La question du mélange racial et de l'« impureté »
Correspondance et commentaires au sujet des affirmations que les peuples nordiques sont racialement mélangés et « impurs »



Sujet : types sud-africains
Date : lundi 18 oct. 1999 03:56:05
De : « A. P. » en Afrique du Sud
Je voudrais demander à propos de l'affirmation par un généticien de Capetown (je ne me rappelle pas le nom) que génétiquement les Sud-Africains blancs sont africains à 7% (c'est-à-dire capoïdes et congoïdes). Je pense que c'est principalement de la propagande et que l'hérédité africaine chez les Blancs sud-africains, et particulièrement afrikaners, serait négligeable, si l'on considère les conditions historiques et sociales de ce pays.
Salutations, A.P.

Sujet : Re : types sud-africains
Date : mardi 19 oct. 1999 19:16:39 SAST
De : « G. P. » en Afrique du Sud
En discutant de la composition raciale blanche sud-africaine, je m'intéresse au point mentionné par A.P. concernant le mélange avec les Congoïdes et les Capoïdes. Comme je ne suis pas un expert généticien, il est difficile pour moi de discuter de génétique. Ce que je puis dire est qu'une influence de 7% est nettement un chiffre extrême. Par exemple, les historiens affirment une hérédité de 7% de huguenots français. Ils eurent une profonde influence sur la culture de la vigne, et d'autres aspects culturels du Cap. Affirmer la même proportion de contribution de couleur sonne un peu absurde. J'ai, par exemple, des archives généalogiques de ma famille remontant aux années 1580. Un autre point à mentionner est qu'il y a eu de nombreuses tentatives de généalogistes sud-africains comme Cor Pama pour établir l'hérédité afrikaner. Faire de « nouvelles » affirmations me semble être de la propagande anti-apartheid, qui n'a pas cessé depuis les années 80.
Salutations, G.P.

Sujet : types S.A.
Date : mardi 19 oct. 1999 10:27:41
De : « A. P. » en Afrique du Sud
J'ai une théorie concernant ces 7%. J'ai lu dans une interview avec une femme afrikaner mariée à un homme zoulou que leur fille à peau claire était classée comme blanche, alors que leur fils à peau plus sombre était classé comme coloré. Bien sûr, c'est une stupidité, parce que tous deux sont des mulâtres, quelle que soit leur couleur de peau. Mais si dans le passé récent les mulâtres clairs en AS étaient classés comme blancs, alors ces 7% ne sont pas surprenants après tout.
Salutations, A.P.



Réponse de Richard McCulloch


Concernant l'affirmation mentionnée par « A.P. » que les Sud-Africains blancs sont congoïdes ou capoïdes à 7%, j'inclus ci-dessous un extrait assez long de mon livre Destiny of Angels (1986) qui discute de ce même sujet dans le contexte américain (amusant comme les mêmes tactiques multiracialistes réapparaissent dans des pays différents).


L'effort croissant pour décourager la résistance au mélange racial en affirmant que la race nordique est déjà totalement mélangée au-delà de tout espoir de retour ­ dénigrant ainsi également l'intégrité et l'identité raciales nordiques ­ a tendance à devenir plus audacieux, et plus imprudent et irresponsable dans ses affirmations, puisque ses fausses assertions antérieures n'ont pas été contestées dans l'environnement intellectuel multiracialiste dominant.


Un exemple de la portée du processus ­ au point où presque « tout marche » et où toute exagération est acceptée, à condition que cela soit en accord avec les intentions et les intérêts du multiracialisme ­ apparut dans un article du magazine People Weekly (6 déc. 1982, p. 156) sur une femme de Louisiane dont l'hérédité était à un seizième (6,25%) « noire » mais qui se considérait comme « blanche » et qui avait été élevée dans la communauté blanche, et acceptée par elle. Sa mère et la sur de sa mère, toutes deux des « octorons » (un huitième ou 12,4% noir, ayant l'équivalent d'un arrière grand-parent noir), étaient passés par des chemins différents, la mère « passant » pour blanche pendant que la tante restait partie de la communauté noire. La femme contestait une loi de la Louisiane (depuis lors abrogée) qui requérait que toute personne ayant une hérédité noire de plus de plus d'un trente-deuxième (3,125%) soit classée comme noire dans les archives légales de l'Etat.


