LE CHEMIN DE LA DESTRUCTION

Richard McCulloch

 

Chaque créature vivante, chaque espèce ou race, a besoin de certaines conditions pour pouvoir continuer à exister. Son environnement ou son habitat doit remplir ces conditions, ou bien elle ne pourra pas survivre. Elle peut mourir rapidement, comme un poisson hors de l'eau ou un mammifère sans air pour respirer. Elle peut mourir lentement, par manque de nourriture ou de boisson. Elle peut mourir très lentement, sur une période de plusieurs générations, pas en tant qu'individus mais en tant que race, à cause de conditions environnementales qui lui rendraient difficile ou impossible toute reproduction effective. Chaque forme de vie diffère dans ses besoins environnementaux pour l'existence. Certaines sont plus spécialisées et plus fragiles, d'autres sont plus « généralistes » et plus adaptables. Mais quelle que soit la nature de cet environnement, certaines conditions sont requises pour leur survie, sans lesquelles elles mourront et s'éteindront.

La race nordique (les Européens du Nord), comme toute autre forme de vie, a besoin de certaines conditions environnementales pour sa bonne santé raciale et son bien-être, pour sa bonne reproduction, pour sa survie et pour la continuation de son existence. Si les conditions favorables à la vie nordique sont absentes ou supprimées de son habitat, et remplacées par des conditions qui sont destructrices pour la vie nordique, elle ne pourra pas survivre dans cet habitat. Si elle reste là, elle mourra. Le processus peut être rapide ou lent, extinction soudaine ou diminution graduelle, mais elle cessera finalement d'exister.

Il y a de nombreuses choses qui peuvent causer l'extinction de la race nordique, de la plus simple à la plus complexe, du manque d'air, de nourriture ou d'eau, à la dévastation par la guerre ou la maladie, mais une telle cause devrait être d'une ampleur catastrophique sans précédent. La cause la plus vraisemblable de la mort de la race nordique, le processus actuellement en cours, n'est pas aussi soudain ou évident, mais son effet ultime, l'extinction de la race nordique, n'est pas moins cataclysmique.

La menace principale pour la continuation de la vie nordique est liée au processus et aux conditions d'évolution qui ont créé la race nordique et qui ont rendu son existence possible. Parmi ces conditions il y eut la séparation ou l'isolation d'avec les autres branches divergentes de l'espèce humaine, empêchant le mélange génétique et permettant l'évolution divergente. La séparation ou l'isolation raciale a été nécessaire pour l'évolution divergente et la création de la race nordique, et elle n'est pas moins nécessaire pour la continuation de son existence. Sans elle, ce qui a été fait ou créé par l'évolution divergente peut être défait ou supprimé par le mélange génétique ou l'involution. La diversité raciale, rendue possible par des conditions de reproduction séparée, peut être maintenue ou préservée seulement par la reproduction séparée. La reproduction séparée requiert la séparation géographique. La race doit avoir son propre territoire exclusif, habitat ou foyer, libre de la présence d'autres races et du danger de mélange génétique.

Le danger principal pour la continuation de la vie nordique n'est pas la guerre nucléaire ou la pollution, mais le mélange génétique de la race nordique avec d'autres races, résultant en une race hybride dans laquelle ses traits et caractéristiques raciaux distinctifs et uniques seraient submergés et effacés, et son existence perdue. Le mélange génétique conduirait à l'extinction de la race nordique. Pour les Européens nordiques, mélange racial signifie extinction raciale.

Seul le semblable peut créer le semblable. Seul un Européen nordique peut créer un Européen nordique. Seuls des parents nordiques peuvent créer un enfant nordique. Le mélange d'un Européen nordique avec un Européen non-nordique (à moins que l'Européen non-nordique soit d'une race très proche avec une faible distance génétique ou raciale le séparant de l'Européen nordique) ne produira pas un enfant nordique. Les exceptions à cette règle peuvent survenir seulement quand le parent non-nordique est déjà partiellement d'ascendance nordique, et que la partie nordique du mélange est suffisante pour prédominer en se combinant avec un partenaire pleinement nordique. Plus la distance génétique entre l'élément non-nordique et le Nordique est grande, plus l'élément nordique doit être prédominant dans le mélange.

Jusqu'à une époque relativement récente, la race nordique jouissait des conditions de séparation et d'isolation raciale nécessaires pour son évolution divergente et la continuation de son existence, ou sa préservation. Comme le montre la Table I, jusqu'en 1880 les Etats-Unis étaient, avec une exception majeure, un pays nordique, une possession territoriale de la race nordique, et étaient considérés comme tels par les autres nations du monde.

