas conscients du processus de destruction raciale actuellement en cours sont beaucoup moins inclinés à s'opposer à lui que ceux qui le sont. Ces Européens nordiques qui ne peuvent pas voir, qui ne s'inquiètent pas, ou qui ne sont pas conscients, sont beaucoup plus inclinés à soutenir le nihilisme racial, ou du moins à l'accepter, que ceux qui peuvent voir, qui s'inquiètent, et qui sont conscients.

Une autre cause majeure de la soumission des Européens nordiques au nihilisme racial et à leur propre destruction raciale est l'autosatisfaction. L'autosatisfaction provient du désir de croire que tout va bien, ou que si quelque chose va mal c'est seulement un problème mineur, que ce n'est pas une cause d'inquiétude, et que cela ne requiert pas d'action décisive. Les gens auto-satisfaits se conforment à la culture dominante ou établie, acceptent ses croyances et ses valeurs, s'accommodent de ses doctrines et de ses dogmes. Ils n'aiment pas être informés que quelque chose va sérieusement et dangereusement de travers, que quelque chose d'important est en grand péril et requiert une action pour être sauvé. Ils n'aiment pas qu'on leur dise que l'ordre existant, le statu quo, est sérieusement erroné et qu'il est en train de détruire une chose de grande valeur, et qu'un changement majeur est nécessaire pour empêcher sa destruction. Ils n'aiment pas être tirés de leur inertie et de leur fausse impression de bien-être par une connaissance qui leur impose une responsabilité morale ou un devoir à remplir, et en veulent à ceux qui les confrontent à une telle connaissance.

L'autosatisfaction, l'indifférence, la négligence ou le manque d'intérêt concernant la survie ou la destruction de la race nordique sont aidés par l'absence de conscience raciale. Comme beaucoup de gens n'ont pas conscience de ce qu'est précisément la race nordique, et de ce qu'elle contient, ils échouent souvent, ou sont incapables, de faire le lien entre divers traits et caractéristiques nordiques et la race nordique elle-même. Cela entraîne souvent des valeurs et des attitudes très incohérentes. Ils peuvent apprécier les traits et les caractéristiques nordiques (en particulier les traits physiques en rapport avec l'esthétique et la beauté, tels que les traits faciaux nordiques, la couleur de la peau, des cheveux et des yeux, la texture de la peau et des cheveux, etc.) sans faire le lien ou sans lier leur existence à la race nordique elle-même, les séparant de la race qui leur permet d'exister, et dont la poursuite de l'existence et du bien-être non-diminués dépend aussi. En ne parvenant pas à faire ce lien, ils peuvent soutenir des croyances et des valeurs idéologiques qui ne valorisent pas l'existence de la race nordique et qui lui dénient les conditions dont elle a besoin pour continuer à exister, tout en appréciant en même temps divers traits et caractères raciaux nordiques uniques et en s'opposant à tout ce qui peut mettre en danger son existence future. Ils ne parviennent pas à faire le lien entre la race et ses traits, ni à voir que la diminution ou la non-existence de l'une causera nécessairement la diminution ou la non-existence des autres. En réalité, ils ne peuvent pas être séparés.

Le fait d'éviter la réalité ou de s'en évader est encore pire que l'incapacité à voir la réalité, et même plus dangereux, car il méprise et rejette ceux qui peuvent voir et qui veulent voir. « Il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ». Ils adoptent volontairement l'ignorance par peur de la connaissance qu'ils ne veulent pas connaître. Comme les sujets dans le conte des « nouveaux habits de l'Empereur », ils ne veulent pas voir ni connaître ce qu'ils ne sont pas supposés voir ou connaître, car ils croient qu'une telle vision ou connaissance indique l'immoralité.

Il y a une autre raison d'éviter la réalité, d'adopter l'ignorance et de craindre la connaissance. Les gens souhaitent fréquemment être dispensés de la connaissance qui leur causera de la souffrance. La capacité de percevoir la réalité, alors que son peuple subit un processus de destruction venant d'une puissance si dominante qu'elle semble impossible à stopper, est une source de grande douleur et de grande souffrance pour ceux qui la possèdent, et qui s'en préoccupent. Pour les Européens nordiques qui aiment leur race, la connaissance de sa diminution en cours, et la conscience de la mort raciale qui l'attend dans quelques générations dans le futur à partir du moment présent, apporte la douleur d'une blessure ouverte et saignant continuellement, qui ne guérira pas. Mais la douleur sert un but positif et très important. Elle est un avertissement. Elle nous rend conscients que quelque chose nous fait du mal, et même nous tue potentiellement, pour nous donner une chance de l'éviter, d'agir pour nous protéger ou nous sauver nous-mêmes, de stopper le mal ou la destruction, l'hémorragie, avant qu'il ne soit trop tard. Il y a deux types d'Européens nordiques qui ne ressentent pas de douleur concernant la destruction de leur race ­ ceux qui ne savent pas et ceux qui ne s'en préoccupent pas.