D'après l'article, le Dr. Munro Edmonson, professeur d'anthropologie à l'Université de Tulane témoignant comme expert de la part de la femme, attestait que « les études génétiques modernes montraient que les Noirs dans le pays avaient en moyenne 25% de gènes blancs et les Blancs 5% de gènes noirs. Selon ces statistiques, disait Edmonson, et en supposant que la loi du trente-deuxième prévale, la population native entière de Louisiane pourrait être considérée comme noire ! »


La première critique contre l'affirmation d'Edmonson est évidente. En supposant, pour la démonstration, que la personne blanche « moyenne » aux Etats-Unis ait 5% de gènes noirs (nous reviendrons sur cette supposition), seuls quelques-uns auraient la « moyenne » exacte de 5% ou d'un trente-deuxième d'hérédité noire (l'hybridation requiert de nombreuses générations après son achèvement complet avant de parvenir à un degré d'uniformité stabilisé approchant même de loin l'homogénéité). Beaucoup n'auraient pas de gènes noirs du tout, alors que beaucoup d'autres auraient bien plus que 5% pour équilibrer l'effet de ceux qui n'avaient pas de gènes noirs et atteindre quand même la moyenne de 5%. Si la moitié de la population blanche n'avait pas de gènes noirs, l'autre moitié devrait atteindre une moyenne de 10% de gènes noirs pour maintenir la moyenne totale de 5%. Sur la moitié ayant des gènes noirs, certains, à nouveau, auraient bien moins de 10% de gènes noirs, alors que d'autres devraient avoir proportionnellement plus pour maintenir la moyenne de 10% du groupe. Si les trois quarts de la population blanche n'avaient pas de gènes noirs, le quart restant devrait atteindre une moyenne de 20% de gènes noirs pour maintenir la moyenne totale de 5%, et certains devraient avoir considérablement plus que cela. Si les neuf dixièmes des membres de la population blanche n'avaient pas de gènes noirs, le dixième restant devrait atteindre une moyenne de 50% de gènes noirs (c'est-à-dire être à moitié noirs, ou mulâtres) pour garder une moyenne totale de 5%, et beaucoup devraient être vraiment plus qu'à moitié noirs pour compenser ceux qui le seraient moins qu'à moitié.


A ce point nous sommes confrontés à la définition de ce qui est « blanc ». Le phénomène des Noirs partiels « passant » pour des Blancs est complexe. Le passing est une forme de tromperie, et sa réussite dépend à la fois de la connaissance et de la sensibilité raciales de la personne trompée et de la détectabilité des traits noirs, qui varie fortement même quand le degré de mélange ­ ou le pourcentage de gènes noirs ­ est le même, comme chez les frères et surs (voir l'exemple ci-dessus de la mère et de la tante de la femme de Louisiane). Le même Noir partiel peut tromper avec succès certains Blancs tout en échouant à tromper d'autres dont le niveau de connaissance et de sensibilité raciales est plus grand. Avec les niveaux actuels de connaissance et de sensibilité raciales, un octoron ne peut généralement pas passer pour un Blanc non-mélangé ou pur-sang, alors qu'une personne qui est noire à un seizième le peut généralement, mais pas toujours. Cependant, lorsqu'ils réussissent à passer pour blancs, c'est habituellement en tant que type marginal et indistinct de blanc, selon la définition large, moins sensible et moins discriminante du terme. Ils ne passent habituellement pas pour un type de blanc distinctivement nordique. Un Blanc qui aurait 5% d'hérédité noire, dans presque tous les cas, le saurait. Pour lui ne pas le savoir signifierait qu'il ne connaît pas ses parents ou ses grand-parents, et même dans ce cas il le saurait ou le suspecterait probablement. Que si peu de Blancs, incluant les Blancs de Louisiane, aient connaissance d'une hérédité noire indique à quel point une telle hérédité est réellement rare et pas ordinaire.


