LA CRISE NORDIQUE

Richard McCulloch

 

 

Toutes les races de l'humanité ont en commun les mêmes intérêts vitaux primordiaux ­ la préservation, la continuation de leur existence raciale. Leur préservation ou leur continuation dépend des mêmes conditions que leur création ­ l'isolation reproductive, la seule prévention efficace contre leur mélange avec d'autres races. Cela est en fin de compte vrai pour toutes les races, et immédiatement vrai pour celles que leurs traits génétiques relativement récessifs rendent plus vulnérables aux effets racialement destructeurs du métissage. En termes de préservationnisme racial, la perte ou l'absence d'isolation reproductive crée la forme la plus sévère de problème racial ­ un problème qui menace la survie même et la continuation de l'existence de la race, un problème qui doit inévitablement entraîner la destruction ou la non-existence de la race, un problème qui n'est rien de moins qu'une crise raciale. La race nordique (les Européens du Nord) est aujourd'hui menacée par une telle crise ­, un problème racial qui a grandi et qui s'est développé durant les quatre derniers siècles jusqu'au point où il cause à présent la destruction de la race nordique.

Le peuplement de la terre pendant les 100.000 dernières années s'est fait par de nombreuses migrations de nombreux peuples différents. Dans cette longue série de mouvements humains, de nombreuses terres ont été occupées successivement par divers peuples, les nouveaux venus remplaçant et déplaçant souvent les habitants précédents. Ce processus est à la fois ancien, en fait plus vieux que l'humanité, et récent, en fait toujours en cours.

L'expansion des peuples européens dans les Amériques, qui commença en 1492, faisait partie de ce processus. Cette expansion déplaça les peuples américains indigènes dans les zones où leur densité de population était faible, comme en Amérique du Nord, mais dans les zones où leur densité de population était élevée, comme le Mexique ou l'Amérique Centrale, ou dans les régions qui étaient moins accessibles, comme les régions de montagnes et de forêts d'Amérique du Sud, ils restèrent prédominants. L'expansion européenne dans ce qui devint connu sous le nom d'Amérique Latine (les terres au sud du Rio Grande) fut entreprise surtout par les peuples méditerranéens d'Espagne et du Portugal, assistés par une importation à grande échelle d'esclaves des peuples congoïdes d'Afrique sub-saharienne. Le peuplement et le développement de l'Amérique du Nord (les Etats-Unis et le Canada) de 1600 à 1880 furent, à une importante exception près, une entreprise nordique. Cette exception importante fut le détournement d'environ 5% du commerce total des esclaves congoïdes dans les colonies anglaises du Sud.

Cette exception fut fatale, car elle transplanta dans le nouveau foyer nordique un élément de population que la race nordique ne pouvait pas assimiler sans se détruire ou sans se renier effectivement elle-même. Cette action viola l'intérêt racial nordique vital et primordial à posséder un pays pan-nordique racialement homogène ­ la condition d'isolation reproductive vis-à-vis des éléments raciaux inassimilables, requise pour la préservation raciale nordique à long terme. Elle divisa aussi la nouvelle nation nordique en causant le développement de deux systèmes socio-économiques différents, une différence basée sur ­ et causée par ­ la présence d'Africains dans le Sud et leur absence dans le Nord. Le Nord se développa comme une société et un système économique pan-nordique essentiellement monoracial similaire aux foyers nordiques d'Europe. Dans le Sud, l'établissement de l'esclavage africain, et la présence consécutive d'Africains comptant pour un tiers de la population, fit que le développement social et économique de la région fut déformé, dévié de son cours normal et naturel de développement monoracial, et qu'il suivit un cours de développement multiracial, différent de celui du Nord et des foyers nordiques. Ce fut le début du problème racial, un problème dont la solution ne fut jamais formulée adéquatement, qui continua donc et grandit et se développa finalement jusqu'à la crise raciale qui menace maintenant toute la race nordique.

Les différences sociales et économiques qui se développèrent entre le Nord et le Sud à cause de la présence africaine entraînèrent des désaccords et des tensions profondément diviseurs. Leurs intérêts contraires étaient souvent exprimés en termes politiques, philosophiques ou juridiques (comme les concepts des « Droits des Etats » décentralisés et des « Droits du Sud » sécessionnistes avancés par le Sud, contre le nationalisme nordique-américain unifié « d'un océan à l'autre » et de la « Destinée Manifeste » qui grandissait en popularité dans le Nord), mais la source profonde de leurs différences était la présence africaine qui causait une divergence entre le développement socio-économique du Sud bi-racial et celui du Nord monoracial. Pour Thomas Jefferson et d'autres leaders américains des « quatre vingt-sept premières années », le problème racial était « le bruit d'une cloche dans la nuit » qui leur causait une grande inquiétude pour l'avenir de leur race ainsi que pour celui de leur pays. Leurs valeurs des droits de l'homme et de la liberté exigeaient que les Africains soient libérés, alors que leur désir de préservation raciale requérait que les races soient séparées pour assurer l'isolation reproductive (1).

Le problème racial ne fut jamais résolu d'une manière satisfaisant à la fois ces deux préoccupations. Le problème racial commença avec l'esclavage, ayant été apporté en Amérique par l'esclavage, et jusqu'à la Guerre de Sécession il s'identifia essentiellement à l'esclavage. Les Etats du Nord ne permettaient pas l'esclavage, et avaient donc une population presque totalement nordique (l'Illinois et l'Ohio n'acceptaient même pas les Congoïdes libres à l'intérieur de leurs frontières). L'essence de la division et le facteur diviseur affectant la jeune nation sont révélés par les termes utilisés pour désigner les différentes faction : « Etats libres » et « Etats esclavagistes ». Les gens des Etats libres pan-nordiques et monoraciaux du Nord cherchaient à empêcher l'expansion du problème racial ­ et accroissaient ainsi le territoire occupé exclusivement par des Européens nordiques ­ en s'opposant à l'extension de l'esclavage, et donc de la population congoïde, vers de nouveaux territoires. La classe esclavagiste dominante des Etats esclavagistes du Sud cherchait à ouvrir de nouveaux territoires à l'expansion de leur système socio-économique bi-racial, mais étaient frustrés par la résistance nordique monoraciale et se sentaient menacés par le sentiment grandissant dans le Nord en faveur d'une nation pan-nordique.

Les propositions pour l'abolition de l'esclavage avancées par Jefferson, Lincoln et d'autres anciens leaders américains incluaient des plans pour le dédommagement des anciens propriétaires et la réinstallation des esclaves africains libérés en-dehors des Etats-Unis, conduisant à une nation nord-américaine presque monoraciale. Dans les esprits de la plupart des gens du Nord, les deux buts de mettre fin à l'esclavage et de construire une nation pan-nordique racialement homogène ­ par la réinstallation de la population congoïde dans un pays à eux ­ étaient inséparables. Chacun était supposé être lié à l'autre. En fait, on peut dire que l'abolition de l'esclavage était généralement considérée moins comme une fin en soi que comme un moyen de construire une nation nordique monoraciale. L'un était une étape nécessaire à la réalisation de l'autre (2).

Si l'abolition de l'esclavage avait été accomplie pacifiquement par les Sudistes et les Nordistes agissant ensemble pour servir les intérêts vitaux et supérieurs de leur race ­ c'est-à-dire la séparation d'avec les autres races, combinée avec l'unité du peuple nordique américain pour créer une nation pan-nordique racialement homogène ­ elle aurait probablement été associée à une solution à long terme au problème racial. Mais comme les membres de la classe propriétaire d'esclaves dominante au Sud étaient plus préoccupés par leurs intérêts économiques que par les intérêts supérieurs de leur race (cela, et des intérêts économiques similaires étant une cause persistante et importante du problème racial), un sécessionnisme diviseur s'opposa à l'opportunité pour le Nord et le Sud de travailler ensemble pour résoudre le problème. Cette tragique absence de conscience raciale conduisit finalement à la tentative du Sud de dissoudre l'union de la race nordique d'Amérique par la sécession. Cela fit suite à l'élection d'Abraham Lincoln à la présidence en 1860, qui confirma qu'aucune extension future de l'esclavage et de la population congoïde ne serait permise, et que les Etats libres monoraciaux dépasseraient donc bientôt en nombre les Etats esclavagistes bi-raciaux. Durant l'expérience traumatique de la guerre qui suivit ­ alors que le Nord cherchait à préserver l'Union et l'unité du peuple nordique américain ­ les préoccupations et les intérêts raciaux vitaux furent oubliés dans l'escalade des passions partisanes et de la recherche à courte vue de la victoire, et la guerre qui commençait, où le Nord tentait d'assurer les intérêts raciaux vitaux de la population nordique, se transforma largement en une croisade pour promouvoir les intérêts de la population africaine américaine. En résultat, l'abolition de l'esclavage fut accomplie sans compensation pour les propriétaires et, de manière plus cruciale, sans la réinstallation de la population africaine libérée dans un pays séparé, et l'occasion de résoudre le problème racial à un stade précoce fut perdue. En conséquence, le problème racial resta non-résolu et continua à grandir. Il devint aussi plus compliqué.