Les anciens contes populaires de la race nordique étaient habituellement des avertissements pratiques, souvent sous une forme allégorique, contre les dangers du monde. On espérait que ces avertissements seraient retenus par leurs auditeurs, et les sauveraient peut-être de la douleur et de la destruction. Les dangers existentiels de la vie étaient souvent symbolisés par des animaux prédateurs. Le loup était le symbole le plus commun et le plus familier de ces périls. Mais la plus grande menace, le plus grand péril à grande échelle, était symbolisé par le dragon (ou un grand serpent, ou un grand ver).

Le dragon, comme les autres prédateurs, était l'ennemi et le destructeur de la vie, mais dans des proportions épiques. Il était avide de détruire la source même de la vie. La victime préférée du dragon était une vierge, symbolisant la source de vie, le centre de la race. Dans ce monde allégorique, comme dans le monde réel, la femme était la source de la vie renouvelée et continuée. La vierge était une femme qui ne s'était pas encore reproduite, la source de vie nouvelle qui n'avait pas encore créé la vie nouvelle, qui n'avait pas encore accompli son but, sa mission et son destin existentiels tels qu'ils avaient été décidés par la Nature et par les puissances de la Création. Le dragon cherchait à empêcher la vierge de créer la vie nouvelle, d'accomplir son destin, à devancer la vie à sa source. La vierge, la source de vie, était soit dévorée, soit gardée prisonnière ; la partie la plus précieuse de sa réserve de trésors. Dans les deux cas, elle était empêchée d'accomplir son but, et la continuation de la vie était niée de manière catastrophique.

Le dragon est une métaphore des idées, des croyances, des pratiques, des valeurs et de l'éthique anti-Création et anti-Vie, qui empêchent ou découragent la création, la préservation et la continuation de la vie. C'est une métaphore des forces de mort. Pour la race nordique, c'est avec le nihilisme racial que cette métaphore se réalise sous sa forme la plus dangereuse, la plus destructrice et la plus menaçante pour la vie. Le nihilisme racial est le dragon qui dénie le droit de vivre à la race nordique, qui la prive des conditions dont elle a besoin pour continuer sa vie, qui détruit sa vie à sa source par le mélange généralisé et dé-créatif, qui a déjà pris des millions d'Européens nordiques comme victimes ­ plus que n'importe quelle guerre ou fléau ­ et qui la menace d'extinction. C'est le dragon de la mort raciale qui règne actuellement sur la race nordique. Les générations vivantes d'Européens nordiques sont nés dans la caverne du dragon et ont vécu toute leur vie ici, sous le charme du dragon. Pour la plupart d'entre eux, c'est le seul monde qu'ils aient jamais connu, ou qu'ils peuvent concevoir. Ils ont appris leurs valeurs et leur éthique dans ce monde, avec le dragon ­ leur destructeur et anti-Créateur ­ pour enseignant et faiseur de lois. Ils jugent et mesurent toutes les idées et valeurs selon les normes du dragon, les seules qu'ils connaissent. On leur a enseigné, et ils croient, que la volonté et la voie du dragon ­ la voie de la destruction raciale ­ est la juste voie et la bonne voie, et ils voient tout à travers les yeux du dragon. La seule lumière qu'ils connaissent est celle qui est procurée par le souffle ardent et destructeur du dragon. Ils n'ont jamais vu la lumière de la Création.