La seconde objection à l'assertion d'Edmonson est double. Si 6,25% de mélange noir est le niveau maximum qui peut généralement passer avec succès pour un blanc marginal, comment est-il possible que le degré de mélange moyen prétendu ­ 5% ­ soit si proche du degré de passing acceptable maximum, si l'extrémité supérieure du groupe doit excéder de loin la moyenne pour équilibrer l'extrémité inférieure et le grand nombre qui n'a pas de gènes noirs du tout ? De même, puisque les personnes qui ont un seizième (6,25%) d'hérédité noire tendent à avoir une ressemblance physique avec les Blancs moins distincts, à la limite ou marginaux, comme les habitants typiques d'Andalousie ou de Tunisie, comment se fait-il que la population blanche des Etats-Unis ne présente pas de ressemblance avec ces deux peuples ? En fait, la population nordique de l'Amérique ­ qui en 1980 formait environ 79% de la population blanche ­ ne montre pas de signe ou de trace identifiable de mélange avec les Noirs, et reste essentiellement indistinguable racialement, physiquement et esthétiquement ­ ne montrant aucune différence significative ­ des autres membres des mêmes branches de leur race qui restent en Europe du Nord, exemptes de tout mélange interracial évident avec les Noirs. Si la population nordique d'Amérique était noire à 5%, ou même à 1%, cela apparaîtrait clairement. Elle n'aurait pas l'apparence qu'elle a. La différence physique-esthétique serait nette et indéniable, en particulier chez les traits les plus récessifs, fragiles et distincts ­ dont la fréquence serait fortement réduite et la qualité d'expression et de réalisation déformée et diminuée, subissant des pertes sévères à la fois en quantité et en qualité. Si la population d'Europe du Nord, dont viennent les Américains nordiques, est acceptée comme groupe-témoin, il faut admettre qu'il n'y a pas de variation raciale-physique-esthétique significative entre les deux, et que le pourcentage d'hybrides partiellement noirs dans la population américaine nordique doit être si faible qu'il échappe à l'attention.


Les études génétiques de l'hybridation sont basées sur des variations dans les fréquences des groupes sanguins. Comme les tests de paternité, ils ne peuvent pas réellement prouver le mélange, mais seulement en établir les limites possibles, à moins que les variations de fréquence soient si grandes qu'elles ne puissent pas avoir une autre explication. Par exemple, si une population noire a une fréquence de 50% pour un trait d'un groupe sanguin et qu'une population blanche a une fréquence de 10% pour ce trait, alors qu'une seconde population blanche a une fréquence de 12% pour le même trait, on peut en déduire ­ selon certains variables, comme la nature dominante ou récessive du trait ­ que la seconde population blanche a un degré possible de mélange noir allant jusqu'à 5%. Mais la variation naturelle qui survient à l'intérieur des populations pour la fréquence de tels traits (due à la dérive génétique et à des raisons autres que le mélange), et la marge d'erreur inhérente à de telles études, sont toutes deux suffisamment grandes pour que toute indication de mélange inférieur à 10% pourrait en fait être nulle ­ trop faible pour apporter une preuve ou une trace d'un degré quelconque de mélange ­ et nous pourrions donc être en train de discuter de quelque chose qui est presque inexistant sauf dans les esprits des hommes. Même dans une population aussi comparativement homogène ­ et avec aussi peu de variation ­ que celle du Japon, la variation qui existera inévitablement entre groupes différents (comme les populations d'îles différentes) sera suffisante pour établir la possibilité d'un faible degré de mélange avec toute autre population de la terre. Seule une population qui présenterait une variation nulle ­ et aucune n'existe ou ne peut exister ­ pourrait prouver l'impossibilité de tout degré de mélange.


Ici encore, il faut considérer le problème de la définition. Un spectre plus large des types raciaux dans la population des Etats-Unis ­ Nordiques, Arménoïdes, Méditerranoïdes, Orientaloïdes, Irano-Afghans, et même quelques groupes (comme les Porto-Ricains) qui présentent un degré évident de mélange avec les Noirs ­ est communément défini et classé comme « blanc ». Le degré de variation existant entre les divers types raciaux dans cette population largement définie est si extrême qu'il rend absurde toute tentative de la classer comme un ensemble cohérent dans ses relations avec toute autre race.