Avant la Guerre de Sécession, le problème racial était essentiellement limité aux Etats du Sud et était surtout un problème de Nordiques et de Congoïdes, ou de « Blancs » et de « Noirs ». La population blanche, et l'immigration, étaient presque entièrement nordiques (en fait, presque entièrement du Groupe Central nordique, de l'Europe du Nord-Ouest), et la petite minorité non-nordique était principalement du groupe « alpin ». Sous la loi de naturalisation de 1790, qui resta en effet jusqu'au milieu des années 60, seules les « personnes blanches libres » pouvaient devenir des citoyens des Etats-Unis. Les Non-Blancs pouvaient devenir citoyens seulement par naissance. « La politique d'immigration américaine, de 1792 aux années 60, chercha à limiter l'immigration aux Non-Blancs. L'argument selon lequel la tradition américaine est d'accueillir tous les groupes ethniques et raciaux est simplement faux, cette tradition est vieille seulement d'une génération ». (3)

Après la Guerre de Sécession, le problème racial s'élargit lorsque des groupes importants de Congoïdes commencèrent à migrer du Sud au Nord, et il devint plus compliqué après 1890 lorsque la majorité des immigrants devint non-nordique. Avant 1890, l'immigration venait en majorité écrasante des pays de Groupe Central nordique d'Europe du Nord-Ouest, mais la « nouvelle immigration » massive de 1890 à 1924 fut principalement non-nordique. Les Européens du Sud et de l'Est formaient seulement 13% des immigrants en 1882, mais 81% en 1907. Un petit nombre des immigrants de ces régions étaient des Nordiques Périphériques, mais la majorité consistait en Méditerranoïdes (l'élément prédominant parmi les immigrants d'Italie et de Sicile) et d'Arménoïdes (l'élément prédominant parmi les Juifs ashkénazes d'Europe de l'Est). Beaucoup des nouveaux immigrants promouvaient les valeurs du multiracialisme et du « Melting Pot » (le titre d'une pièce d'Israël Zangwill en 1909), mais la plupart des Américains Nordiques s'opposaient au multiracialisme, et transformèrent en loi le « National Origins Act » de 1924, ce qui réduisit fortement l'immigration non-nordique ­ et stabilisa largement les proportions raciales de la population ­ pour les quarante années suivantes. Cet acte limité d'auto-préservation raciale nordique ralentit temporairement la croissance du problème racial, mais c'était trop peu et trop tard pour la stopper, et ne faisait rien pour résoudre le problème déjà existant.

Dans son livre de 1945, le sociologue suédois Gunnar Myrdal appela le problème racial : « le dilemme américain ». Un dilemme implique l'absence de solution. Mais pendant les deux décennies suivantes, le nihilisme racial s'éleva à une position de domination idéologique et fournit sa solution au dilemme : le rejet de toute préoccupation raciale préservationniste et la promotion de la négation et de la destruction raciales par le métissage. Il parvint à cette position dominante non seulement dans les Etats-Unis multiraciaux, mais aussi dans les pays nordiques monoraciaux d'Europe, du Canada et d'Australie, qui étaient fortement influencés par le modèle américain qui considérait le multiracialisme comme une partie essentielle d'une société moderne et avancée. Le résultat fut la promotion du multiracialisme dans tous les pays nordiques ­ dont la conséquence pratique fut l'immigration non-nordique à grande échelle dans presque tous les foyers nordiques et la fin de l'isolation reproductive nécessaire à la préservation raciale nordique.

A la connaissance de l'auteur, aucune étude sociologique ou historique n'a été réalisée, qui documente, décrit ou explique le processus de multiracialisation actuellement en cours dans les pays nordiques : comment il a commencé ; qui a pris les décisions ; dans quelle mesure le cours ou les conséquences de la multiracialisation furent voulues ou planifiées, envisagées ou prévues ; la documentation statistique sur le nombre et l'identité raciale des immigrants ; et l'ampleur du mélange, des mariages et des adoptions inter-raciales. Une telle étude se heurterait à des problèmes, puisque les gouvernements des pays nordiques soumis à ce processus semblent réticents à collecter ou à publier des informations exactes sur lui, et tant qu'ils le seront, des informations plus crédibles sur le sujet resteront difficiles à obtenir. Mais même sans une telle étude, il est clair que les populations nordiques indigènes dans leur ensemble ont eu et ont peu de choix en la matière, qu'elles n'ont été et ne sont pas bien informées à ce sujet, et qu'elles étaient et sont largement inconscientes de ses conséquences : la transformation raciale des anciens foyers nordiques par le déplacement et le remplacement progressif des populations nordiques indigènes par des populations de plus en plus non-nordiques. Il est également clair que si les motifs se trouvant derrière les premiers stades du processus de multiracialisation étaient presque entièrement économiques ­ le désir de la part des grands et influents intérêts commerciaux d'avoir un apport illimité de main-d'uvre à bon marché, des esclaves africains et des travailleurs chinois du chemin de fer aux ouvriers d'Europe du Sud et aux travailleurs mexicains dans les exploitations agricoles ­, les motifs derrière le processus de multiracialisation grandement renforcé qui commença dans les années 1950 incluaient une composante idéologique importante et de plus en plus dominante, alors que la multiracialisation des foyers nordiques et ses conséquences destructrices pour la race nordique devenaient une fin en soi sous le règne d'une idéologie nihiliste raciale toujours plus puissante.

L'immigration non-nordique à grande échelle en Grande-Bretagne commença ironiquement en 1957, au moment où les Britanniques se retiraient eux-mêmes de leurs anciennes colonies non-nordiques [Premiers immigrants.JPG].

Au début des années 1960, un grand nombre d'immigrants et de « travailleurs invités » non-nordiques commença à entrer dans les pays nordiques du continent européen. Aux Etats-Unis, le « Immigration Reform Act » de 1965 réouvrit la porte à une immigration non-nordique à grande échelle ­ avec le résultat que l'immigration massive d'après 1970 fut à plus de 90% non-nordique ­ pendant que l'« intégration » raciale croissante prônée par le Mouvement des Droits Civiques accroissait fortement l'ampleur du contact et du mélange inter-racial, puisqu'elle abolissait en grande partie la séparation raciale (ou « ségrégation ») qui avait constitué une forme limitée d'isolation reproductive (4). En 1967, le Canada ­ un pays nordique presque monoracial ­ réforma ses lois sur l'immigration pour encourager l'immigration non-nordique, comme s'il cherchait activement à se transformer en société multiraciale. Dans les années 70, les immigrants non-nordiques commencèrent à entrer en Scandinavie, et l'Australie abandonna sa traditionnelle politique d'immigration « Whites only » [« seulement des Blancs »] en faveur d'un « avenir multiracial » (ce qui signifie un avenir est-asiatique, plutôt que nordique). Dans les années 80, le problème racial qui avait été pendant longtemps un dilemme uniquement américain, limité aux Etats-Unis, s'était transformé en une crise raciale affectant presque tous les peuples nordiques, violant leurs intérêts primordiaux et vitaux à l'indépendance et à l'isolation reproductive nécessaires à la continuation de leur existence (5).

Un certain nombre de facteurs différents, autres que l'idéologie nihiliste raciale, contribue à cette crise de survie raciale nordique. L'un est certainement le relatif bien-être économique des pays nordiques, qui les rend très attractifs aux immigrants pour des raisons économiques. Un autre est « l'explosion démographique » dans la plupart des pays non-nordiques, qui accroît fortement la pression démographique et économique en faveur de l'immigration. Un autre est la vulnérabilité relative de la race nordique au mélange, due à son taux de natalité relativement faible (en fait en dessous du taux de remplacement depuis le début des années 1970, et donc une crise en elle-même), au fait qu'elle représente une petite minorité dans l'humanité totale (moins de 10% de la population mondiale totale et moins de 5% des naissances mondiales totales) et, particularité unique, à la récessivité relative des divers traits de son ensemble génétique, qui fait qu'ils sont généralement éliminés ou sévèrement diminués par le métissage.

Les facteurs non-idéologiques vont probablement devenir encore moins favorables à la race nordique dans l'avenir prévisible. En 2050, on prévoit que la population mondiale atteindra 10,2 milliards, avec plus de 90% de cette croissance dans les pays « les moins développés », alors que la race nordique diminuera réellement en termes absolus aussi bien que relatifs (moins de 5% de la population mondiale totale et moins de 2% des naissances mondiales totales en 2050). En résultat, les pays autrefois nordiques et de moins en moins nordiques doivent s'attendre à faire face à des vagues croissantes d'immigration non-nordique, puisque des millions de réfugiés fuient la pauvreté de leurs pays d'origine (6).

Les Tables I et II montrent les changements raciaux qui sont survenus dans la composition de la population des Etats-Unis depuis 1880 et les changements, basés sur les tendances actuelles, qui sont prévus entre 1992 et 2050.

Pour décrire la situation en termes biologiques, l'habitat de la race nordique est envahi par des formes de vie ou des races rivales (7). Si les différentes races ne se mélangent pas, la compétition sera décidée seulement par le nombre, par lequel les races non-nordiques, à la fois par leur nombre d'immigrants potentiels et par leur taux de natalité élevé, jouissent d'un avantage décisif. Si elles se mélangent, la race dont les traits génétiques sont dominants jouira d'un avantage multipliant la puissance du nombre par un facteur basé sur le degré de sa domination génétique sur ses rivales au cours du mélange. Comme l'ensemble distinctif des traits génétiques nordiques est généralement récessif comparé aux traits non-nordiques, les effets du mélange tendront à favoriser les races non-nordiques. En conséquence, la capacité d'une population nordique à assimiler des éléments non-nordiques sans altération importante ou diminution distinctive de son identité raciale et de ses traits génétiques est très limitée. Même avec des membres du groupe racial alpin, un facteur de 6 à 1 en faveur de la population nordique est requis pour réussir l'assimilation sans altération significative de son identité et de ses traits raciaux. Avec d'autres races, des taux plus élevés sont requis, chaque membre de l'élément non-nordique neutralisant en fait de multiples membres de l'élément nordique dans l'équation du mélange. Pour la race nordique, les résultats du mélange sont clairement défavorables, une sinistre mathématique d'altération, de diminution et d'extinction.

Pour la plus grande part, les races non-européennes de l'humanité ne sont pas aussi menacées. Non seulement leurs traits génétiques sont plus résistants à l'altération ou à la diminution par le mélange, mais leurs problèmes démographiques tendent aussi à être à l'opposé de ceux de la race nordique ­ croissance excessive au lieu de déclin. Dans l'avenir prévisible, le plus d'un milliard d'habitants de l'Inde (en mai 2000), le 1,3 milliard de la Chine, et les futurs
1 milliard d'Afrique et 700 millions d'Amérique Latine ont peu de chances d'être menacés par une immigration venant d'autres régions ou d'autres races. Leur existence raciale semble assurée. La crise de survie raciale causée par le nihilisme racial et par le multiracialisme est donc presque exclusivement une crise nordique. Ce qui est réellement prévisible, au vu des tendances actuelles, c'est la croissance et l'expansion des races africaines, asiatiques, et latino-américaines à l'intérieur des foyers des peuples européens, en particulier de la race nordique, qui sera progressivement remplacée par une race mélangée d'origine en partie nordique, avec une proportion nordique diminuant régulièrement au fur et à mesure que de nouvelles vagues d'immigrants non-nordiques viendront continuellement s'ajouter au mélange.