Les Européens nordiques ont appris à adorer le dragon du nihilisme racial comme étant leur dieu principal, avec comme péché capital le refus de lui obéir, et comme principale forme d'hérésie le refus de l'adorer. La principale forme d'adoration consiste à nourrir le dragon avec des Européens nordiques. Il les dévore par petits morceaux ou d'une seule bouchée, aussi vite qu'il le peut, aussi vite que ses victimes consentantes se placent elles-mêmes entre ses mâchoires, fascinées et hypnotisées, ou aussi vite que les victimes non-consentantes peuvent y être poussées. Des millions d'entre elles ont été dévorées, morceau par morceau, un petit morceau de beauté ou de talent ici, un plus gros morceau là. Beaucoup ont été conduites et livrées au dragon par leurs amis, leurs enseignants, leurs prêtres [ou pasteurs] et même par leurs parents, placées par eux sur l'autel sacrificiel du dragon. Plus la valeur raciale de la victime est grande, plus le dragon désire la dévorer, et plus son plaisir et sa jouissance à satisfaire son appétit sont grands.

Dans le symbolisme du folklore et des romances chevaleresques qui font partie de l'ancienne sagesse de la race nordique, le chevalier-héros sauve la princesse-vierge du dragon qui l'aurait détruite et qui l'aurait empêchée de créer la vie nouvelle. Elle est reconnaissante envers son champion pour l'avoir sauvée, et ils s'unissent pour la création d'une vie nouvelle, complétant leur triomphe sur le dragon. Mais les victimes du dragon du nihilisme racial, dans leur folie, ont perdu cette ancienne sagesse. Ils ont été conditionnés à rechercher et à accepter leur destruction, à considérer ceux qui les sauveraient comme des ennemis et des traîtres envers le dragon, et à les rejeter et à les condamner ­ ainsi que leurs efforts ­ comme mauvais et immoraux. Ce dragon est le dieu qui cherche à détruire la race nordique, d'abord en la rendant folle et en la tournant contre elle-même.

Le nihilisme racial est la religion établie, la foi orthodoxe de la culture actuelle. Toutes les autres religions doivent se conformer à ses valeurs et à ses croyances ou être considérées comme irréligieuses. Tous les membres de la culture, quelle que soit leur affiliation ou préférence religieuse déclarée, ou sans affiliation religieuse, sont endoctrinés par ses doctrines et ses dogmes depuis la petite enfance par toutes les institutions culturelles, publiques ou privées. Les fonds publics et les lois sont utilisés pour soutenir et imposer ses politiques et ses enseignements. Des subventions sont données à ceux qui enseignent et qui promeuvent ses doctrines, et retirées à ceux qui ne le font pas. Toute expression d'incroyance ou de désaccord est condamnée comme hérésie. L'endoctrinement de ses adeptes est souvent si complet qu'il va jusqu'à produire un fanatisme dogmatique, et même hystérique, qui ne peut pas tolérer des opinions dissidentes ou des points de vue alternatifs.

Le nihilisme racial est une religion idolâtre. Ses idoles sont les diverses personnalités et célébrités qui épousent, ou qui ont épousé, ses doctrines et ses dogmes. Beaucoup d'adeptes du nihilisme racial personnifient ses idées et ses valeurs dans ces personnalités transformées en idoles. Ils considèrent toute idée ou valeur s'opposant à celles épousées par les idoles de ces cultes de la personnalité comme de l'hérésie. Les diverses idoles, à tort ou à raison, incluent des personnalités disparues comme John et Robert Kennedy, Martin Luther King, Eleonor Roosevelt, Margaret Mead, John Lennon et Mohandas Gandhi, tous enchâssés dans le panthéon du nihilisme racial, ainsi que de nombreuses personnalités encore en vie, politiques, artistiques, du spectacle ou du sport. Les noms de ces diverses idoles sont invoqués pour condamner les idées qui sont en désaccord avec les doctrines du nihilisme racial avec lesquelles ils sont associés et identifiés.

Les principales confessions du christianisme apportent leur plein appui à la promotion du nihilisme racial. Elles nient les droits et les intérêts vitaux de la race nordique, appuient la cause de sa destruction, et dénoncent tout désir ou effort pour la sauver. Elles encouragent les mariages et les adoptions interraciaux chez leurs fidèles, amènent des immigrants non-nordiques dans les patries nordiques, et aident à leur établissement et à leur absorption dans la communauté nordique. La fête de Noël, qui a remplacé la fête de Yule de la religion native nordique pré-chrétienne, a été elle-même subvertie pour promouvoir le nihilisme racial, qui est maintenant salué comme la plus haute expression de l'esprit de Noël. Les doctrines et les visions-du-monde universalistes (non-raciales) du christianisme ont embrassé de bonne grâce l'idéologie du « Un monde, une race » dans leurs efforts missionnaires pour rassembler toutes les races du monde dans leur foi. Cette idéologie, qui détruirait la race nordique par mélange et par remplacement, est de plus en plus identifiée au Salut par les leaders chrétiens. Selon ce raisonnement confus, les âmes des Européens nordiques ne peuvent être sauvées qu'en soutenant la destruction de leur propre race.