La réponse finale au témoignage d'Edmonson est une approche historique. Les spécialistes et les anthropologues de la première partie de ce siècle, ou du siècle précédent, n'ont jamais suspecté ou indiqué une absorption significative de gènes noirs dans la population blanche. Il n'y a pas de traces de progéniture racialement mélangée qui aurait été élevée par la communauté blanche, ou acceptée chez elle, à un degré mesurable. Avant le milieu de ce siècle, le mariage interracial entre Blancs et Noirs était socialement inacceptable (et souvent illégal) et si rare qu'il était presque inexistant en termes statistiques. Ainsi l'écrasante majorité des enfants racialement mélangés (mulâtres, quarterons et octorons) était illégitime et était presque toujours élevée ­ et absorbée ­ par la population noire. Presque tout le mélange blanc-noir qui survint avant ce siècle impliqua des mâles blancs et des femmes noires (à la différence de la situation actuelle, où les trois quarts des épouses dans les mariages blancs-noirs sont blanches). Ensuite, comme maintenant, les enfants tendaient d'une manière écrasante à rester avec leur mère naturelle et sa famille plutôt qu'avec le père. La pratique du racisme [au sens de : séparation des races] agissait pour protéger la race blanche du mélange et empêcher l'acceptation d'enfants racialement mélangés dans ses rangs.


Que presque toute la progéniture mélangée ait été absorbée dans la population noire est indiqué par la proportion élevée (25%) de gènes blancs dans sa composition génétique. En supposant que pendant la plus grande partie de l'histoire américaine la population blanche dépassait la noire dans une proportion d'environ dix à un, le pourcentage ci-dessus indique que la communauté noire, sur la durée d'environ huit générations, a absorbé en elle-même l'équivalent d'un quarantième ou 2,5% de la population blanche. Pour que les Blancs aient une moyenne de 5% de gènes noirs alors que les Noirs ont une moyenne de 25% de gènes blancs ­ une proportion de mélange de cinq à un, alors que la proportion de population donnée ci-dessus était de dix à un ­ il faudrait que la progéniture racialement mélangée absorbée dans la population blanche soit deux fois plus grande que celle qui fut absorbée dans la population noire (ou que deux-tiers, ou 67%, des enfants mélangés soient absorbés dans la race blanche et un tiers dans la noire). Une moyenne de 5% de gènes noirs, en supposant la proportion de population de dix à un, indiquerait que la population blanche aurait absorbé l'équivalent de la moitié ou 50% de la population noire (50% divisés par dix égalent 5%), et que la race blanche aurait absorbé deux fois plus de gènes noirs que la race noire n'a absorbé de gènes blancs. Mais cela contredit le fait, que l'observation ordinaire qualifierait de connaissance de base, qu'en résultat de la « barrière raciale » créée par le racisme [sic] blanc les enfants racialement mélangés furent invariablement élevés par la communauté noire et absorbés par elle, et que la proportion qui fut absorbée dans la population blanche, au lieu des 67% requis pour créer un degré de mélange de 5%, fut probablement beaucoup plus faible que 1%.


Pour la race nordique, l'existence dans une société multiraciale, dans une proximité étroite et non-naturelle avec d'autres races, a toujours entraîné le mélange racial du fait de membres volages et irresponsables qui mettent en danger l'intégrité et le bien-être futurs de leur espèce. Dans cet environnement racialement malsain, chargé du danger pour la survie raciale par la menace permanente d'être absorbé par des gènes étrangers dominants, seule la pratique du racisme [sic] protège l'intégrité, l'identité et la continuation de l'existence de la race ­ et de ses traits récessifs vulnérables ­ en l'isolant des effets du mélange. Jusqu'à une date récente la pratique du racisme [sic] a préservé la race nordique, de sorte qu'elle existe encore sous une forme inaltérée avec son identité encore intacte. La récente tendance vers le multiracialisme prive la race nordique de sa défense et de sa protection contre le mélange, et de ses effets destructeurs conséquents d'extinction et de mort raciale (avec le mélange résultant des Nord-Européens avec presque toutes les autres races de la terre, à la fois par le mariage et l'adoption). Les apologistes et les partisans du mélange ­ qui jouissent actuellement d'une telle domination que les disciplines académiques jadis grandes créées par la race blanche ont été mises au service de la cause de sa destruction ­ utilisent chaque opportunité pour dénigrer et jeter le doute sur l'intégrité, l'unicité et la valeur raciales de la race nordique, affaiblissant ainsi sa volonté de résistance en la privant de sa croyance en elle-même. Le but de leurs déformations trompeuses est d'empêcher les Nord-Européens d'apprendre la vérité jusqu'à ce qu'il soit trop tard pour faire quoi que ce soit. Leur espoir est que si la race nordique croit à tort qu'elle est déjà tombée, alors elle tombera, si elle tombe réellement, sans combattre.