L'exception majeure était celle des Congoïdes [Noirs], récemment libérés de l'esclavage, qui constituaient 12% de la population. Cet héritage de l'admission, à courte vue et imprudente sur le plan racial, des infortunées victimes de l'esclavage dans ce qui formait « l'habitat » des Nordiques fut, et reste encore, une grande source de conflits et de danger. Les premiers dirigeants américains, tels que Thomas Jefferson et Abraham Lincoln, tentèrent de résoudre le problème en proposant une séparation raciale totale, soit en renvoyant la population congoïde en Afrique, soit en leur attribuant un pays pleinement indépendant et séparé, taillé dans le territoire des Etats-Unis. Après le terrible carnage et les souffrances de la Guerre Civile nordique-américaine (1861-1865), livrée principalement sur la question des Noirs, ceux-ci reçurent la citoyenneté et leur présence permanente dans le pays ne fut plus remise en question, mais encouragée, par les dirigeants de l'establishment.

Quand la France représenta les Etats-Unis avec la Statue de la Liberté en 1886, c'était en reconnaissance des réalisations de la jeune nation âgée de 110 ans, de la population existante et de ses ancêtres. Cette année fut aussi le témoin des premières vaguelettes du grand flot d'immigration arménoïde et méditerranoïde qui devait amener des millions d'Européens non-nordiques en Amérique dans les décennies qui suivirent. Ce fut le début d'un processus de transformation raciale qui devait changer de manière décisive à la fois la composition raciale et la nature du pays et la signification symbolique de la Statue de la Liberté, passant d'un salut aux fondateurs nordiques du pays d'avant 1886, à un signal de bienvenue pour les immigrants non-nordiques de l'après 1886, et à une négation du droit des habitants nordiques du pays à jouir des conditions de séparation et d'indépendance raciales dont ils avaient besoin pour la continuation de leur existence.

Les réformes pro-nordiques des lois d'immigration des années 20 ralentirent le processus de changement racial, mais les réformes d'immigration anti-nordiques (« pro- » ou « anti »-nordiques, mesurées selon l'échelle des intérêts vitaux des Nordiques, c'est-à-dire des conditions requises pour la vie nordique) des années 60 accélérèrent une fois de plus le processus jusqu'à un rythme si rapide qu'il échappa littéralement au contrôle du gouvernement et fut déterminé par les immigrants eux-mêmes. La Table I montre les effets de ce processus accéléré, qui tout à la fois enlève les Etats-Unis à la race nordique, et prive la race nordique en Amérique des conditions dont elle a besoin pour vivre.

Comme le montre aussi la table, le processus de transformation raciale a été amplifié par la grande différence entre le taux de natalité des Nordiques et celui de la plupart des éléments non-nordiques. A l'apogée du « baby boom » de 1957 le taux de natalité nordique était presque au niveau de la moyenne nationale, mais ensuite il entra dans un déclin qui l'amena en-dessous de la moyenne nationale et du taux de remplacement de 2,1 naissances par femme. Depuis le milieu des années 70 le taux de natalité nordique a été seulement de 1,8 par femme. En considérant que 10% de ces naissances sont des enfants non-nordiques de couples racialement mixtes, le véritable taux de natalité nordique est seulement d'environ 1,6 par femme, plus de 25% en dessous du taux de remplacement. [et il est encore plus faible en Europe, NDT]

A l'échelle du monde, à partir de 1957, la plupart des autres pays nordiques (les principales exceptions étant les anciens pays communistes d'Europe de l'Est) ont commencé à suivre le même chemin en acceptant des immigrants non-nordiques, et en subissant le même processus de transformation raciale, comme les Etats-Unis. Le processus est particulièrement avancé en Grande-Bretagne et aux Pays-Bas. Leur implication coloniale, racialement imprudente, dans des pays non-européens a été suivie par l'admission, racialement imprudente, de non-européens dans leurs populations de souche. Dans les deux pays l'élément non-nordique s'élève maintenant à presque 12% de la population. Les anciens habitats nordiques, en particulier ceux des types « nordiques centraux » [c'est-à-dire des types nordiques les plus purs, NDT. Voir l'article La Race Nordique], sont tous menacés par ce processus, qui est partout encouragé par les valeurs et la philosophie du nihilisme racial.