Comme le christianisme est de plus en plus anti-nordique dans ses valeurs et dans ses enseignements, la race nordique est confrontée à des problèmes et à des questions religieuses qui affectent sa survie même et son existence future. Est-ce un mal pour la race nordique de continuer à exister, à vivre ? Les conditions de séparation et d'indépendance raciales requises pour la continuation de la vie nordique sont-elles un mal ? Ou sont-ce la destruction de la race nordique par subversion génétique, et la négation des conditions nécessaires à son existence, qui sont le vrai mal ? Si la religion est le culte et le service de la Création et de la Vie, quelle est la réponse pro-Création et pro-Vie aux questions précédentes ? Certainement, si la race nordique doit survivre, elle a besoin d'une religion qui lui soit favorable plutôt qu'opposée, une religion qui défende ses droits et ses intérêts vitaux au lieu de les condamner. Elle a besoin d'une religion qui soutienne son droit à la vie raciale, pas d'une religion qui en appelle aux dieux qui veulent la détruire, et qui prônent des idées qui la rendent folle.

Le soutien nordique au nihilisme racial est une folie. C'est une psychose de masse qui conduit la race nordique à l'autodestruction. Elle tourne les Européens nordiques contre eux-mêmes et contre leur propre race, en les aliénant de leurs loyautés naturelles. Elle entraîne les parents à conduire et à donner leurs enfants au meurtre racial du mélange racial, mettant fin à la ligne ou continuum racial des générations. Le suicide et l'autodestruction ne sont pas sains mentalement. Lorsqu'une personne ou une race est contre sa propre existence, et contre les conditions dont elle a besoin pour exister, elle est mentalement malade. Pour que la race nordique accepte une idéologie qui nie son droit à la vie, et les conditions dont elle a besoin pour vivre, elle doit être folle. Identifier une telle folie racialement destructrice à l'idéalisme, à la gentillesse et à l'amour, comme le font les adeptes du nihilisme racial, revient à identifier la mort à la vie. La folie du nihilisme racial est une folie détruisant la race nordique.

La race nordique ne recouvrera pas la santé mentale raciale tant qu'elle ne reconnaîtra pas ce qui est racialement sain ou malsain. Les conditions qui sont favorables à la vie raciale et au bien-être continués, non-diminués, sont racialement saines. Celles qui tendent à la diminution et à la non-existence raciale sont racialement malsaines. Ces Européens nordiques qui soutiennent et qui pratiquent les premières conditions sont racialement sains, ceux qui soutiennent et qui pratiquent les dernières sont racialement malades. Les Européens nordiques racialement sains veulent que leur race vive. Ils ont un désir de vie raciale. Les Européens nordiques racialement malades ne veulent pas que leur race vive, ou ne s'en préoccupent pas. Ils ont un désir de mort raciale, par intention ou par défaut. Ceux qui sont sains sont des vitalistes raciaux, et soutiennent le vitalisme racial, le racialisme du « vivre et laisser vivre » de la Règle d'Or raciale. Les malades sont des adeptes de la mort raciale, et soutiennent le désir de mort raciale, le programme nihiliste racial pour l'extinction nordique.

Pour retrouver la santé mentale raciale, la race nordique a besoin d'une bonne santé philosophique, idéologique, religieuse et morale. C'est le système immunitaire racial. La bonne santé dans ce domaine procure à la race nordique l'immunité vis-à-vis de la maladie mentale autodestructrice du nihilisme racial. L'absence de bonne santé dans ce domaine créée une déficience immunitaire qui affaiblit sa capacité à se protéger de la folie nihiliste raciale. La bonne santé dans ce domaine nous permet de distinguer ce qui est bon pour nous de ce qui est mauvais pour nous, ce qui est bénéfique pour nous de ce qui est néfaste. Sans la capacité de faire de telles distinctions, et d'établir des normes par lesquelles de telles questions peuvent être évaluées et jugées, la race nordique présentera bientôt les symptômes du nihilisme racial et souffrira de ses effets mortels.