En un peu plus de trois décennies, les pays du Nord-Ouest de l'Europe (incluant la Grande-Bretagne, la Belgique, les Pays-Bas, l'Allemagne, la France, la Suisse, l'Autriche, le Danemark, la Suède et la Norvège) ont reçu des populations d'immigrants non-européens qui sont trop nombreuses pour que les populations natives puissent les assimiler sans nier ou détruire leur identité raciale. Cependant, étant donné le fait que les différentes populations humaines partageant un même territoire finissent par se mélanger, on doit supposer qu'elles tenteront d'assimiler ces éléments inassimilables, et se détruiront elles-mêmes au cours du processus. Si leur engagement en faveur du multiracialisme et du nihilisme racial demeure inchangé, et si les récentes tendances démographiques de l'immigration, [si] le différentiel des taux de natalité et [si] le mélange racial continuent, on peut prévoir qu'en 2100 les restes des populations natives du Nord-Ouest de l'Europe seront trop faibles pour assurer une continuation viable de leur existence. Dans les faits, ils seront éteints.

Dans une déclaration rare et inhabituellement candide au sujet de ce processus d'extinction nordique ordinairement ignoré ou évité, un ministre hollandais de l'Education et des Sciences a dit :

« Je pense que les Hollandais disparaîtront sur le long terme. La croissance de la population des groupes ethniques [immigrés] est beaucoup plus rapide que celle des Hollandais. Il est évident que ce processus continuera, même après l'an 2000. C'est une tendance mondiale. La race blanche s'éteindra sur le long terme. Je ne considère pas cela comme positif ou négatif. Apparemment nous sommes satisfaits de ce développement. » (8)

Les pays nordiques de l'Europe du Nord-Ouest, d'Amérique du Nord et d'Australie sont transformés en pays non-nordiques par les effets cumulatifs de l'immigration non-nordique, des taux de natalité différents, de l'adoption interraciale et du métissage. Avec le passage des générations, leurs populations nordiques s'éteindront progressivement quand leurs restes en diminution seront absorbés dans le mélange du melting-pot racial. D'après la Loi américaine sur les espèces en danger [US Endangered Species Act], qui définit les espèces comme incluant des sous-espèces, une espèce en danger est « en danger d'extinction dans sa totalité ou dans une partie significative de son existence ». Une espèce menacée « a des chances de devenir [une espèce] en danger dans un avenir prévisible ». Selon cette définition, la race nordique est déjà en danger. (9)

L'extinction est un processus graduel de destruction raciale qui survient pendant une suite de générations, avec une quantité cumulée de pertes raciales augmentant à chaque génération jusqu'à la fin du processus. Comme aspect de ce processus, la race en cours d'extinction souffre aussi de la perte de son indépendance politique, sociale, culturelle et économique, du contrôle de sa propre vie et de son propre destin, et de la possession exclusive de son propre foyer, nation, pays ou territoire. Comme ce processus est conduit par le nihilisme racial, la race dépossédée de sa culture et de son pays est d'abord dépossédée de son sens de
la nationalité ou de son identité nationale, de l'étroite association historique ou de l'identification entre une population particulière, la nation qu'elle constituait, et du pays ou foyer national qu'elle occupait. Son identité raciale et nationale est niée et lui est retirée en la redéfinissant de manière à inclure d'autres groupes ­ définissant en fait son identité en-dehors de son existence, puisque son identité doit d'abord être niée et détruite avant que son droit à l'existence soit niée et avant qu'elle soit détruite. Le droit de possession ou de propriété exclusive d'un peuple ou d'une race à son foyer, héritage, ethnicité, nationalité et à son identité même est nié par l'affirmation que les immigrants d'autres races font partie de cette nation, appartiennent à ce peuple et ont le droit de vivre dans ce pays et de partager cette identité autant que la population raciale historique. (10)

La domination culturelle et idéologique du nihilisme racial est maintenant si forte qu'il est considéré comme moralement erroné (et éventuellement illégal) pour un Français d'affirmer que la France appartient aux Français (indigènes) et que seul un Français indigène doit être considéré comme un Français, ou pour un Anglais, un Hollandais, un Allemand ou un Scandinave de faire une affirmation similaire de propriété raciale exclusive de leur foyer national ancestral et de leur identité nationale. Leur ethnicité, nationalité, héritage racial, identité et propriété de leurs propres pays sont niés et leur sont retirés, et toute opposition à ce processus est fortement condamnée par les éléments culturellement et politiquement dominants qui promeuvent le nihilisme racial. Leurs pays en tant que foyers nationaux sont perdus pour les futures générations de leur race, puisque ces générations sont elles-mêmes perdues par la destruction raciale qui fait partie du même processus.

Divers arguments sont utilisés pour justifier ou rationaliser la multiracialisation du monde nordique. Aux Etats-Unis, où elle a commencé, la multiracialisation a souvent été justifiée par l'argument que l'Amérique était une « nation d'immigrants ». Mais cet argument est simplement une manière d'éluder les questions et les problèmes fondamentaux de la race, en particulier la préservation et l'indépendance raciales, et il ignore le fait que, à l'exception des Congoïdes qui ont été importés comme esclaves, les immigrants en Amérique avant 1890 étaient presque tous nordiques, et ont donné au nouveau pays une identité raciale distinctement nordique. L'argument de la « nation d'immigrants » est en fait un rideau de fumée destiné à dissimuler et à promouvoir l'immigration de Non-Nordiques dans les foyers nordiques. Alors qu'il a été d'abord et toujours habituellement utilisé pour justifier l'immigration non-nordique aux Etats-Unis, il a aussi été utilisé pour légitimer l'immigration non-nordique au Canada et en Australie, où l'immigration fut presque exclusivement nordique jusqu'aux dernières décennies, et même en Europe où il est clairement faux puisque les peuples européens indigènes sont installés ici depuis 40.000 ans. Un exemple de cette dernière situation est l'affirmation par le ministre français de l'Intérieur, Jean-Pierre Chevènement (rapporté par la BBC le 28 juillet 2000) que « l'Europe doit se préparer à recevoir des millions de migrants dans les 50 prochaines années pour compenser le déclin de la population [et que] l'Europe, une terre d'immigration [souligné par l'auteur], doit devenir un endroit où le mélange racial soit pratiqué et l'opinion publique doit être éduquée et convaincue. »

Un autre argument habituel pour la multiracialisation est que les immigrants des différentes races enrichissent ou renforcent un pays. Mais un peuple ou une race n'est pas enrichi ou renforcé par la violation et la perte de son indépendance, du contrôle de sa propre vie et de son propre destin, et des conditions d'isolation reproductive et de séparation requises pour sa préservation et pour la continuation de son existence. En effet, un tel développement doit être considéré comme la plus sévère forme d'appauvrissement et d'affaiblissement dont une race ou un peuple puisse souffrir. Si un pays est identifié au peuple ou à la race qui l'a historiquement habité, (contrairement à la pratique nihiliste raciale, qui sépare un pays ou une nation de toute identification raciale), alors il doit aussi être considéré comme appauvri et affaibli par l'immigration multiraciale, plutôt qu'enrichi et renforcé. De même, on prétend que le multiracialisme représente un progrès ou une amélioration. Mais à nouveau, aucune race ne peut sérieusement considérer la violation et la perte des conditions nécessaires à la continuation de sa vie comme un progrès ou une amélioration.

Des arguments humanitaires sont aussi utilisés pour justifier l'immigration non-nordique dans les foyers nordiques. Mais l'assistance humanitaire peut être fournie à des peuples non-nordiques dans leurs propres foyers nationaux, une solution qui protégerait, au lieu de le violer, le droit des peuples nordiques à leurs propres pays et aux conditions requises pour la continuation de leur vie. On affirme aussi que la démocratie a besoin du multiracialisme, et que l'opposition au multiracialisme est non-démocratique, bien que la démocratie ait longtemps prospéré dans les pays nordiques monoraciaux. En réalité, la « démocratie multiraciale » doit elle-même être considérée comme antidémocratique ainsi que comme une contradiction dans les termes, puisqu'elle nie les droits des différents peuples ou races à l'autodétermination ou au gouvernement par eux-mêmes et pour eux-mêmes, à l'indépendance et même à l'existence, les condamnant ainsi à « disparaître de la Terre » au lieu d'affirmer leur droit à durer et à être préservés. Dans la mesure où les peuples nordiques acceptent la multiracialisation de leurs pays, ils acceptent la négation de leur propre droit à exister, sacrifiant leur intérêt ultime et le plus vital : le droit de continuer leur vie.

Les extraits suivants d'un reportage spécial d'Anthony Browne sur les questions raciales au Royaume-Uni et ailleurs, publié sur The Guardian Unlimited (le site web du Manchester Guardian) le 3 septembre 2000, sont un rare exemple de reportage d'un grand journal révélant partiellement les conséquences du multiracialisme, exposant les conséquences de l'immigration et des différentiels entre les taux de natalité, mais ignorant les conséquences du mélange racial :

 

Les Blancs du Royaume-Uni seront une minorité en 2100

Les Blancs seront une minorité ethnique en Grande-Bretagne à la fin du siècle. L'analyse
des chiffres officiels indique que, avec les actuels taux de fertilité et d'immigration, il y
aura plus de Non-Blancs que de Blancs en 2100. Ce serait la première fois dans l'histoire
qu'une population indigène majeure serait devenue une minorité volontairement, plutôt que
par la guerre, la famine ou la maladie. Les Blancs seront une minorité à Londres en 2010.