L'avenir racial de l'Amérique du Nord est d'une importance beaucoup plus grande pour les intérêts de la race nordique que pour les intérêts des races non-nordiques. Elle contient plus de 30% de la population nordique mondiale et plus de 40% des types nordiques centraux. En revanche, elle contient seulement 6% de la population congoïde mondiale (moins que l'Amérique Latine), moins de 3% des Caucasoïdes [Blancs] non-nordiques et moins de 3% des Mongoloïdes asiatiques. L'Amérique du Nord est un foyer racial central, ou noyau, pour la race nordique, contenant une part majeure et vitale de son corps racial. Pour les autres races, l'Amérique du Nord, ainsi que leur présence raciale ici, est périphérique et seulement une part mineure et non-vitale de leur être racial total [voir Note]. La race nordique a des intérêts beaucoup plus grands, et beaucoup plus à perdre en Amérique du Nord, que toute autre race. Rien que pour cela, l'Amérique du Nord n'est pas remplaçable, car sa perte raciale pourrait bien se révéler racialement fatale. Rien que pour cela, le combat pour l'avenir de l'Amérique du Nord est un combat décisif.

Le déroulement du processus de mort raciale et d'extinction de la race nordique est le résultat direct et inévitable de la privation des conditions de séparation raciale et de reproduction séparée dont elle a besoin pour continuer son existence. Cette perte des conditions essentielles à la vie raciale nordique est délibérée et intentionnelle, et est puissamment encouragée par les agents dominants (idées, valeurs et pratiques, et les personnes ou les institutions qui les encouragent, les soutiennent ou les imposent) du nihilisme racial. Le nihilisme racial cherche à dissoudre toutes les races humaines en une seule race, le monde en un seul monde, les différents peuples en un seul peuple, et condamne comme immoral tout désir ou tentative de la race nordique de maintenir ou de restaurer les conditions de séparation raciale ou d'indépendance dont elle a besoin pour vivre. En déniant à la race nordique les conditions nécessaires à son existence, le nihilisme racial est, à la fois dans ses effets et dans ses intentions, l'agent de la non-existence des Nordiques.

Le mélange racial est le moyen ultime pour parvenir à la non-existence des Nordiques. Il efface ou détruit les traits nordiques par la submersion génétique. La proportion d'Européens non-nordiques dans la population américaine est déjà plusieurs fois plus grande que nécessaire pour faire disparaître génétiquement la race nordique par le mélange racial. L'immigration non-nordique et les taux de natalité élevés ajoutent d'autres clous au cercueil, et fournissent l'assurance de la mise à mort raciale. Le résultat ultime de ce processus est la non-existence, la destruction ou la mort de la race nordique, que jusqu'à présent personne n'ose appeler génocide. Il ne tue aucune personne vivante, mais il tue une race, et en tuant une race il « tue » à l'avance les générations non-encore nées de cette race. Les futures générations d'Européens nordiques ne pourront pas vivre si la race nordique ne vit pas.

La séparation raciale est le seul obstacle sûr ou barrière au mélange génétique. Sans elle, la discrimination raciale, ou préférence pour quelqu'un de sa propre race dans le choix d'un conjoint, est le seul agent restant pour la préservation raciale, mais elle est psychologiquement exigeante, difficile et stressante, et seulement partiellement efficace. S'il n'y avait aucune séparation raciale, et aucune discrimination raciale dans le choix d'un partenaire, et si le règne du nihilisme racial était complet, la race nordique en Amérique passerait probablement le point de non-retour racial, perdant sa capacité à se sauver elle-même, en l'espace d'une génération, et s'éteindrait effectivement en quatre générations.

L'horaire réel de la mort de la race nordique, qui concerne toutes ses populations en danger, dépend de certaines variables inter-connectées, principalement le taux de croissance de la population non-nordique dans les habitats nordiques (déterminé par les taux de natalité et d'immigration) et du taux de mélange racial [métissage] (déterminé par la force relative des agents de destruction raciale, face aux agents de préservation raciale). Mais la suite réelle des événements ou des développements majeurs est plus certaine. D'abord, l'élément nordique deviendra une minorité (ce qui devrait arriver aux Etats-Unis dans la première décennie du 21ème siècle) dans son habitat et perdra le contrôle du pays. Deuxièmement, l'élément nordique perdra son indépendance et sa liberté raciale, le contrôle de sa propre destinée raciale et la capacité à se sauver. Cela est le point de non-retour racial. Troisièmement, et finalement, les éléments nordiques, par une combinaison de mélange racial (absorption) et de faible taux de reproduction, diminueront à la fois en nombre et en caractères distinctifs, en quantité et en qualité, jusqu'au point de non-existence effective.