Richard McCulloch

 

Sujet : Désillusion
Date : mercredi 22 février 2000
De : Aryan Myth <aryan_myth@yahoo.com>
A : archon@racialcompact.com


Le mythe de la pureté raciale nordique


Les suprématistes blancs, les séparatistes blancs, et les groupes de la « fierté blanche » en général sont rapides pour reconnaître l'impureté raciale en Europe du Sud, en Europe de l'Est, et, dans certains cas, même en Europe Centrale, mais ils continuent à opérer, pas par hasard, selon la supposition que l'Europe du Nord ­ c'est-à-dire les Iles Britanniques, d'où viennent la plupart des Américains blancs ­ est 100% nordique, ou, sinon, 100% « Aryenne » (malgré la récente immigration du Tiers-Monde).


Pourtant, il y a des siècles, les Iles Britanniques furent colonisées par les Phéniciens, un peuple chamito-sémitique du Moyen-Orient et d'Afrique du Nord, qui ont laissé leurs empreintes génétiques et phénotypiques dans les populations actuelles de ces pays.


De plus, on estime que, en conséquence des viols par les colons blancs d'Amérique de leurs esclaves et prisonniers, et du résultat de telles unions, passant souvent pour des Blancs, quelque 10 à 15% des Américains qui croient entièrement descendre d'Europe du Nord ont en fait un peu de sang noir ou indien, qui peut se manifester par un teint sombre, des cheveux crépus, un visage large, un nez aplati ou des yeux en amande, ou, parfois, qui ne se manifeste pas du tout. Par exemple, des gens d'apparence nordique comme Heather Locklear, Chuck Norris, Gary Busey, et Anna Nicole Smith sont réputés avoir une hérédité indienne.


Ainsi, les populations natives du Royaume-Uni, et leurs descendants en Amérique, comme toutes les autres populations européennes, sont les produits de siècles de mélange racial et ethnique, et sont donc composées d'individus appartenant aux types physiques nordique, alpin et méditerranéen, ainsi qu'à tous les intermédiaires concevables.


Pour illustrer cela, voici quelques célébrités qui viennent d'Angleterre, d'Irlande, d'Ecosse ou de Galles, et qui présentent clairement des traits physiques non-nordiques ou non-« aryens » qui attestent d'une hérédité non-européenne évidente : VICTORIA ADAMS, JOHNNY CASH, TOM BOSLEY, SEAN CONNERY, ROBERT FORSTER, TERI HATCHER, BOB HOSKINS, PHYLIS LEE ISLEY (Jennifer Jones), TOM JONES, JOE NAMATH, JOHN OATES, STEPHEN PEARCY, STEPHEN REA, MEG TILLY, CATHERINE ZETA-JONES.


Ça vous pose un problème ?

Sujet : Quelle désillusion ?
Date : jeudi 23 février 2000
De : archon@racialcompact.com
A: Aryan Myth <aryan_myth@yahoo.com>


Je n'ai connaissance d'aucune source historique ou anthropologique qui affirme que les Phéniciens se soient établis en Grande-Bretagne, comme vous l'affirmez. Il est possible qu'ils aient fait le commerce de l'étain de Cornouailles, mais cela ne constituerait pas une colonisation de l'importance raciale que vous impliquez. Il est probable qu'un élément moyen-oriental soit arrivé pendant l'époque romaine, mais ils n'eurent pas un impact durable sur la population.


Si les individus énumérés ci-dessus présentent tous des signes d'hérédité non-nordique, aucun d'eux ne présente de signes évidents d'hérédité « non-européenne », contrairement à votre affirmation, avec l'exception probable de Bob Hoskins. Sean Connery et Catherine Zeta-Jones montrent tous deux une forte influence du type atlanto-méditerranéen qui s'établit en Grande-Bretagne pendant l'époque mésolithique et qui a été un élément important dans la population depuis lors. Ni Joe Namath ni Tom Bosley ne sont d'hérédité britannique ­ Namath étant d'ascendance hongroise et Bosley juive. Quant à ceux qui « sont réputés avoir une hérédité indienne », cette information a peu de valeur sans la proportion d'hérédité indienne. De nombreux Américains nordiques ont une petite proportion d'hérédité indienne. Si elle est 1/8 ou moins elle a habituellement peu d'effet racial, bien que l'effet psychologique sur la conscience et la loyauté raciales puisse être significatif (le président Clinton prétend avoir une petite fraction d'hérédité indienne cherokee, et bien que cela ne soit pas évident dans son phénotype, qui est nordique, cela pourrait avoir contribué à son manque de loyauté envers les intérêts vitaux de la race nordique).