Au début des années 50, il y avait seulement quelques dizaines de milliers de Non-Blancs
dans le Royaume-Uni. En 1991 cela est monté à 3 millions ­ 6% de la population. La
population des minorités ethniques s'est accrue de 2 à 4% par an. L'immigration nette est
montée à des niveaux records, avec 185.000 nouveaux arrivants l'année dernière. Les
prévisions du gouvernement suggèrent que l'immigration par elle-même sera responsable de
la moitié de la croissance de la population britannique dans les deux prochaines décennies.

Les nouveaux immigrants, qui sont en moyenne plus jeunes que la population globale,
tendent aussi à avoir de plus hauts taux de fertilité. Au contraire, la population des citoyens
britanniques Blancs est statique. Leur taux de fertilité est très faible ­ au-dessous de 2
enfants par femme ­ et il y a en plus une émigration de citoyens britanniques.

L'analyse des chiffres a montré que si la population des minorités ethniques s'accroît de
4% par an, les Blancs deviendront une minorité avant 2100. Les démographes qui ont fait
le calcul ont souhaité garder l'anonymat par crainte d'être accusés de racisme.

 

Les derniers jours du monde blanc

Nous sommes proches d'un tournant mondial ­ un temps où les Blancs ne seront pas en
majorité dans le monde développé, Grande-Bretagne incluse. C'était à la fois nouveau et
pas nouveau ; l'étape la plus importante de l'un des plus profonds changements affectant
les Etats-Unis au siècle dernier, et néanmoins un non-événement. La semaine dernière, le
Bureau de Recensement américain a publié des chiffres montrant que les Blancs non-
hispaniques formaient 49,8% de la population de la Californie [probablement environ
75-80% des « Blancs non-hispaniques » sont nordiques]. Les Blancs anglo-saxons sont
déjà une minorité à Hawaï et dans le District de Columbia. Maintenant ils sont une minorité
ethnique dans l'Etat le plus peuplé du pays, celui qui est le plus souvent identifié au rêve
américain. « Mon espoir est que nous puissions tous voir la diversité de notre Etat comme
une cause de réjouissance et non de consternation », a dit le gouverneur adjoint, Cruz
Bustamente, un Latino-Américain.

Pas plus tard qu'en 1970, 8 Californiens sur 10 étaient blancs. Gonflées par une immigration
à son plus haut niveau depuis le début du siècle dernier, et par des taux de fertilité plus
élevés, les populations asiatique et latino de Californie se sont accrues de près d'un tiers
depuis 1990. En même temps, avec une immigration limitée et des taux de natalité faibles,
la population des Blancs non-hispaniques a baissé de 3%. En 2040, on s'attend à ce que les
Hispaniques soient une écrasante majorité dans l'Etat. Là où va la Californie, le reste de
l'Amérique suivra de manière prévisible. Actuellement 72% de la population américaine
est formée de Blancs non-hispaniques ; le Bureau de Recensement américain prévoit qu'ils
deviendront une minorité entre 2055 et 2060.

Les sables mouvants des Etats-Unis reflètent un changement plus grand ­ et hautement
polémique ­ dans le monde. C'est un domaine où peu de démographes osent s'aventurer
de peur d'être accusés de racisme. « Vous ne pouvez pas me citer ­ un mot de trop et je
tomberai d'une très grande hauteur », a dit un spécialiste. « Quoi que vous disiez vous
êtes considéré comme raciste. »

Dans le monde, la proportion des Blancs dans la population diminue. Les Nations Unies
collectent et produisent une grande quantité de statistiques sur la population, mais ne
publient rien concernant la race et l'origine ethnique. En effet, peu de pays collectent
leurs propres chiffres d'ethnicité ­ en Europe, seuls le Royaume-Uni et les Pays-Bas le
font. Cependant, l'état de la population mondiale en 1999 publié par les Nations Unies
a prévu que 98% de la croissance dans la population mondiale en 2025 surviendra dans
les régions moins développées, principalement en Afrique et en Asie. La raison la plus
importante à cela est le plus faible taux de natalité dans les pays riches : dans 61 pays,
principalement les pays riches, les gens n'ont plus assez de bébés pour se renouveler.

Dans son profil de la population mondiale en 1998, le Bureau de Recensement
américain a prédit que dans la seconde décennie de ce siècle tout le gain net dans la
population mondiale sera dans les pays en voie de développement. « L'avenir de la
croissance de la population humaine a été déterminé, et est déterminé, dans les nations
les plus pauvres du monde », dit-il. Le centre de gravité mondial se déplace. En 1900,
l'Europe avait un quart de la population du monde, et trois fois celle de l'Afrique ; en
2050, on prévoit que l'Europe aura juste 7% de la population du monde, et un tiers
de celle de l'Afrique. Les populations vieillissantes et déclinantes des nations à
prédominance blanche ont émis des prévisions ­ et font appel à celles-ci ­ pour
davantage d'immigration venant des populations jeunes et croissantes des nations
en développement pour compenser le manque.

L'année dernière l'immigration nette en Grande-Bretagne a atteint 185.000 personnes,
un record absolu. Le nombre de citoyens des minorités ethniques est passé de quelques
dizaines de milliers dans les années 50 à plus de 3 millions ­ environ 6% de la
population totale. Alors que le nombre de Blancs est virtuellement statique, la fertilité
plus élevée et l'immigration nette signifie que le nombre des minorités ethniques
s'accroît de 2 à 3% par an. Un démographe, qui n'a pas voulu être nommé par peur
d'être traité de raciste, a dit : « C'est une question de pure arithmétique que, si rien
d'autre ne se passe, les Non-Européens deviendront une majorité et les Blancs une
minorité dans le Royaume-Uni. Ce serait probablement la première fois qu'une
population indigène serait volontairement devenue une minorité dans sa patrie
historique ».

Lee Jaspers, conseiller pour les relations raciales auprès du maire de Londres, Ken
Livingstone, a prédit un avenir similaire, déclarant à l'Observer : « Là où va l'Amérique,
l'Europe suit 30 ans plus tard. Il y a un potentiel pour que les Blancs deviennent une
minorité dans certains pays européens ». En Grande-Bretagne, il est presque certain
que cela arrivera à Londres, et dans un avenir relativement proche ». Actuellement les
minorités ethniques sont environ 40% à Londres. Les études démographiques montrent
que les Blancs à Londres deviendront une minorité en 2010 », a dit Jaspers. « Nous
pourrions avoir une Grande-Bretagne majoritairement noire au tournant du siècle ».

Le président du British National Party, Nick Griffin, a dit : « Je ne pense pas qu'il y
ait le moindre doute que pendant ce siècle, les Blancs seront une minorité dans tous
les pays du monde ». Pour Griffin, cependant, c'est une cause majeure d'inquiétude :
« Chaque peuple sous le soleil a un droit à sa place au soleil, et le droit de survivre.
Si des gens prédisaient que les Indiens seraient une minorité en Inde en 2100, tout le
monde appellerait cela un génocide ». Yasmin Alibhai-Brown du Centre de Politique
Etrangère, qui arriva à Londres en venant de l'Ouganda en 1972, a dit que de telles
craintes sont fondamentalement racistes : « Seuls les Blancs ont peur de cela ». Elle a
ajouté : « Il y a une panique blanche chaque fois qu'une partie de leur monde semble
passer à quelqu'un d'autre. Mais il est stupide de paniquer à propos de cela. Et quelle
importance si nous devenons une majorité ? Quelle différence cela fait-il ? »

Jaspers a dit que les inquiétudes du BNP sont basées sur des idées démodées. « La
composition raciale des nations change tout le temps. Il n'y a aucun moyen de lier
cette ethnicité du sang à un endroit géographique spécifique dans un monde global.
Vous ne pouvez plus voir d'Etats ethniques, dire que l'Allemagne est anglo-saxonne
et ainsi de suite ». Jaspers pense que le processus renforcerait la Grande-Bretagne :
« La diversité renforce un pays. Elle le rend plus excitant. Nous avons des centaines
de langues parlées, quand nous sortons pour manger nous ne mangeons jamais anglais,
nous mangeons thaï ou français ou indien. Cela fait de Londres un très bon endroit
pour vivre et travailler ».

De retour en Californie, dans un pays construit par les immigrants, Bustamente a mis
un accent positif sur la fin de la majorité blanche : « S'il n'y a pas de majorité, alors
il n'y a pas de minorité ». En Europe, avec sa population blanche indigène vieille de
40.000 ans, la montée d'une majorité non-blanche pourrait ne pas être saluée avec
une telle sérénité.

 

Aucun pays, société, peuple ou nation ne peut être à la fois nordique et multiracial. Il peut être l'un ou l'autre, mais pas les deux. Le mouvement vers l'un est un mouvement s'éloignant de l'autre. L'Amérique nordique devient l'Amérique du passé. Si la tendance démographique actuelle continue, l'Amérique du futur ne sera pas une Amérique nordique. L'Amérique aura un avenir non-nordique si les partisans dominants du multiracialisme réussissent à réaliser leur rêve. Les perspectives d'avenir pour les pays nordiques d'Europe du Nord-Ouest, Canada et Australie sont essentiellement les mêmes. Si les tendances actuelles se maintiennent, eux aussi auront un avenir non-nordique, et leurs peuples nordiques, comme les Américains nordiques, appartiendront bientôt tous au passé.

Chaque espèce ou race requiert un habitat avec les conditions nécessaires pour permettre sa vie. Une terre ou un habitat qui manque des conditions requises pour permettre la vie, où la vie ne peut que diminuer, s'amoindrir et se faner jusqu'à l'extinction et la mort, est une terre désolée. La race nordique a besoin d'un habitat monoracial, lui fournissant les conditions d'isolation reproductive essentielles pour permettre sa vie. Pour la race nordique, une société multiraciale est une terre désolée, un environnement où la race nordique ne peut pas continuer à vivre, où sa vie ne peut pas être assurée, où sa liberté, son indépendance et le contrôle de sa propre vie et de son propre avenir sont niés, et où, en fin de compte, elle perdra son existence même. A nouveau, une société ou un pays ne peut pas être à la fois nordique et multiracial, ne peut pas avoir à la fois un avenir nordique et un avenir multiracial., seulement l'un ou l'autre. Il n'y a pas d'avenir pour la race nordique dans une société multiraciale. Il n'y a pas d'avenir pour les peuples nordiques dans un foyer national ou habitat quelconque, qu'il soit en Amérique, en Australie, en Grande-Bretagne, en Scandinavie, aux Pays-Bas, en Allemagne ou ailleurs, s'il est multiracialisé en une terre désolée incapable d'assurer la vie nordique.