Le mélange racial est un sujet complexe, et ses effets varient selon la distance génétique (degré de différence raciale) et les proportions numériques des races impliquées dans le mélange. A cause de la nature hautement récessive de beaucoup de ses traits, la race nordique est particulièrement vulnérable aux effets destructeurs du mélange racial. La capacité de la race nordique à assimiler d'autres races par le mélange est très limitée. Certaines races non-nordiques sont plus assimilables que d'autres. Celles qui sont plus proches de la race nordique sont plus assimilables que celles qui sont plus éloignées. Celles qui ont un moins grand degré de différence raciale avec la race nordique sont plus assimilables que celles qui ont un plus grand degré. Celles dont les gènes sont plus compatibles avec les gènes nordiques sont plus assimilables que celles dont les gènes sont plus incompatibles. Celles qui sont plus assimilables peuvent être assimilées avec succès par un nombre proportionnellement plus petit d'Européens nordiques que celles qui sont moins assimilables. Mais l'assimilation a son coût inévitable. Même un degré très dilué de mélange a ses effets, et ceux-ci se font sentir le plus fortement là où ils causent le plus de dommages à la race, là où se trouvent les éléments racialement les plus distinctifs, là où se trouve le noyau ou le cur de la race.

En règle générale, les races ladoguienne [du lac Ladoga], alpine et dinarique peuvent être considérées comme les plus assimilables par la race nordique. La plupart des types nordiques périphériques sont en fait déjà un alliage stabilisé résultant du mélange de types nordiques centraux avec ces races, dans une proportion de deux à un en faveur des Nordiques. Un mélange dans une proportion de 5 à 1 d'Européens nordiques centraux avec ces races serait l'équivalent d'un mélange dans une proportion de 1 à 1 de types nordiques périphériques avec des types nordiques centraux, avec un résultat environ à mi-chemin entre les deux. Un mélange dans une proportion de 6 à 1 entre des Européens nordiques centraux et ces races serait nécessaire pour que le résultat soit en faveur du type nordique central. Aux Etats-Unis, l'actuelle proportion d'Européens nordiques centraux par rapport à ces races est d'environ
4,6 à 1. Cela signifie que la capacité ou possibilité d'assimilation serait totalement utilisée, épuisée et même dépassée par l'assimilation de ces seules races, sans autre capacité additionnelle disponible pour l'assimilation d'autres races non-nordiques encore moins assimilables.

Les autres races caucasoïdes requièrent une plus grande proportion d'Européens nordiques par rapport aux Européens non-nordiques pour une assimilation réussie par la race nordique, et les différentes sous-espèces non-caucasoïdes [= non-blanches] requièrent une proportion beaucoup plus grande. Leurs traits sont souvent si discordants et incompatibles avec les traits nordiques, et si dominants, qu'ils persistent, ainsi que leurs effets, même dans un mélange très dilué avec les Européens nordiques, altérant significativement, diminuant et même effaçant les traits nordiques plus récessifs, en particulier les plus distinctifs. Il existe des anomalies et des exceptions individuelles à cette règle. Il y a des individus qui sont des mélanges de Nordiques avec des sous-espèces différentes dans une proportion de seulement 3 à 1, et qui sont essentiellement des Nordiques. Mais si cela démontre que des individus racialement mélangés doivent être classifiés racialement selon une base individuelle, il est également vrai que si l'on calcule les effets du mélange racial d'une population entière, c'est la règle, pas les exceptions, la norme, pas les déviations, qui doit principalement être prise en considération. Selon cette règle, les races non-nordiques autres que les ladoguienne, alpine et dinarique doivent être classifiées comme inassimilables.

Actuellement, les plus grandes pertes subies par la race nordique sont simplement le résultat de la non-reproduction. Le faible taux de natalité nordique a déjà eu, et continue à avoir, des effets sur la population plus dévastateurs et tragiques que toute guerre ou fléau dans le contexte nordique. Plus de un sur quatre des membres de la race nordique, incluant beaucoup des plus valables et des plus distinctifs, sont perdus par cette cause. Le mélange racial avec des Européens non-nordiques inassimilables est seulement la deuxième plus grande cause de pertes raciales nordiques, représentant 10-20% des Européens nordiques actuellement, la plupart par le mélange avec des méditerranoïdes et des arménoïdes.