L'éthique, le comportement, les valeurs et les pratiques ne peuvent pas être jugées correctement si on les sépare de leurs résultats et de leurs effets. Ces effets et ces résultats doivent être exposés clairement et explicitement, mis au grand jour pour que tous puissent voir et juger sans échappatoire ni confusion. Les résultats et les effets sont plus importants que les motifs ou les intentions. Les déclarations de motivations positives de bonté, de gentillesse et d'amour doivent être jugées selon une norme objective. La Création et la Vie, et les intérêts vitaux de la race, sont les points de référence objectifs selon lesquels nous devons mesurer et juger toutes ces déclarations, et toutes les éthiques, valeurs, comportements et pratiques.

Il est habituel pour les avocats de n'importe quelle idée de prétendre qu'elle est une position d'amour, et que son opposition représente la haine. Avec des points de référence objectifs, ces affirmations peuvent être correctement évaluées. Si ses effets sont nuisibles aux intérêts vitaux de la race, mettent en danger la continuation de sa vie et menacent de dé-créer ou de défaire sa création, elle [cette idée] ne doit pas être acceptée comme un produit ou un exemple de bonté, de gentillesse et d'amour. Le nihilisme racial a de tels effets. Il conduit à l'extinction nordique par un processus de mélange racial et de remplacement. La culture qu'il domine présente ce processus racialement destructeur ­ le génocide de la race nordique ­ comme émotionnellement chaleureuse, humoristique et comme le résultat naturel de l'amour (les familles racialement mélangées, par mariage ou par adoption, sont un thème particulièrement valorisé). Les Européens nordiques qu'il a rendus fous acceptent ce tableau, et croient que la bonté, la gentillesse et l'amour atteignent leur plus haute expression dans des actions qui violent les intérêts vitaux de leur race et contribuent à sa destruction et à sa mort.

La folie du nihilisme racial trouve son succès le plus complet avec ces Européens nordiques qui sont si complètement tournés contre leur race et contre ses intérêts vitaux qu'ils nient ou refusent d'admettre son existence même, pour les autres aussi bien que pour eux-mêmes. Qu'elle existe simplement est une chose qu'ils ne peuvent pas supporter. Ils ne la nommeront pas et ne lui accorderont aucune reconnaissance, statut ou légitimité. Si, à un certain niveau de leur conscience, ils ne savent pas que leur race existe réellement, cela leur permet seulement d'espérer plus intensément son extinction rapide, d'espérer avec plus de ferveur que rien ne la sauvera, de soutenir plus fortement les causes de sa mort, de nier avec plus d'acharnement son droit à la vie, et de s'opposer plus fanatiquement à la continuation de son existence et à tout ce qui pourrait la sauver. D'autres nihilistes raciaux minimisent la valeur et l'importance de ce qui sera perdu si la race nordique s'éteint. Mais ceux qui nient son existence même, son identité, son statut en tant que continuum racial-génétique, ses générations passées et futures, son histoire et son destin potentiel, font beaucoup plus que réduire la perception de la valeur et de l'importance de ce qui est détruit, de ce qui sera perdu ­ ils réduisent son extinction à un non-fait, à la destruction d'un rien, à la non-existence de quelque chose qui n'aurait jamais réellement existé. Aucune forme de génocide, ou de suicide, ne peut être plus complète, et aucune forme de folie ne peut être plus totale.

Les pires ennemis de la race nordique doivent être cherchés à l'intérieur de la race nordique elle-même. Ce sont ceux qui ont été tournés contre les intérêts vitaux de leur race, contre son existence même, par les efforts débilitants des idées et des valeurs nihilistes raciales. Une maison divisée contre elle-même ne peut pas tenir, une partie voulant que sa race soit libre et une partie voulant qu'elle soit asservie aux intérêts d'autres races, une partie voulant que sa race vive et une partie voulant qu'elle sacrifie sa vie sur l'autel du nihilisme racial. Le combat pour le sauvetage nordique est interne, pas externe, à l'intérieur d'elle-même, contre la partie ou l'aspect d'elle qui est opposé à elle-même. Dans ce chapitre, comme l'a dit Pogo, « nous avons rencontré l'ennemi et c'est nous-mêmes ».