Pourtant la multiracialisation est en train de se produire. Les habitats nordiques sont systématiquement détruits par leur transformation en terres désolées multiraciales qui ne sont plus capables d'assurer la vie nordique. Et cela est fait en toute connaissance, volontairement, délibérément et intentionnellement par les partisans dominants du nihilisme racial, qui ont effectivement condamné la race nordique à la mort par multiracialisation. L'opposition ou
le désaccord avec cette sentence de mort raciale, ou la défense du droit à la vie de la race nordique, à la liberté et à l'indépendance, sont condamnés comme immoraux et indignes de considération par les éléments nihilistes raciaux culturellement et politiquement dominants. Ils célèbrent la multiracialisation des anciens foyers nationaux nordiques et se réjouissent du processus en cours, de dépossession, de remplacement et d'extinction nordique. (11)

La multiracialisation des pays nordiques est si largement soutenue et promue par les éléments dominants dans les principaux partis politiques, les médias de communication et de divertissement, l'establishment éducatif et les diverses confessions religieuses, qu'elle se déroule sans opposition, débat ou discussion significative, concernant les conséquences.
En effet, ce soutien est souvent d'une intensité si passionnée qu'il va jusqu'à refuser toute discussion objective et à être dogmatiquement intolérant à toute opinion dissidente. La source de cette intensité peut, dans une large mesure, être attribuée à l'influence des idéologies dites « de gauche », qui ont depuis longtemps promu une version nihiliste de l'égalité qui éliminerait toutes les différences ou distinctions humaines. Au 19ème siècle, la « gauche » identifia l'aristocratie et les « capitalistes bourgeois » comme les « ennemis de classe », les « exploiteurs » ou les « oppresseurs » devant être renversés et détruits par la révolution. Au 20ème siècle, elle désigna de plus en plus la race nordique comme étant l'ennemi, comme une élite oppressive et une élite du mal racial devant être abattue par tous les moyens. En accord avec cette vision, la « gauche » est devenue distinctement et particulièrement anti-nordique dans un sens qui excède les valeurs anti-raciales générales du nihilisme racial, et ce préjugé l'a entraînée à désigner et à vouer la race nordique à la marginalisation, la dévaluation, la dépossession et l'extinction. A la fin des années 1960, cette identification et ce préjugé étaient devenus explicites, comme cela est illustré par le récit suivant concernant la faction militante « Weatherman » des Etudiants pour une Société Démocratique :

« Je me rappelle être allé à la dernière convention du Weatherman, et m'être assis dans une pièce où la question débattue était « Est-ce ou non un devoir pour tout bon révolutionnaire, de tuer tous les bébés blancs nouveaux-nés ». A ce moment cela semblait être une formulation appropriée d'un problème, une question logique. « Hé, regardez, bien que ce ne soit pas leur faute, ces enfants blancs vont grandir et faire partie d'un establishment racial international oppressif, et donc votre devoir est réellement de tuer les bébés blancs nouveaux-nés ». Je me rappelle qu'un type suggéra presque en s'excusant que cela lui semblait être en contradiction avec les grands buts humanitaires du mouvement, et qu'il s'était presque fait huer. » (12)

Comme ce récit l'indique, à la fin des années 1960 divers éléments radicaux désiraient explicitement la non-existence, la destruction ou l'extinction de la race nordique, et étaient même prêts à envisager des moyens violents pour réaliser ce but génocidaire. Heureusement, jusqu'ici il n'y a pas eu de tentative réelle de détruire la race nordique en tuant ses bébés nouveaux-nés. Au lieu de cela, la race nordique est détruite par d'autres moyens, dont le principal est la multiracialisation de ses foyers nationaux, ce qui viole son droit à l'existence en la privant des conditions d'isolation reproductive dont elle a besoin pour continuer son existence. Par ce moyen, l'existence future et pas si éloignée de la race nordique, et des bébés nordiques, est niée à l'avance. En fait, bien que la position idéologique des éléments actuellement dominants ne soit pas aussi explicitement anti-nordique que celle des Weathermen radicaux, ses buts à long terme et les effets à long terme de sa politique sont essentiellement les mêmes : le remplacement, la dépossession et l'extinction effective de la race nordique dans la totalité de ses foyers nationaux.

Concernant la race nordique, les éléments politiques et culturels dominants sont en complet accord. Ils sont unis dans leur opposition à sa préservation et à son indépendance et dans la négation de ses droits et intérêts vitaux, incluant son droit à exister, comme cela est démontré par leur opposition aux conditions d'isolation reproductive et de séparation dont elle a besoin pour continuer son existence. Si on suppose que les éléments dominants sont conscients que plusieurs races partageant le même territoire finissent par se mélanger, et qu'ils sont aussi conscients des conséquences destructrices d'un tel mélange pour la race nordique, alors la multiracialisation des pays nordiques conduite sous leur direction indique qu'ils sont, en fait, anti-nordiques au sens le plus profond ­ infligeant à la race nordique, délibérément, en toute connaissance, et avec insistance, des conditions de vie qui causent sa destruction. Selon la définition du Traité sur le Génocide des Nations Unies, leur politique peut et doit être considérée comme un génocide. (13)

La passivité générale et l'absence d'opposition parmi la population nordique concernant le multiracialisme et ses conséquences destructrices peuvent être attribuées à diverses causes. Certainement le désir humain habituel de se conformer au système de valeurs dominant ou à l'idéologie dominante ­ qui est actuellement le nihilisme racial ­ joue un rôle important. C'est aussi le cas pour l'ignorance, le manque de connaissance ou de conscience de ce qui est en cours, de ses effets ou conséquences à long terme, et le manque d'alternatives. Une grande part de cette ignorance est certainement volontaire, car beaucoup de gens ne veulent pas savoir ce qui se passe, ni les conséquences. Ainsi, beaucoup s'impliquent dans la négation lorsqu'ils sont informés des faits, ou tentent d'éviter la question. Beaucoup d'autres sont intellectuellement et émotionnellement acquis à la cause du multiracialisme et du mélange, certains au point de désirer réellement ses effets destructeurs sur leur propre race. Une autre cause importante est un simple manque d'attention, un oubli apparent par beaucoup de gens des questions et des intérêts raciaux qui condamnent effectivement leur race à l'oubli (une attitude similaire concernant l'environnement naturel a longtemps permis sa profanation et sa destruction et a empêché sa préservation et sa conservation).

L'ignorance, la négation, et le manque de conscience, d'attention et de soin pour cette question peuvent être partiellement attribués au fait que le processus de remplacement et de destruction raciale par le multiracialisme est progressif, se déroulant durant toute une période de générations, et qu'il échappe ainsi à l'attention de ceux dont la perspective est limitée à des préoccupations à court terme ou plus immédiates. Mais plus important est le fait que c'est un sujet largement ignoré, évité, réprimé ou nié par les éléments politiques, culturels et médiatiques dominants, ou présenté comme une question moralement indigne d'attention ou de préoccupation. Il y a eu depuis longtemps un air d'irréalité dans la manière dont les éléments dominants ont éludé les conséquences du multiracialisme, dissimulant la vérité destructrice derrière des mantras répétés de fictions, de déformations, de négations et de platitudes trompeuses. (14)

Il y a aussi un état prévalant de désorientation parmi les peuples nordiques concernant leur identité et leurs intérêts raciaux. La race nordique a souffert d'une profonde aliénation de l'affection de ses membres, dont beaucoup ont été séparés de leur affiliation et de leur allégeance naturelles, de leur loyauté et de leur amour naturels, par les influences anti-nordiques dominantes dans la culture et les institutions éducatives, qui dépeignent souvent la race nordique comme collectivement mauvaise et coupable de mauvaises actions contre d'autres races, et donc indigne d'exister. Sous ces influences anti-nordiques, une grande partie de la population nordique a été tournée contre sa race, contre ses droits et intérêts légitimes, contre les conditions dont elle a besoin pour continuer son existence, et contre sa préservation et la continuation de sa vie. Le dysfonctionnement racial résultant affaiblit grandement la capacité des peuples nordiques à affirmer la valeur et l'importance de leur existence et à affirmer leurs droits et intérêts vitaux.

Mais peut-être le facteur le plus important de l'indifférence et de la passivité apparentes de la race nordique face à sa dépossession et sa destruction en cours est-il le désespoir, le sentiment que rien ne peut être fait, que le processus de destruction raciale est inévitable et que la résistance est futile, et qu'il n'y a pas d'alternative acceptable à l'actuelle tendance nihiliste raciale. Ce sentiment de désespoir est renforcé par les éléments nihilistes raciaux dominants, qui décrivent les tendances actuelles causant la destruction de la race nordique comme inévitables et qui prétendent qu'il n'y a pas d'alternative ­ pas d'autre choix ­ moralement acceptable ou, en d'autres mots, que les seules alternatives sont celles qui sont offertes par les formes immorales du racisme.

Cette absence d'alternatives et de choix est en partie un héritage de la logique réductionniste et extrémiste, qui nie la possibilité d'une autre voie entre les deux extrêmes destructeurs du nihilisme racial et du racisme immoral, identifiant tous les sentiments pro-raciaux avec ce dernier. C'est aussi un héritage du préjugé anti-nordique des éléments dominants, qui a implanté un double langage racial dans la culture, lequel a un préjugé hautement défavorable aux droits et intérêts nordiques les plus fondamentaux, considérant leur affirmation comme intrinsèquement mauvaise et violatrice des droits et intérêts des autres races. Le résultat est un vide intellectuel ou un vacuum parmi la population nordique au sujet de la race, exempt de toutes les pensées et sentiments qui affirment la vie raciale et la continuation de l'existence raciale. C'est un vide dans lequel l'amour racial et l'affection raciale n'ont pas le droit d'exister. C'est le vide du nihilisme racial.