Concernant l'allégation d'un mélange extensif avec les Noirs, Carleton Coon ­ dans The Living Races of Man (1965), page 307 ­ cites Glass et Li pour le fait que la proportion de gènes noirs dans la population « blanche » américaine est négligeable. Presque tout le flux de gènes entre les races du fait du mélange racial des derniers siècles a été des races européennes dans les races non-européennes, et très peu de l'inverse est arrivé jusqu'ici (au moins jusqu'en 1965). Mais il y a eu une certaine assimilation de gènes alpins et méditerranoïdes dans la population américaine nordique.


Mais quel est votre but ? Est-ce de vous opposer à la préservation raciale et à la continuation de l'existence nordiques (nord-européennes) pour la raison que les Nord-Européens ne sont pas purs à 100%, et que tout ce qui n'est pas pur à 100% ne mérite pas d'être sauvé ? Si c'est cela, c'est un vieil argument que j'ai toujours considéré comme très illogique, en ce que les gens qui s'opposent et haïssent le plus fortement la « pureté » raciale, et qui veulent la détruire, sont ceux qui en font un fétiche en la maintenant dans une définition si arbitraire et si extrême qu'ils vont jusqu'à la définir comme non-existante. Dans mon essai « La moyenne raciale est la destinée raciale », je propose un moyen objectif pour mesurer la proportion dans laquelle les Nord-Européens peuvent assimiler d'autres éléments raciaux et rester quand même nordiques par le type racial. Cela signifie clairement qu'une hérédité 100% nordique n'est pas requise pour qu'un peuple, ou un individu, soit nordique par son type racial.


Personnellement, j'aime les Nord-Européens juste comme ils sont, et je veux les préserver tels quels, tout comme je veux préserver toutes les races qui existent aujourd'hui essentiellement telles qu'elles sont. C'est une « pureté » suffisante pour moi.


Richard McCulloch


Commentaires de Richard McCulloch,


On rencontre de nombreux reportages disant que certaines célébrités sont en partie indiennes (James Garner, Val Kilmer, Cathy Lee Crosby), mais si on ne connaît pas la proportion (1/2, 1/4, 1/8, 1/16, 1/32 ?) ce n'est pas vraiment très significatif ou utile. Kim Basinger et Farrah Fawcett sont toutes deux réputées avoir 1/8 d'hérédité indienne, ce qui indique à nouveau qu'une proportion de 1/8 ou moins n'est pas toujours significatif sur le plan phénotypique.


En fait, je connaissais une fille très attirante aux cheveux blonds et aux yeux bleus qui était 1/4 Cherokee, mais qui se vantait de ce que les gens la prenaient pour une Suédoise quand elle voyageait en Europe, ce que je trouve très crédible, bien que ses pommettes saillantes, dont elle était très fière, étaient trop anguleuses pour être typiquement suédoises, et étaient vraiment le seul trait qui indiquait son hérédité indienne. Son teint était similaire à celui de Kim Basinger (qui est en fait suédoise, du moins sa partie non-indienne). J'ai rencontré sa famille. Sa mère à moitié Cherokee avait une apparence très indienne, alors que son père était un type Borreby très fort et très blond. Sa sur avait apparemment hérité des gènes indiens évidents, avec des cheveux bruns-noirs et une peau cuivrée, mais avec des traits faciaux européens attirants.


Je suis tombé sur un site web PBS Frontline qui prétend révéler l'hérédité raciale mélangée de figures et de célébrités historiques, avec le motif ultérieur évident de banaliser et donc de promouvoir le mélange racial. Il affirme que la reine Charlotte d'Angleterre, l'épouse de George III, qui était d'ascendance portugaise, était en partie congoïde. Il suppose aussi que Heather Locklear a une hérédité partiellement indienne et congoïde parce que le nom Locklear est associé à des « isolats tri-raciaux » ­ des communautés d'éléments congoïdes, indiens et européens mélangés qui existaient en Caroline du Nord il y a deux siècles ou plus. Il n'affirme pas spécifiquement qu'elle est en partie indienne ou congoïde, et ne donne aucune indication sur la part d'hérédité indienne ou congoïde qu'elle pourrait avoir (1/32, 1/64, 1/128?), mais sa photo est affichée, et l'insinuation dans le texte, qui jubile presque en la décrivant comme un parangon de beauté anglo-saxonne blonde, est indubitable.