Comme l'indique la Table I, la forte immigration et le fort taux de natalité non-nordique sont aussi des causes majeures du processus de changement racial en cours, par lequel la race nordique est remplacée par d'autres races dans ses habitats. A cet égard, ce que cette table indique pour les Etats-Unis est également vrai pour beaucoup d'autres habitats nordiques, depuis le Canada et l'Australie à la Grande-Bretagne et aux Pays-Bas.

L'un des effets courants de ce processus de changement racial peut être comparé à un remplacement racial. Cela survient dès qu'un membre d'une autre race prend la place ou la position d'une personne dans nos vies, avec laquelle nous sommes liés ou avons une relation. Ces positions varient en importance. Elles peuvent être majeures ou mineures, primaires ou secondaires, centrales ou périphériques, proches ou éloignées, mais elles ont toutes, à un degré plus ou moins grand, un effet, un impact ou une influence sur nos vies. Ces positions peuvent être une question de choix libre et discrétionnaire, comme pour un mari ou une épouse, ou pour les enfants, et les beaux-parents, qui sont le résultat de notre choix d'un partenaire. Mais pour la plupart ils sont une question d'opportunité, sur quoi nous avons peu de contrôle, si nous avons des activités ou des fonctions dans la société en dehors de notre foyer. Souvent ils sont dans notre propre famille, ayant été choisis par un proche. Les positions sur lesquelles nous avons peu ou pas de contrôle peuvent être celles d'un beau-père ou d'une belle-mère, d'un demi-frère ou d'une demi-sur, d'un beau-fils ou d'une belle-fille, le mari ou la femme d'une sur ou d'un frère, des nièces ou des neveux, un voisin ou un collègue de travail, un professeur ou un étudiant, un employeur ou un employé, un coiffeur ou un caissier de banque, la fille derrière la caisse du drugstore ou les enfants jouant dans le voisinage.

Dès que l'une de ces positions dans nos vies est occupée par un membre d'une autre race, il prend la place de quelqu'un de notre propre race qui aurait occupé cette position dans une société homogène et monoraciale. A la place d'une relation qui se serait établie avec un membre de notre propre race, s'établit une relation avec un membre d'une autre race. Plus il y a de places dans nos vies qui sont prises par des membres d'autres races, moins il en
reste pour les membres de notre propre race, plus nous sommes privés de contacts avec des membres de notre propre race, et plus il devient difficile et inhabituel pour nous d'établir des relations avec des membres de notre propre race. Les places dans nos vies sont remplies de plus en plus par des membres d'autres races, remplaçant les membres de notre propre race. Nous les voyons constamment et nous prenons l'habitude de les voir. Ils deviennent familiers et nous développons souvent des sentiments de loyauté et d'amitié avec eux. Mais nous ne voyons pas les membres de notre propre race qui auraient occupé ces positions dans nos vies, et avec qui nous aurions partagé ces sentiments, s'ils n'avaient pas été remplacés par les membres d'autres races.

Même le choix d'un partenaire, qui devrait être une question de libre choix, est limité par l'opportunité et la disponibilité, des facteurs largement hors de notre contrôle. Comme de plus en plus de positions de partenaires éventuels dans nos vies sont occupées par des membres d'autres races, remplaçant les membres de notre propre race, moins de positions sont disponibles pour les membres de notre propre race, et nos opportunités de trouver un partenaire de notre propre race diminuent. Cela augmente grandement la probabilité qu'un partenaire d'une autre race sera choisi. De cette manière le remplacement racial favorise le mélange racial.

Le nihilisme racial n'est pas une menace égale pour toutes les races. Certaines sont plus menacées que d'autres. Actuellement, et pour l'avenir prévisible, le multiracialisme et la tendance au mélange racial met en danger l'indépendance et l'existence de la race nordique, plus que toute autre race. Les habitats de la race mongoloïde en Asie, de la race congoïde en Afrique, de la race dravidienne en Inde, et d'autres races non-européennes, ne sont menacés par aucune tendance vers le multiracialisme. Leurs races ne sont aucunement en danger d'extinction par le mélange racial, l'immigration ou le remplacement. Il n'y a aucun mouvement de races étrangères vers leurs habitats. Les races non-mongoloïdes n'immigrent pas dans les habitats mongoloïdes. Les races non-congoloïdes n'immigrent pas dans les habitats congoloïdes. La race amérindienne en Amérique Latine n'est pas en danger démographique, mais vigoureuse et en plein développement. En fait, les éléments raciaux non-nordiques les plus affectés par le multiracialisme sont ceux qui sont maintenant dans les habitats nordiques, ceux-là mêmes qui causent la destruction des peuples nordiques en les privant des conditions d'indépendance et de séparation dont ils ont besoin pour exister, pendant que leurs propres habitats raciaux, avec la grande majorité de leurs populations raciales, restent racialement non-menacés, sûrs, en sécurité, inviolés et homogènes.