L'apparent manque d'alternatives moralement acceptables donne de la crédibilité à l'affirmation par les éléments nihilistes raciaux dominants que le multiracialisme est inévitable. Dans la mesure où cette affirmation est acceptée, toute opposition au multiracialisme ou toute considération d'alternatives possibles est considérée comme futile, et toute discussion, débat et désaccord sérieux sont effectivement niés à l'avance et supprimés. L'affirmation de l'inévitabilité est une formule de propagande typique pour décourager et supprimer la résistance, transformant ainsi la pensée d'un souhait en une réalité auto-réalisée. Cela fut un instrument de propagande favori des promoteurs du communisme. C'est aussi le mythe favori de ceux qui promeuvent le rêve nihiliste racial du « Un Monde, un Peuple, une Race », qui doit être accompli par les effets racialement destructeurs du multiracialisme.
Mais le multiracialisme et ses conséquences destructrices ne sont pas plus inévitables que le communisme. Contrairement aux affirmations de ces idéologies, le futur n'est pas prédéterminé. (15)

Dans le livre de Charles Dickens, Un Noël de Carole, quand Ebenezer Scrooge voit les conséquences mortelles de sa direction et de sa vie actuelles, il demande au Fantôme du Futur : « Sont-ce les ombres des choses qui seront, ou ne sont-ce que les ombres des choses qui peuvent être ? Les vies des hommes annoncent certaines fins, auxquelles, s'ils persévèrent, elles peuvent conduire. Mais si les vies s'en écartent, les fins changeront Assure-moi qu'en changeant ma vie, je peux encore changer ces ombres que tu m'a montrées ! ». Il pensait qu'il existait des alternatives, et qu'il y avait encore de l'espoir pour un avenir différent s'il changeait de direction et modifiait le cours de sa vie.

Il en est ainsi pour la race nordique. Les fins annoncées par les tendances décrites dans ce travail, l'avenir indiqué par les projections démographiques, et les conséquences mortelles pour la race nordique si le cours actuel est poursuivi ou continué, ne sont pas ce qui doit être. Elles ne sont pas l'avenir inévitable, seulement ce qui sera si les actuels cours et direction sont poursuivis. Le cours actuel conduit à la destruction, à la perte de l'indépendance et à la mort raciale nordique. Si la direction est changée, modifiée ou abandonnée, un avenir différent, un avenir nordique de préservation, d'indépendance, de vie et d'existence continuée, est possible. Ce serait l'avenir de la Charte Raciale.

Si nous orientons notre vie dans la direction de la reconnaissance des droits raciaux, affirmant la valeur de l'existence raciale et l'importance de la diversité raciale humaine ­ pas seulement de certaines races mais de toutes ­ un « Nouvel Ordre Mondial » de coexistence raciale pacifique entre les différentes races de l'humanité, se partageant la Terre, respectant le droit de chacune à continuer son existence et à l'indépendance à l'intérieur des frontières sûres de ses propres foyers, serait réalisé. Ce serait une véritable solution au dilemme racial qui a troublé la race nordique presque depuis le début de son expansion au-delà de son foyer originel d'Europe du Nord.

Le dilemme racial n'est plus reconnu comme tel par les éléments nihilistes raciaux dominants, puisqu'ils ne reconnaissent plus l'existence et la vie raciales comme une chose devant être valorisée, préservée, et continuée, mais comme une chose devant être niée et éliminée dans la recherche de l'idéal universaliste d'un monde unifié et d'une humanité uniforme. Dans ce but, ils promeuvent le multiracialisme et ses conséquences génocidaires inévitables pour la race nordique, la réduisant au néant de l'extinction par le mélange et le remplacement raciaux. Mais contrairement à leurs croyances, la non-existence de la race nordique ne rendrait pas le monde meilleur, mais en ferait un endroit bien pire et bien plus pauvre. La disparition de la race nordique serait une tragédie de proportions cosmiques, amoindrissant et appauvrissant à jamais l'avenir de l'humanité. Heureusement, le changement est possible. Il existe une alternative aux solutions destructrices proposées à la fois par le nihilisme racial et par les formes immorales de racisme, une solution qui rendrait le monde sûr pour la diversité raciale humaine ­ la solution préservationniste de la Charte Raciale.

 

 

 

NOTES :

(1) Ou, comme Jefferson l'écrivit dans son autobiographie : « Rien n'est plus certainement écrit dans le livre du destin que ces gens [les Congoïdes] doivent être libres ; rien n'est moins certain que les deux races, également libres, ne peuvent pas vivre sous le même gouvernement ». Et dans ses Notes sur l'Etat de Virginie, « Lorsqu'il sera libéré, il [le Congoïde] devra être mis hors de portée du mélange ». Cité par Nathaniel Weyl et William Marina, American Statesmen on Slavery and the Negro (Arlington House, 1971), pp. 71 et 90. Pendant toute sa vie, les pensées de Jefferson furent centrées sur le « seul projet de préserver la pureté de la race anglo-américaine. Jefferson était obsédé, en particulier, par la crainte que sa précieuse nation anglo-saxonne soit corrompue par le mélange avec les Non-Blancs. La crainte du métissage était peut-être l'aspect le plus consistant de sa pensée, de sa jeunesse à sa vieillesse ». Michael Lind, The Next American Nation (The Free Press, 1995), p. 370.

(2) Dans tout le Nord, même les opposants les plus résolus à l'esclavage tendaient à penser, comme Jefferson, que les esclaves, dès leur émancipation, devraient quitter le pays. Typique était [l'opinion de] Harriet Beecher Stowe, l'auteur de La case de l'oncle Tom, qui voulait renvoyer les esclaves libérés en Afrique et donc ouvrir le Sud à une colonisation nordique accrue. James Monroe et John Tyler étaient parmi les présidents américains d'avant la guerre qui recommandaient des plans pour l'émancipation de la population congoïde américaine, associée à leur rapatriement en Afrique ou leur réinstallation dans quelque autre foyer national séparé. Le coût pour le dédommagement de leurs propriétaires et pour leur transport vers leur nouveau foyer national serait couvert par la vente des terres de l'Ouest possédées par le gouvernement. Un autre président, James Madison, devint président de l'American Colonization Society, qui fut constituée dans le but de transférer la population congoïde hors de la nation, et qui comptait parmi ses dirigeants (entre autres importants Américains) des célébrités comme Henry Clay, Andrew Jackson, Daniel Webster, Stephen A. Douglas, Francis Scott Key, Winfield Scott, John Marshall et Roger B. Taney. Dans sa publication, The African Repository, elle plaidait pour un consensus dans l'opinion américaine racialement responsable et prônait l'émancipation de tous les esclaves, couplée avec la déportation de la population congoïde en Afrique ou dans tout autre pays approprié. Ces efforts furent combattus par l'oligarchie des planteurs propriétaires d'esclaves du Sud, dont les porte-paroles les plus notoires étaient John C. Calhoun et Jefferson Davis.
Abraham Lincoln, avocat comme Jefferson de la liberté tout comme de la séparation géographique pour la population congoïde américaine, reconnaissait que les conditions monoraciales d'isolation reproductive étaient requises si on voulait empêcher le mélange, déclarant : « Une séparation des races est la seule prévention parfaite de l'amalgame L'entreprise [la réinstallation de la population congoïde américaine dans un pays séparé] est difficile, mais là où il y a une volonté il y a une route Soyons portés à penser qu'elle est moralement juste et nous trouverons un moyen de la réaliser, quelle que puisse être la grandeur de la tâche » (discours du 26 juin 1857). Frederick Douglass, le plus important leader afro-américain de l'époque de Lincoln, qui le rencontra en plusieurs occasions, dit que Lincoln « était avant tout le président de l'homme blanc, entièrement dévoué au bien-être de l'homme blanc » (cité dans Weyl et Marina, p. 169). Le 14 août 1862, Lincoln s'adressa à une délégation de leaders congoïdes à la Maison Blanche et leur parla de son plan pour réinstaller la population afro-américaine en dehors du territoire des Etats-Unis, spécifiant l'Amérique Centrale. En cela il reflétait les sentiments de la grande majorité des Américains nordiques. Quand ce plan échoua après le refus des pays d'Amérique Centrale d'accepter la population afro-américaine, Lincoln proposa au début de 1863 un plan « pour déplacer toute la race de couleur au Texas, pour établir ici une république à eux » (Weyl et Marina, pp. 211-229). Cette proposition est clairement incohérente avec le premier but de guerre de Lincoln de préserver l'Union, si l'Union est définie en termes territoriaux, mais si l'Union que Lincoln et le Nord tentaient de préserver est définie en termes raciaux, en tant qu'Union du peuple américain-nordique, elle est parfaitement cohérente.

(3) Lind, The Next American Nation, p. 228. « La conception basique du peuple américain comme branche de la tribu anglo-saxonne, dont les membres restaient ceux d'une seule race était la conception de l'identité américaine partagée par la plupart des Pères Fondateurs et par des générations de leaders américains ultérieurs L'idée que les Etats-Unis sont ou doivent être 'une nation d'immigrants', pas seulement non-germanique mais aussi non-blanche, aurait paru bizarre à la plupart des Américains avant la Seconde Guerre Mondiale » (Ibid., p. 19). L'Anglo-Amérique définissait sa « communauté nationale comme étant la race anglo-saxonne Pour être un Américain dans l'Anglo-Amérique il fallait être un Anglo-Saxon (ou Teuton) par la race L'adhésion à des principes politiques était moins importante que l'appartenance à une race particulière Quand les auteurs de la Constitution fédérale et leurs successeurs dans la première moitié du 19ème siècle parlaient du peuple américain, ils pensaient aux Américains Blancs d'ascendance anglaise, ou aux immigrants des Iles Britanniques et des pays germaniques qui s'étaient adaptés à la norme anglo-américaine ». Ibid. p. 27.