Nietzsche a écrit : « ce qui ne me tue pas me rend plus fort ». Mais le simple fait d'éviter la destruction demande de la force. Ce qui ne nous détruit pas est ce à quoi nous avons suffisamment la force de résister. La folie détruisant actuellement la race nordique, le nihilisme racial, réussit parce que la race nordique a manqué de la force pour lui résister, parce que la race nordique a été trop faible pour s'opposer à sa propre diminution et à sa propre destruction. Le manque de force, la faiblesse, n'est pas physique mais ­ comme la folie elle-même ­ spirituelle, morale et mentale. Il s'agit d'une faiblesse la conscience raciale, de la loyauté raciale, de l'affection raciale et de l'amour racial.

Combien d'Européens nordiques aujourd'hui, en particulier ceux qui ont des postes de pouvoir, d'importance ou d'influence, pourraient dire qu'ils aiment et qu'ils prennent soin de leur race, et qu'ils lui sont loyaux ? Combien d'Européens nordiques admettraient-ils de tels sentiments de loyauté, d'affection et d'amour s'ils les éprouvaient ? La réponse n'est pas : beaucoup, mais : peu. Ce manque de loyauté, d'affection et d'amour est la source de la folie qui est en train de détruire la race nordique. La race nordique meurt et est tuée par un manque d'affection et d'amour. Ceux que l'idéologie ou la religion dominante ­ le dieu métaphorique ­ veut détruire, elle les conduit d'abord à ne pas avoir d'affection et à ne pas aimer. Elle les conduit d'abord à ne pas aimer et à ne pas prendre soin de ce qui est en train d'être détruit : eux-mêmes.

Richard Wagner, avec qui Nietzsche était souvent en désaccord, pensait que l'amour était la réponse à toutes les questions de la vie, qu'il était la source de toute rédemption, ou de salut, que lui seul avait le pouvoir de triompher des forces de destruction. Peut-être avait-il raison. Peut-être la force et le pouvoir dont la race nordique a besoin pour sa rédemption et pour se sauver elle-même, pour triompher de la folie destructrice du nihilisme racial, peuvent-ils venir seulement de l'amour. La race nordique doit apprendre à s'aimer elle-même, et cela pourrait bien se révéler être le plus grand amour possible.

Le nihilisme racial est l'idéologie et la religion dominante partout où il y a des Européens nordiques pour servir de victimes. A cause de ses valeurs et de ses croyances, le « racialisme » nordique ­ l'amour des Européens nordiques pour leur race, leur résistance à ce qui causerait sa diminution ou sa mort, leur désir qu'elle vive, qu'elle soit libre, séparée et indépendante ­ est identifié à de la haine. L'affirmation des droits et des intérêts nordiques vitaux est considérée comme une violation injustifiée des désirs opposés, non-vitaux, des autres races.

Comme le nihilisme racial est la religion dominante des pays nordiques modernes, le « racialisme » nordique est la principale hérésie. En tant qu'hérésie il est victime de nombreuses incompréhensions populaires quant à sa vraie nature et à ses véritables intentions, ses motivations et ses buts, ses moyens et ses fins. Ces incompréhensions sont propagées par les adeptes de l'orthodoxie nihiliste raciale, dans le but de provoquer le conformisme envers le dogme qu'ils professent. Dans leur description du racialisme nordique, leur méthode est d'accentuer le négatif et d'éliminer le positif. Leur succès se mesure au mieux par le nombre d'Européens nordiques qui acceptent leur enseignement et qui identifient la cause du sauvetage de la vie raciale nordique et de sa continuation à la haine et au mal. Aucune cause ne jouit d'un soutien et d'une acceptation aussi universels que la cause de la mort raciale nordique. Aucune cause ne souffre d'une condamnation aussi universelle que la cause de la vie raciale nordique. Rien n'est si largement considéré comme la forme la plus élevée de bonté et de moralité que ces valeurs, croyances et actions qui causent la mort de la race nordique. Rien n'est plus largement dénoncé comme la pire forme d'immoralité que ces valeurs, croyances et actions qui promeuvent la continuation de la vie nordique. La mort n'a jamais été aussi populaire, et la vie jamais aussi impopulaire, que lorsque la vie et la mort en question sont celles de la race nordique.

Pour l'amour de sa vie, la race nordique doit se libérer des anneaux du dragon génocidaire du nihilisme racial. Elle doit se libérer du charme du chant de mort anti-nordique qui chante sa destruction et sa non-existence. Elle doit apprendre à chanter le chant de sa vie, le chant de la vie raciale qui tuera le dragon de la mort raciale.

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