On se souvient des affirmations absurdes selon lesquelles Beethoven, Hannibal ou Cléopâtre étaient congoïdes, les deux derniers apparemment sans autre raison que d'être nés sur le continent d'Afrique (par ce raisonnement les Syriens et les Libanais seraient de la même race que les Chinois, puisqu'ils étaient également nés sur le continent d'Asie). Cléopâtre, bien sûr, n'était même pas égyptienne, mais macédonienne, la dernière de la dynastie des Ptolémée fondée par l'un des successeurs d'Alexandre le Grand, parlait le grec comme langue maternelle (bien qu'elle connaissait beaucoup d'autres langues, y compris l'égyptien, ayant paraît-il été la première de sa dynastie à l'apprendre), portait des vêtements grecs, était entourée par la culture grecque et l'architecture grecque de sa capitale principalement grecque, et n'était pas plus congoïde qu'un Afrikaner moderne. Pourtant le politiquement correct empêche les universitaires timides de corriger les faussetés raciales à son sujet, qui apparaissent régulièrement dans la culture populaire. Même Michael Grant, un professeur d'histoire ancienne qui devrait mieux s'y connaître, affirme qu'elle avait probablement la peau sombre parce qu'elle avait une hérédité en partie syrienne. Mais son « hérédité syrienne » était une ascendance venant de la dynastie séleucide, un autre royaume macédonien successeur d'Alexandre qui avait sa capitale en Syrie, et qui était n'était donc pas plus syrien que Cléo n'était égyptienne (la dynastie séleucide était cependant en partie iranienne ou perse, puisque son fondateur, un autre général d'Alexandre, avait pris sa femme dans la vieille noblesse perse, comme le fit Alexandre lui-même, qui en prit plusieurs).


Le but ultime, ou motif ultérieur, pour l'affirmation ci-dessus et celles similaires de mélange racial, quelle que soit sa validité ou sa pertinence, est de la normaliser et de la légitimer, et donc de promouvoir un tel mélange en la faisant apparaître comme inoffensive, juste et socialement acceptable, et en faisant apparaître le refus du mélange comme moins vital, moins nécessaire et important, et même comme erroné ou illégitime. Des figures apparemment disparates comme le président Clinton et l'évangéliste Billy Graham ont approuvé le mariage interracial comme un moyen de diminuer les divisions raciales. James Toback, metteur en scène du film Black and White, partage leur vision, à part l'accent mis sur le mariage. Comme cela est rapporté dans le Entertainment Weekly (14 avril 2000 ; pp. 41-44) :


Toback suggère que « des rapports sexuels interraciaux massifs » peuvent éliminer le racisme Parlez à Toback, qui écrivit aussi [les dialogues du film], et vous réaliserez qu'il célèbre le pouvoir du hip-hop [musique noire] et des rapports sexuels interraciaux pour vaincre le fanatisme « Je pense que cela change complètement tout l'ordre social d'une manière qui rend le fanatisme même passif totalement inacceptable pour quiconque n'est pas une sorte de Neandertal déclaré. Cela a changé complètement la culture sexuelle, qui est la clé de la race, parce que dès que vous avez des rapports sexuels interraciaux à un degré où ce n'est même plus un problème et que vous commencez à avoir des rapports sexuels interraciaux massifs, alors les races deviennent indistinguables ».


Cela est, bien sûr, la chose même dont les opposants à l'intégration raciale dans les années 1960 prédisaient qu'elle arriverait en conséquence de l'intégration, et dont les partisans de l'intégration raciale niaient qu'elle se produirait. Comme ses opposants le craignaient, et les faits sont maintenant en train de nous donner raison, l'intégration raciale n'est qu'un euphémisme pour le mélange racial. Malheureusement, dans les années 1960, les partisans du mélange racial n'étaient pas aussi francs et aussi honnêtes que le sont aujourd'hui ses partisans comme James Toback. S'ils l'avaient été, les Américains nordiques auraient été mieux informés des conséquences réelles de leurs politiques à une époque où ils auraient pu bien mieux leur résister. Plusieurs décennies d'endoctrinement nihiliste racial furent nécessaires avant qu'une telle franchise et honnêteté puisse être exprimée sans crainte de provoquer une forte opposition américaine nordique.


Richard McCulloch

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