(4) « Pendant les deux dernières décennies, l'Amérique a produit la plus grande variété de familles hybrides dans l'histoire du monde Les masses ordonnées ont déjà fait place aux masses désordonnées Sur une période d'environ deux décennies, le nombre des mariages interraciaux aux Etats-Unis est passé de 310.000 à plus de 1,1 million La fréquence des naissances de bébés métissés a été multipliée 26 fois plus vite que pour tout autre groupe » (Jill Smolowe, « Intermarried with Children », Time, numéro spécial sur la « Diversité américaine », fin 1993, p. 64). Quand la presse populaire ou le Bureau de Recensement Américain parlent de mélange interracial, ils se réfèrent habituellement au mélange entre sous-espèces différentes.

(5) La transformation raciale du Canada depuis 1967, comme pour la plupart des autres pays nordiques, a été rapide et profonde. Le sujet, habituellement évité comme trop sensible pour être discuté publiquement, a été abordé quelque peu indirectement à la fin de 1993 par Jean Chrétien, le Premier Ministre nouvellement élu du Canada, lorsque le journaliste David Brinkley lui demanda s'il était d'accord avec les prédictions selon lesquelles Vancouver serait une « cité orientale [asiatique] dans environ dix ans ou moins ». Il répondit :


« Oh, apparemment Vancouver se développera très vite Et bien sûr, il y a beaucoup de gens venant d'Asie qui deviennent des immigrants canadiens et qui veulent s'installer à Vancouver. J'étais dans une école cette semaine et probablement la moitié des étudiants à qui je parlais était d'apparence asiatique, mais étaient, bien sûr, de bons citoyens canadiens. Vous savez, le mélange de population change très rapidement au Canada. Le composant français et anglais se réduit très rapidement par rapport à tous les nouveaux venus Je fais bon accueil à cela, cela donne au Canada une saveur qui est joliment bonne. » (This Week with David Brinkley, # 630, ABC telecast, 21 novembre 1993)


Au début des années 1990, 250.000 immigrants entraient légalement au Canada chaque année, dont 48% (120.000) venaient de l'Est Asiatique, 16% d'Afrique et du Moyen-Orient, et 15% d'Amérique Latine. The Miami Herald (11 mars 1994), p. 16A. Par rapport à sa population de 26,8 millions (1992), ce niveau d'immigration est à peu près le double de celui des Etats-Unis.

(6) « La guerre, la pauvreté et l'oppression poussent les gens vers l'Europe de l'Ouest en nombre sans précédent. La région reçoit plus de deux millions d'immigrants par an, presque le triple de l'afflux vers les Etats-Unis ». « L'Europe fait face à une vague d'immigration », National Geographic, vol. 183, N° 5 (mai 1993), p. 102.
« Quand les meilleures familles de l'hémisphère Nord décident qu'il est suffisant d'avoir seulement un ou deux enfants, ils ne se rendent peut-être pas compte qu'ils libèrent à courte échéance l'espace futur pour des groupes ethniques en croissance plus rapide, à l'intérieur tout comme à l'extérieur de leurs frontières nationales. Mais c'est en fait ce qu'ils sont en train de faire ». Paul Kennedy, Preparing for the Twenty-First Century (Random House, 1993), p. 45. L'explosion démographique a lieu en Afrique, en Amérique Latine et en Asie. « En 1950, la population de l'Afrique était la moitié de celle de l'Europe, en 1985 elle a atteint un niveau égal (environ 480 millions), et en 2025 on prévoit qu'elle sera le triple de celle de l'Europe (1,58 milliard contre 512 millions). Ibid., p. 24. (la projection de population pour l'Afrique prévoit 40 millions de morts par le SIDA). De même, peut-être 50 millions de ces 512 millions d'habitants de l'Europe prévus en 2025 seront eux-mêmes d'ascendance africaine. Entre 1960 et 1993, la population africaine est passée de 281 millions à 650 millions.
En 1960, la femme kenyane moyenne avait 6,2 enfants, en 1980 ­ 8,2. Ibid., p. 218. En 1960, la population d'Amérique Latine était de 210 millions, en 2025 on prévoit qu'elle atteindra 762 millions, dont 150 millions au Mexique. Ibid., p. 219. En 1985-1990 le taux de natalité de la Chine était de 2,4 ­ celui de l'Inde de 4,3. On prévoit que la Chine et l'Inde auront chacune une population de 1,5 milliard en 2025. Ibid., p. 169. Depuis le début des années 70, le taux de natalité nordique a été d'environ 1,8 enfant par femme. Le niveau de remplacement est de 2,1. Kennedy discute des peurs et anxiétés raciales causées par le déclin démographique relatif, telles que la peur d'être submergé par l'immigration à grande échelle, la peur que sa propre race soit altérée par le mélange, et l'anxiété basée sur la croyance que son propre groupe racial est spécial et doit être préservé. Ibid., pp. 39-41. Ce qu'il omet de mentionner est que ces peurs et anxiétés sont justifiées seulement dans les sociétés multiraciales, où l'existence raciale n'est pas protégée par la séparation, et que ces questions et inquiétudes sont rendues caduques par la séparation. De même, il est normal de considérer ce qu'on aime, ce qu'on valorise ou ce dont on prend soin ­ y compris sa propre race ­ comme « spécial », et de désirer sa préservation et d'être effrayé ou anxieux si sa préservation est menacée. Il demande : « les sociétés relativement riches d'Europe peuvent-elles s'isoler des pressions démographiques surgissant partout ? » Ibid., p. 255. Il pourrait poser la même question pour les populations nordiques des Etats-Unis, du Canada et d'Australie. La réponse est qu'ils ne peuvent peut-être pas s'isoler des effets destructeurs de l'explosion démographique sur la planète, mais qu'ils peuvent s'isoler des effets destructeurs de l'immigration et du mélange racial s'ils choisissent d'affirmer leurs droits à l'isolation reproductive, à l'indépendance et à la préservation raciale.

(7) Une grande partie du comportement, des valeurs et attitudes hostiles qui ont été décrits par le terme « racisme » sont le résultat naturel de la compétition ou de la lutte entre des formes de vie ou races différentes pour la suprématie ou la prédominance ­ ou la possession ­ du même territoire ou habitat. Cette compétition ou lutte raciale est en définitive une question de survie ou de continuation de la vie. Par définition, c'est un combat multiracial qui requiert la présence de plus d'une race sur le même territoire, et peut survenir seulement dans des pays ayant des populations multiraciales. Dans un pays monoracial, cette compétition ­ et le comportement, valeurs et attitudes hostiles de « racisme » qui lui sont associés ­ n'a pas de raison d'exister. Les Etats-Unis ont fait l'expérience d'une telle compétition ­ à divers stades, sous diverses formes et niveaux de complexité et d'intensité ­ depuis le début de leur histoire multiraciale. Les autres pays nordiques ont seulement commencé à en faire l'expérience dans les dernières décennies lorsqu'ils sont eux aussi devenus des sociétés multiraciales.

(8) D'après une interview dans le magazine hollandais Vast & Zeker, citée dans le journal hollandais Algemeen Dagblad, 11 décembre 1989, p.1, dans un article intitulé « Ritzen : Blanke ras verdwijnt » [« Ritzen : la race blanche disparaît »]. L'article déclare : « Le ministre Ritzen (Education et Sciences) s'attend à ce que la race blanche disparaisse finalement. Il est aussi pessimiste concernant la survie de la culture nordique et du peuple hollandais. Il estime qu'à cause du taux de natalité des étrangers, les Hollandais disparaîtront finalement. »
Robert Schouten, correspondant du journal hollandais Haagsche Courant, fait écho à la prédiction de Ritzen dans sa chronique « Vu de La Haye », dans NATO's Sixteen Nations, Vol. 36, N° 8 / 91 (août 1991), p. 6, où il écrit : « Le million d'habitants de la capitale Amsterdam inclut maintenant 23% de gens d'origine non-hollandaise. En l'an 2050, ces derniers formeront 50%. Les cheveux blonds et les yeux bleus sont en voie de disparition ».
L'immigration non-nordique massive qui a commencé dans les années 60, et le mélange racial résultant, sont les causes immédiates de cette extinction nordique. Un article de couverture de Elsevier (5 février 1994, pp. 24-29), la version hollandaise du magazine Time, déclare que 13% des mariages aux Pays-Bas en 1992 étaient « mixtes ». La couverture du numéro représente le visage hypothétique d'une femme racialement mélangée (produit par un logiciel d'ordinateur appelé « morphing ») avec la légende « La nouvelle Hollandaise » (« De Nieuw Kaaskop » - littéralement, « la nouvelle tête de fromage », un nom argotique des Hollandais. Elsevier_kaaskop1.JPEG).

La légende continue en disant que « La couleur d'une nation est en train de changer. Il y a de plus en plus de Hollandais de 'sang mêlé' nés d'une relation mixte ». L'enthousiasme pour cette évolution fatale pour la population nordique indigène est manifeste dans le texte de la présentation de l'article : « Hollandais de 'sang mêlé' : de beaux spécimens de la race humaine. Bientôt ils seront bien plus nombreux. Notre nation change de couleur lentement mais sûrement ». Le fait que cette évolution s'étende au-delà des Pays-Bas est bien connu des lecteurs hollandais, et l'article regarde cette tendance positivement, déclarant :
« Le résultat de toutes les relations interethniques est le Nouvel Hollandais. Mais aussi le Nouvel Anglais et le Nouvel Américain. Dans tout le monde occidental, cette nouvelle race mélangée fait de grands progrès ». Malheureusement, ces progrès sont faits aux dépens de la continuation de l'existence des peuples nordiques indigènes du monde occidental.