Pour la race nordique, le mélange racial est comme l'histoire des dix petits Indiens, qui étaient de moins en moins nombreux, « et puis il n'y en eut plus ». Si le nihilisme racial poursuit son chemin, les peuples nordiques tomberont devant lui comme des dominos, et il n'y aura pas seulement « la disparition des Américains », mais aussi la disparition des Canadiens, des Britanniques, des Scandinaves, des Hollandais, des Allemands et des Australiens. Avec leur disparition une grande partie de la diversité de l'humanité sera manquante, irrémédiablement perdue.

Le nihilisme racial, en déniant à la race nordique les conditions dont elle a besoin pour son existence, et en encourageant les causes de sa non-existence, nie essentiellement sa valeur et son importance. Le nihilisme racial dit que la continuation de l'existence de la race nordique n'est pas importante, qu'elle n'est pas une part importante ou vitale de la Vie, de la Création et de l'Univers, qu'elle est remplaçable, que sa perte ou sa destruction n'est donc pas un sujet légitime de préoccupation, et que la prévention de sa perte ou de sa destruction, de sa préservation, n'est pas une cause ou un but légitime ou moral. Pour le nihilisme racial, le sauvetage de la race nordique, ou la continuation de son existence, n'est pas seulement sans importance, elle n'est pas désirable, car cela interférerait avec son but, et empêcherait la réalisation de son but. Pour le nihilisme racial, c'est la non-existence ou l'extinction de la race nordique qui est importante, pas la continuation de son existence ou de sa vie.

Le changement qui est en cours actuellement est beaucoup plus qu'un changement politique ou économique, et même beaucoup plus qu'un changement religieux, social ou culturel. C'est un changement racial. Le changement racial est la forme de changement la plus drastique. C'est un changement permanent et irréversible. C'est plus qu'un changement des formes extérieures, c'est un changement de la substance intérieure. C'est un changement biologique, un changement génétique, un changement de l'évolution, un changement des formes de vie, un changement de la création, de la vie et de la nature. Une race, une forme de vie, une ligne ou un continuum de l'évolution, une ligne biologique, génétique, est remplacée par d'autres.
Le changement drastique et irréversible actuellement effectué par le nihilisme racial requiert que ses valeurs et ses buts soient considérés, questionnés et examinés soigneusement, et, si la race nordique doit être sauvée, qu'ils soient contestés. Seul un système d'idées et de valeurs, seul un code d'éthique et de moralité ­ le préservationnisme racial ­ peut défier le nihilisme racial. Seul il peut oser le faire. Seul il peut avoir la volonté ou la motivation requise. Le préservationnisme racial est le « être » face au « non-être » du nihilisme racial. Seul il peut sauver la race nordique.

 

NOTE

Cela est vrai même pour la race amérindienne. A l'époque de la découverte de l'Amérique par Colomb en 1492, seulement environ 5% de la population totale amérindienne vivaient au nord du Rio Grande dans ce qu'on appelle maintenant l'Amérique du Nord. Les autres 95% de la race amérindienne vivaient au sud du Rio Grande, dans ce qui est maintenant l'Amérique Latine, ou dans les îles Caraïbes. Le Mexique à lui seul comptait six fois plus d'Amérindiens que toute l'Amérique du Nord. La race amérindienne, incluant les métis, compte à présent environ 170 millions d'individus. Seuls environ 1,4% de ceux-ci sont des Indiens d'Amérique du Nord, le reste étant des Indiens d'Amérique Latine ou Latinos. La grande affluence de Mexicains et d'autres immigrants Latinos en Amérique du Nord depuis 1965 a placé une grande part de la population amérindienne (27,4 millions, soit environ 16%) au nord du Rio Grande pour la première fois, mais ce mouvement latino-hispanique devrait être considéré comme une expansion depuis leur habitat central existant en direction du voisinage, auparavant territoire périphérique, plutôt que comme une réclamation de son ancien territoire central par « la Raza », la race, comme ils se nomment eux-mêmes.

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