(9) Au début des années 90, les mères d'immigrants non-nordiques comptaient pour plus de 10% des enfants nés en Allemagne et en Suède. De plus, à cause de la perte d'isolation reproductive causée par les conditions multiraciales, une proportion significative des enfants nés de mères allemandes et suédoises natives sont de parents de race mêlée et non-nordiques dans leur identité raciale, mais sont comptés comme naissances allemandes ou suédoises natives dans les statistiques gouvernementales. De même, beaucoup d'enfants non-nordiques sont importés dans les pays nordiques par l'adoption par des parents nordiques, et ne sont pas comptés comme immigrants, mais comme faisant partie de la population native. De même, beaucoup de femmes non-nordiques sont importées dans les pays nordiques en tant que fiancées pour les hommes nordiques, et ne sont pas comptées comme faisant partie de la population immigrante (par ex., lors d'une année typique ­ 1991 ­ quelque 2.200 hommes allemands ont épousé des femmes philippines ou thaïes). Se référant à la combinaison du faible taux de natalité allemand et de l'afflux croissant d'immigrants étrangers en Allemagne, l'économiste Bernd Hof a déclaré : « Les Allemands ont décidé de disparaître ». Carla Rapoport, « Eux », Fortune International, 13 juillet 1992, p. 22. Le plus important groupe d'immigrants en Allemagne est celui des Turcs. En 1991, 3.580 femmes allemandes ont épousé des immigrés turcs.
Quand l'auteur était en Scandinavie en 1989, il fut frappé par la présence d'un grand nombre d'enfants non-nordiques, soit adoptés, soit enfants d'immigrants non-nordiques, soit enfants de couples mixtes. A la mairie de Stockholm il assista au mariage d'une femme suédoise et d'un immigrant congoïde, faisant peut-être partie d'une tentative auto-destructrice d'assimiler un élément étranger génétiquement si incompatible qu'il est effectivement inassimilable. Même parmi un groupe de danse folklorique d'enfants à Fälun en Suède, l'un des enfants était un adopté du Bengladesh. Dans leurs propres foyers raciaux, à leur propre place dans la nature, ces enfants font partie de la continuation de la vie, mais dans le foyer et dans la société d'une autre race, où chacun d'entre eux annulerait effectivement les traits génétiques récessifs de nombreux enfants indigènes, ils sont des agents de destruction de la vie ­ dans les faits, une forme « douce » de génocide ­ plutôt que de son renouvellement et de sa continuation.
Rien n'est peut-être plus sacré dans la culture populaire suédoise et symbolique de l'identité nationale suédoise que le Jour du Solstice d'Eté célébré le 23 juin. La plus grande et la plus importante célébration se tient à Skansen, un grand parc dédié à la tradition populaire suédoise, situé sur les hauteurs dominant le port de Skansen. Une ancienne coutume de ce festival est le port de couronnes de fleurs d'été par les jeunes filles et les jeunes femmes, un symbole de fertilité, de bonne santé et de renouveau de la vie, remontant aux origines pré-chrétiennes [midsummer.jpg]. L'auteur assista à ce festival en 1995 et fut charmé par toute l'ambiance des coutumes, de la musique et des danses populaires, toutes adaptées au but originel de promotion et de continuation de l'identité raciale, mais fut troublé par le nombre disproportionné d'enfants de race mélangée qui étaient présents, dont les parents semblaient déterminés à les pousser au centre du festival et donc au centre de l'identité raciale suédoise. En 1999, Skansen illustra son compte-rendu du festival avec la photo d'une fille de race mêlée [skansen99.JPG], symbolisant le triomphe du nihilisme racial sur le préservationnisme racial ­ et du processus en cours qui cause la destruction du peuple suédois indigène par mélange et remplacement ­, au cur même de l'identité nationale suédoise.

Probablement, ceux qui choisirent cette fille pour l'illustration considéraient qu'elle représentait le nouvel avenir de la Suède, ou du moins l'avenir qu'ils désirent et qu'ils veulent promouvoir. Des exemples additionnels de ce processus de sélection anti-suédois racialement négateur et destructeur peuvent être vus dans le choix de femmes racialement non-Suédoises pour Miss Suède 1998 (MissSweden98.jpg), Miss Stockholm 1999 (MissStockholm99.jpg) et pour la présentatrice météo à la TV (s_cooard.jpg).

On peut se demander quelles sont les filles et les femmes suédoises qu'elles ont remplacées, et quel est l'avenir qu'elles sont en train de remplacer. C'est ce qui doit être compris, et c'est pour cela que je donne des exemples de 1962 (NatGeo-63.JPG) et de 1999 (MissSweden99.jpg). C'est ce qui va être perdu, à moins que l'état approprié et naturel de l'existence raciale suédoise ne soit restauré.

(10) Quand l'auteur était à Edimbourg en Ecosse durant le festival de 1986, il assista à une exposition à la Galerie Nationale Ecossaise, intitulée « L'entreprenant Ecossais ». L'un des documentaires était un film définissant les Ecossais, qui commençait avec le mot « nation » et montrait ensuite successivement un Indien d'Asie, un Congoïde, un Asiatique et un Européen du Nord. L'auteur s'attendait naïvement à ce que ces différents types décrivent des exemples de nations différentes, le dernier étant un exemple de la nation écossaise, mais ensuite ils furent tous décrits comme étant « tous Ecossais » dans une tentative assez évidente de nier l'identité raciale de la nation écossaise et de promouvoir le multiracialisme en accord avec les valeurs et les buts du nihilisme racial.

(11) Comme le décrivit un apologiste enthousiaste de la multiracialisation, « quelque chose est en train de se passer : nous sommes en train de devenir la première nation universelle de l'histoire si vous pensez, comme l'auteur, que la pièce américaine est jouée avec un but, alors la non-européanisation de l'Amérique est une nouvelle encourageante d'une qualité presque transcendantale ». Ben J. Wattenberg, The Good News is the Bad News is Wrong (Simon et Schuster, 1984), p. 84. En réalité, ce sont de « mauvaises nouvelles » pour ceux qui favorisent la préservation et l'indépendance nordiques, ou pour ceux qui croient que l'existence de la race nordique a aussi une raison d'être. Ce sont des « nouvelles encourageantes » (ou « bonnes nouvelles ») seulement pour ceux qui croient que le but de l'Amérique est d'accomplir le rêve nihiliste racial d'une société « universelle » (multiraciale) dans laquelle l'Amérique Nordique, en réalité la race nordique et son existence, sont « transcendées », ou dépassées, remplacées ou reléguées dans le passé ­ en fait, détruites ­ par une forme soi-disant « supérieure » d'existence multiraciale (non-nordique).

(12) Doug McAdam, dans « Picking Up the Pieces », 5ème partie de la série TV de PBS, Making Sense of the Sixties, diffusée le 23 janvier 1991. On peut supposer que le terme « Blanc » tel qu'il est utilisé dans le débat ci-dessus était pris au sens étroit pour s'appliquer plus ou moins exclusivement à la race nordique. Beaucoup des participants à cette convention, comme Mr. McAdam, étaient eux-mêmes nordiques. La plupart des autres appartenait à des groupes raciaux non-nordiques qui sont habituellement définis comme « blancs », et qui sont définis ainsi par le Bureau de Recensement, mais qui presque certainement ne se définissent pas eux-mêmes ou leur groupes raciaux, comme « blancs » dans le contexte de ce débat. Il faut noter qu'à l'époque de ce débat, le taux de natalité nordique chutait rapidement et qu'en quelques années (c'est-à-dire au milieu des années 70) il tomba au-dessous du niveau de remplacement, où il est resté depuis lors. Dans la mesure où de nombreux membres de la race nordique ont été conduits à rejeter ou à restreindre leur reproduction à cause des influences idéologiques ou culturelles, les deux événements peuvent être considérés comme liés (si la présente tendance continue ­ ou, comme dirait le présentateur météo, si les vents continuent à souffler dans la même direction ­ très peu de bébés nordiques seront nés dans un siècle, rendant le débat précité quelque peu académique sur le long terme).

(13) Selon la Convention des Nations Unies sur la Prévention ou la Punition du Crime de Génocide, « génocide signifie tout acte commis avec l'intention de détruire, en totalité ou en partie, un groupe national, ethnique, racial ou religieux (c) Infliger délibérément à un groupe des conditions de vie calculées pour causer sa destruction physique en totalité ou en partie. »

(14) L'ambiance d'irréalité est particulièrement prononcée sur le sujet du mélange racial et de ses effets destructeurs sur la race nordique. Ce devrait être un axiome fondamental de la sociologie que des races différentes se mélangent dans des conditions de contact intensif, et que le mélange est par conséquent inévitable dans une société multiraciale, bien que la réalité du mélange et de ses effets soit encore largement ignorée, esquivée ou niée. Même un avocat zélé du multiracialisme comme Ben J. Wattenberg ­ dont la « nation universelle » (voir note 10 ci-dessus) n'est qu'un autre nom de la société multiraciale, et que Israël Zangwill appela avant lui le « Melting Pot » ­ fait l'impasse sur les effets destructeurs, en fait génocidaires, du multiracialisme sur la race nordique.
De même, un numéro spécial du magazine Time sur le sujet de la « Diversité américaine » (fin 1993), qui proclame « la promesse de l'avenir : une Amérique qui est la première vraie nation internationale » (une contradiction dans les termes), discute du mélange mais pas de ses conséquences destructrices. Sur sa couverture, on voit le visage hypothétique d'une femme de race mélangée (réalisé non par la génétique, mais par un logiciel d'ordinateur appelé « morphing ») avec la légende « le nouveau visage de l'Amérique » [Time_Fall_1993.JPG].

Jamais n'est mentionné le sort de la race nordique en Amérique ­ l'extinction par le mélange ­ que ce « nouveau visage » implique, ni la riche variété de visages distinctement nordiques qui seront perdus à cause du mélange et remplacés par le visage racial mélangé (le message et le style de cette édition spéciale, modifiés pour s'adapter à la situation et au public hollandais, furent essentiellement répétés dans l'article de couverture du numéro du 5 février 1994 de Elsevier, la version hollandaise de Time, discutée dans la note 8 ci-dessus).

(15) Il est vrai que certaines actions ont des conséquences inévitables. C'est une question de cause et d'effet. Par exemple, prendre une dose de poison suffisante cause inévitablement la mort. Dans le même sens, on peut affirmer à juste titre que la mort raciale nordique est une conséquence inévitable d'un degré suffisant de mélange racial, qui est lui-même une conséquence inévitable des conditions sociales multiraciales, créant une chaîne de causes et d'effets où l'extinction nordique est l'effet ultime et les conditions multiraciales la cause première. Ce qui n'est pas inévitable, en dépit des affirmations des idéologies déterministes, ce sont les actions qui causent les conséquences.

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